21.8.02

Fisto mio venu souper. Conversation comme autrefois, bi-directionnelle, profondément satisfaisante. Ratio 90/10: il a tant de projets, c'est vertigineux, je le regarde parler et je songe à mon père qui me traitait de rêveur, et je m'efforce de faire confiance à Jean-Christian comme j'aurais voulu que papa me fasse confiance, aveuglément, sans comprendre. Comprendre quoi, d'ailleurs? Sinon que la liste bukowskienne des choses que je n'ai pas envie de faire ou d'être rivalise en longueur avec celle des choses que Johnny souhaite entreprendre.



God, I love that kid.

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