J'en reviens pas comme t'es écorché, là. Ton placotage avec Berkbeder, bof... Tu me feras pas accroire que t'as des atomes avec lui, en tout cas si tu le connais... lui, ou qui d'autre, pas. Se croit sanctifié avec un bouquin qui lui fait pas honneur, le long de son chemin pavé d'or.
Eh bien oui, il m'a plu. Peux pas dire que je m'y attendais. Ça a été une belle et bienfaisante surprise: y a déjà bien assez de gens qui m'écoeurent as it is, réaliser que j'avais méjugé quelqu'un et me rajuster positivement est une expérience rare dont je ne suis pas assez con pour me priver.
Oui, c'est noble je trouve de savoir revenir sur une opinion qu'on se fait de quelqu'un.
J'ai écouté cette entrevue chez Christiane et j'ai été moi assi surprise en bien par Beigbeder, surprise disons confortée dans la surprise que j'avais en lors d'une interview de lui sur le petit écran, il a fait du chemin je trouve, j'ai aimé son propos " malheur à celui que le malheur épargne", right!Il s'emmieute avec le temps au lieu d'empironner ( merci Christian).
Et j'ai été touchée par ce que tu as dit, très, par le fond et par la forme, une force que la vulnérabilité et la sensibilité, surtout sur des sujets de cette importance.
Reprends ton souffle? Pour kossé faire? Pour dissimuler mon vrai feeling? Chu pas un comédien émoulu du Conservatoire de Théâtre, moi, je respire quand je veux et quand je veux pas je respire pas.
Oui, elle est palpable, ce qui donne plus de force au propos qui déchire... Pourquoi devoir retenir ses sentiments, cette présence à son ressenti sans détours c'est courageux, pas facile d'avoir ce charisme, faut une sacrée force au fond...
Je trouvais ça triste, que tu sois triste,et je comprenais, que oui nous aussi Falardeau et Nelly, on sentait toute la sensibilité. Je me suis mal exprimée. Et j'ai trouvée correct que tu le dises aussi, c'était touchant. Moi ça m'a touché. J'ai beaucoup aimé cette entrevue.
J’en ai retenues une couple de captivantes : « Y’en avait avec beaucoup de filles très saoules », David Foster Wallace, « Trop sensible pour exposer le monde à moi », Gilgamesh, Caïn et Abel, « Ils auraient compris au bout de dix minutes », « Malheur à qui celui le malheur épargne », loser magnifique, « Seul, moche et alcoolique », « On écrit parce qu’on veut se venger »…mais :
J'entends ça rarement,un écrivain en prise aussi directe sur son coeur et son âme avec autant d'authenticité exprimée de manière aussi éloquente, significative et portant à réflexion. Trop courte cette entrevue conjointe avec Beigbeder(cool) et une Christiane Charette toujours aussi allumée.
Merci à vous trois pour cette vingtaine de minutes captivantes.
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15 commentaires:
Excellente entrevue ;-)
J'en reviens pas comme t'es écorché, là.
Ton placotage avec Berkbeder, bof...
Tu me feras pas accroire que t'as des atomes avec lui, en tout cas si tu le connais... lui, ou qui d'autre, pas.
Se croit sanctifié avec un bouquin qui lui fait pas honneur, le long de son chemin pavé d'or.
Eh bien oui, il m'a plu. Peux pas dire que je m'y attendais. Ça a été une belle et bienfaisante surprise: y a déjà bien assez de gens qui m'écoeurent as it is, réaliser que j'avais méjugé quelqu'un et me rajuster positivement est une expérience rare dont je ne suis pas assez con pour me priver.
Oui, c'est noble je trouve de savoir revenir sur une opinion qu'on se fait de quelqu'un.
J'ai écouté cette entrevue chez Christiane et j'ai été moi assi surprise en bien par Beigbeder, surprise disons confortée dans la surprise que j'avais en lors d'une interview de lui sur le petit écran, il a fait du chemin je trouve, j'ai aimé son propos " malheur à celui que le malheur épargne", right!Il s'emmieute avec le temps au lieu d'empironner ( merci Christian).
Et j'ai été touchée par ce que tu as dit, très, par le fond et par la forme, une force que la vulnérabilité et la sensibilité, surtout sur des sujets de cette importance.
Un grand moment pour moi.
Bonne entrevue, mais ouff, reprends ton souffle, on sentait toute la souffrance ...
Reprends ton souffle? Pour kossé faire? Pour dissimuler mon vrai feeling? Chu pas un comédien émoulu du Conservatoire de Théâtre, moi, je respire quand je veux et quand je veux pas je respire pas.
Oui, elle est palpable, ce qui donne plus de force au propos qui déchire...
Pourquoi devoir retenir ses sentiments, cette présence à son ressenti sans détours c'est courageux, pas facile d'avoir ce charisme, faut une sacrée force au fond...
Hum, oui, comme tu le dis là Christian c'est plus percutant!!
Ça pis un début d'emphysème.
Je trouvais ça triste, que tu sois triste,et je comprenais, que oui nous aussi Falardeau et Nelly, on sentait toute la sensibilité. Je me suis mal exprimée. Et j'ai trouvée correct que tu le dises aussi, c'était touchant. Moi ça m'a touché. J'ai beaucoup aimé cette entrevue.
Donc, Excellente entrevue ;-)
J’en ai retenues une couple de captivantes : « Y’en avait avec beaucoup de filles très saoules », David Foster Wallace, « Trop sensible pour exposer le monde à moi », Gilgamesh, Caïn et Abel, « Ils auraient compris au bout de dix minutes », « Malheur à qui celui le malheur épargne », loser magnifique, « Seul, moche et alcoolique », « On écrit parce qu’on veut se venger »…mais :
« Le blog, c’est bon pour les paresseux » tsé.
M’as t’en faire moi.
Maudit que tu parles bin Christian ! Pis j'ai aimé t'entendre rire aussi.
C'est vrai qu'il est sympa "Fred", je l'ai vu en longue entrevue aux Franc-tireurs, un bon jack !
J'espère que c'est pas vrai pour l'emphysème. Anyway, je t'entendais pas "souffler" tant que ça, juste normal, c'est quoi l'idée ? :)
Sandy, t'es trop feignante pour m'en faire!
Rain: kiss.
Mes Lectures: Le Blogue, oké, sweet.
J'entends ça rarement,un écrivain
en prise aussi directe sur son coeur et son âme avec autant
d'authenticité exprimée
de manière aussi éloquente,
significative et portant
à réflexion.
Trop courte cette entrevue
conjointe avec Beigbeder(cool)
et une Christiane Charette
toujours aussi allumée.
Merci à vous trois
pour cette vingtaine de
minutes captivantes.
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