Je l'endure depuis des années chaque maudite fois qu'elle se plogue à la tévé pour parler de cul sans cul et de sexe sans sexe et d'expertise sans expertise, je gueule indigné dans mon Bunker mais j'écris rien qui en sorte, c'est jamais qu'une charlatane de plus parmi cent et j'ai qu'à changer de poste si chu pas content, chu pas forcé d'acheter son huile de serpent...
Mais là, ben, c'est très différent. Jocelyne Robert, écrivaine, sexo-poète, sexosophe et synergologue, se sent d'attaque pour m'attaquer, héhé... Oser me prêter des propos que je n'ai pas tenus, cibole, faut se crère arrivée.
Synergologie indeed. Langage non verbal inconscient, ben oui. And how about you kiss my fat white writer's ass?
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7 commentaires:
Cette sexo-poéte sophe et logue derechef me semble avoir la langue au mauvais endroit, du moins en tout cas pas l'oreille à la bonne place, ou le cérumen trop généreux pour avoir bien entendu ce qui s'est dit!
C'est l'cérumen qui nous mène, qui nous mène,
C'est l'cérumen qui rend Synergo...
Désolé, c'est pas pour faire chier mais puisqu’on parle de confusion, y faut être honnête et assumer; vous avez dit textuellement (16:41) :"...non seulement elle a été jugée y a 32 ans c't'affaire mais on la connaît depuis 32 ans..." Ce qui de toute façon est relativement exact, Polanski ayant plaidé coupable et s’étant enfuit avant le prononcer de la peine. Mais franchement, à mon avis, c’est pas très important et c’est du chipotage.
La vraie confusion, je pense, se situe plutôt entre le discours sur le climat actuel de censure, de pudibonderie hypocrite et de paranoïa concernant la protection de l’enfance - assez délirant à l’occasion, on doit bien le reconnaître - auquel fait allusion Beigbeder et le cas précis dont on parle. En ce qui concerne Polanski, on ne parle quand même pas d’une simple présomption. Et dans ce cas, la question de l’impunité des puissants (qu’ils soient ou non de grands artistes par ailleurs) se pose inévitablement, d’autant plus que c’est aussi une forme assez vicieuse de censure, mais à l’envers pourrait-on dire… Le temps écoulé et l’attitude actuelle de la victime n’ont aucun poids sur cet aspect mais devrait normalement être pris en compte dans le cadre d’un nouveau procès.
Mais vous soulevez - très judicieusement à mon sens, en particulier dans un contexte hyper-médiatisé comme celui-ci - la question de la distinction entre la justice et la loi. En fait, pour que justice soit faite équitablement pour tous, Roman Polanski devrait répondre de ses actes devant un tribunal qui tiendrait compte des circonstances et du temps écoulé – en particulier du comportement de l’accusé depuis, la peine visant à protéger la population et à décourager la récidive et les criminels potentiels, entre autres. Mais peut-on croire à l’éventualité d’un tel procès?
Comme rien de tout ça n’est simple et qu’on ne sait pas toujours très bien ce que les gens qui appuient ou condamnent Polanski défendent exactement, ben, c’est normal que les grandes gueules de la pensée unique soit ceux qu’on entende le plus distinctement et que la madame, qui n’a pas nécessairement l’oreille la plus fine (mais je peux me tromper là-dessus), soit un peu confuse. En tout cas, si elle s’imagine clarifier le débat en n’accordant la parole qu’à ceux qu’elle décrypte aisément, ça se pourrait que ça ne la mène pas très loin…
Mais sinon c’était vraiment cool de vous entendre, et aussi un peu dommage que ce ne soit pas davantage.
Merci de cette contribution: plusieurs paragraphes bourrés de bon sens. Vais, pour ma part, y réfléchir.
Merci au Plumitif pour ce commentaire mesuré et qui m'a donné à réfléchir et aussi à structurer ma pensée et mon ressenti sur ce sujet.
D'abord sur ce climat actuel de censure et de pudibonderie hypocrite concernant la protection de l'enfance qui sévit en ce moment et qui ne sert pas forcément au mieux les intéressés en l'occurrence les enfants cela prenant des proportions assez carnavalesques quand on voit par chez nous une Marine Lepen monter au créneau et se servir de ce thème pour reprendre une crédibilité politique.
Mais plus encore cette remarque relevée de Christian sur la distinction entre la justice et la loi, et celle que dans le contexte d'aujourd'hui les choses seraient autres, oui, la nuance est de taille, je suis d'accord avec le fait que justice soit faite avec équité sinon elle perdrait de son essence et donc de sa valeur et un procès qui prendrait en compte le fait que Polanski a reconnu les faits à l'époque, de sa fuite, de ce qu'il a fait depuis, peut-être même de ce qu'il en a fait, mais aussi de sa victime devenue femme et qui aurait beaucoup à dire sans doute jusqu'au geste de retirer sa plainte, là sans doute cela serait utile pour l'humanité et pour mieux comprendre ce qu'un tel geste peut de part et d'autre marquer une vie, cela servirait mieux que tout cet acharnement médiatique enflé et peu fécondant ainsi que ces manières de faire justice justement.
J'aimerais tant pouvoir
écouter la victime elle-même.
Elle pourrait nous dire aussi
sa version des faits,32 ans
plus tard.
Sa voix au chapitre manque
cruellement,même si elle
a affirmé récemment vouloir
clore le débat; ce qui est
déjà un bon indicatif.
http://www.cnn.com/2003/SHOWBIZ/Movies/02/24/polanski.geimer/
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