9.7.02

Deux jours de congé, à lire et dormir, n'étaient pas un luxe. Cette femme n'a rien de mieux à faire depuis quelques week-ends qu'inventer des moyens de me foutre en rogne. Cette fois-ci, c'était l'effacement systématique et stalinien de toute référence à mon existence dans son Journal public. Plus ses protestations d'innocence et la ridicule attribution de cet enfantillage à un mystérieux piratage. Finalement, poussée dans ses ultimes retranchements, elle a changé de tactique et revendiqué son bon droit. À vomir. J'ai tout débranché, le temps de me refaire une humeur.

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