Mon Kermit, The Red Menace, me déçoit beaucoup. Quand on peut pas rester anonyme plus de trois heures avant de se faire percer à jour, mieux vaut signer tout de go et nous épargner la peine inutile. Comme il l'a dit et répété dans son incarnation batracienne, je ne rajeunis pas: des trois heures, j'en ai pas des tonnes à perdre.
Enfin, c'est à ça que sert l'expérience et ce qu'il faut bien appeler la jarnigouène: un ti-cul anonyme nous fait suer moins longtemps parce qu'on sait le faire sortir plus vite de son terrier. Celui-là, il s'appelle Charles Quimper. Oui, oui, le sale qui m'enjoint de dégager pour lui laisser la place littéraire, la bibitte qui promet de m'ouvrir la gorge et qui déclare être l'avenir.
Ça vaut la peine d'aller jeter un oeil sur l'avenir.
Vous avais dit de me le laisser.
La joie, cette arme de combat
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Je me maintiens dans la joie par mille et un artifices dont l'amour,
l'amitié, la musique et les arts.
L'homme que je suis devenu souhaiterait avoir un...
Il y a 1 semaine

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