13.9.08

Droper les gants, duel, dystopie

Feeling en mode anthologique.

Avec la mémoire du monde nowadays, on peut générer une anthologie toute fraîche une fois par mois, et deux magazines seraient en masse, en même temps qu'un minimum (faut qu'ils se contredisent, faut qu'ils s'ostinent, faut que la liberté de presse et le congrès des points de vue soient préservés contre toute atteinte par la tyrannie, et la grand-mère de l'anonyme est un être humain, et il ressemble à Rambo comme un Lhasa Apso à un pitbull).

Feeling en mode anthologique, et feeling de rigoler mais sérieux pareil, faque je me repasse des affaires que j'aime.

Extrait de L'orage, Gomeux, 31 août 2008

En beau joualvert contre ces petits mongols donc, qui ont pris gout aux discours, qui vomissent leur amnésie partout où on leur en donne la chance, qui travaillent en construction mais qui détestent leur syndicat, qui plutôt que de demander plus d'argent à leurs serfs, chialent sur le montant que le gouvernement leur prends à chaque paie. Oui, on paye des taxes, mais bout de crisse, si on était moins schizo, plus debout, chez nous! ben crisse, y aurait moyen d'avoir des services équivalent aux taxes qu'on paie.

En esti contre ces grandes gueules qui dans le vestiaire avant la game de hockey libre à Brossard, chialent contre la police en jeans trop mounounes contre les nèyes pis qui braillent quand tu leurs snap la puck dessus, enwouèlle, drop les tes gants, le mongol, chu là!


Et c'est vrai. Il est là. C'est rendu rather rare.

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