11.4.09

Oh please!

Please, hostie de câlisse! Un fucking PH.D. de l'UQÀM qui torche un papier perclus de fautes grosses comme ça, et dans Le Devoir? Intitulé Que valent les professeurs de l'UQAM? Mais allez vous cacher, allez crever somewhere pour l'amour du Christ!

6 commentaires:

Yvan a dit...

J'ai arrêté de compter après la première dizaine de fautes,
in the fucking Devoir en plus.
D'une part le PhD a trop fait de chimique et pas assez de grammaire;
de l'autre Le Devoir a laissé passer ça,pourquoi?

Pour subtilement discréditer les
profs?

Anonyme a dit...

Bien d'accord. Et ces gros P majuscules imbus devant le professeur.

Nicole a dit...

J'ai arrêté de compter aussi... Stie que ça me décourage.

Gaétan Bouchard a dit...

Être aussi mauvais en français après avoir reçu son doctorat est un argument de plus pour fermer l'UQAM ainsi que tout ce qui se rapproche de ce modèle d'enseignement pourri fortement influencé par les marxistes-léninistes analphabètes des années '70 et autres adorateurs des Khmers rouges.

Ces «Professeurs»-là ne méritent pas leur majuscule. La grande majorité d'entre eux sont des incompétents qui agitent leur diplôme au vent comme l'épouvantail dans The Wizard of Oz. Tout ce qu'ils connaissent de la littérature ou de la science ne se limite qu'à des commentaires insipides produits pour bourrer la cervelle des épouvantails et autres pas de colonne.

Les autodidactes sauveront ce qu'il reste d'art, de science et de culture dans ces universités tout juste bonnes à produire des donneurs de leçons illettrés.

Yvan a dit...

C'est aller un peu vite en
affaire de généraliser à partir d'un cas,aussi désolant soit-il.
Faut voir la qualité du français écrit de l'ensemble du corps enseignant provincial avant de poser un diagnostic aussi virulent.

J'ai étudié à cette université
pendant 2 ans et j'y ai rencontré
d'excellents profs,tant par la qualité de leur enseignement que celle de leur français.

Ils sont tenus à une certaine
exemplarité et c'est loin d'être toujours le cas je suis d'accord,
-l'exemple soulevé par Christian est délirant et illustre bien les limites à ne pas franchir-mais j'exigerai pas d'un prof de
chimie moléculaire qu'il écrive parfaitement le français, contrairement à tous ceux qui enseignent une matière en rapport
avec la communication et la littérature,là je ferais aucune concession.

Mistral a dit...

Terrible: j'avais dans l'idée de ne rien ajouter après que Butch ait tout dit, mais ton bémol m'oblige à en remettre une couche, hostie (avant qu'il ne le fasse lui-même, et c'est mieux que ça vienne de moi, c'est moins souffrant): il a raison, full planche, 200%, et il a étudié davantage que toi et moi réunis.

S'il s'agissait d'un autre que toi, je t'enjoindrais de ne pas venir défendre le corps professoral syphilitique de l'UQAM ici, mais c'est toi et tu es beaucoup la voix de la compassion dans cette Tribu, so you know, we need your ugly ass.