6.9.08

Garde du corps

Bien que la moralité et les interdits qu’elle dicte aient évolué depuis Courbet, notamment grâce à la photographie et au cinéma, le tableau est resté provocateur. En témoigne l’événement qu’a représenté son entrée au musée d’Orsay. Un gardien fut même affecté en permanence à la surveillance de cette seule pièce, pour observer les réactions du public.





On l'a pris gay, pour plus de sûreté.

10 commentaires:

Gomeux a dit...

Chui le seul à avoir l'impression qu'en ces temps aseptisés et juvénélisés, c'est le poil qui choque plus que ce coquin de clitoris qui se pointe le bout du nez?

Hmmm, clitoris.

Mistral a dit...

Oui, t'es le seul.

Mek a dit...

Je suis à Montpellier, cette semaine. Je suis passé voir l'expo, justement, et ils ont négligé d'exposer l'Atelier et l'Enterrement. Que des brouillons. Dommage en esti. Mais y avait effectivement ces quelques nus.

Je l'aime, moi Courbet. Son Hallali me pogne au ventre et me fait gicler du Déméthan.

Mistral a dit...

Indeed! Selon Wikipédia, les flics ont fait des descentes en 1994 dans des librairies pour saisir un roman utilisant ce tableau en couverture.

Gustave ne serait pas fâché.

Mek a dit...

Les plus belles lignes écrites à propos de ce tableau restent celles de Sollers.

Mistral a dit...

http://palimpsest.bloc.cat/post/9631/160210

Mistral a dit...

Je peux pas, Sollers, je voudrais, j'y arrive pas,

Mek a dit...

:0)

Yvan a dit...

Non pas vrai.Sollers tu peux pas?
Putaingg...

Mistral a dit...

Kessa peut t'foutre, mon Terrible?

Lâchez-moi les Adidas avec votre Sollers, ou virez-le moi à l'envers que je frotte mon plancher à grande eau avec cette moppe qu'il a sur l'oeuf.