Mon seul ayant droit est mon fils Jean-Christian, et lui seul pourra révoquer ma volonté, qui est de confier advenant mon décès, dans son intérêt et le mien, la gestion de mes travaux, aussi bien publiés qu'inédits, à Kevin Vigneau, aidé de Hans Marotte. C'est clair, j'espère.
Remarquez, rien n'est jamais clair en ces matières, à croire l'éditeur...
Viens-y donc, cochon, fouiller dans ma machine!
26 commentaires:
Me semble que la bienséance imposerait un peu de retenue mais mais mais me semble aussi qu'il n'est pas rare de voir les membres d'une famille se précipiter sur les avoirs d'un défunt sitôt son service terminé.
Not the point, Beegee. Surtout pas en matière de propriété intellectuelle. Mes éditeurs se disputeront mes caleçons si ça leur chante et que mon garçon les leur laisse, mais pas mes mots.
Héhé le cirque médiatique entourant la sortie d'une chanson inédite de MJ était quelque chose à voir; les gardes du corps, la valise menottée au porteur....
Sujet délicat et en l'occurence traitement violent à mon sens, la propriété intellectuelle appartient au cerveau pensant et à l'âme vive, si rien n'a été exprimé, si le bon vouloir de celui qui a créé est que cela soit ainsi, mourant avec lui, me parait la moindre des choses que de le respecter.
Non pas de "prout" au mort, je trouve le propos d'ailleurs un peu expulsif si je puis dire, respect au contraire, les sur vivants non pas leur mot à dire sauf si cela a été explicite.
Dans certains pays on fait voter les morts, je ne peux croire dans dans d'autres on viole leur disque dur...
Mais qu'est-ce qu'ils ont besoin du mot de passe ?!
Suffit de scanner le disque dur…
Enfin, à l'occasion je mettrais bien le nez dans le tien de disque dur :-P
Mais je préfère de ton vivant si possible.
:-D cette histoire de caleçons me fait penser à la culotte d'Anne Archet, merde alors.
Lorsque l'on en est rendu à se disputer les caleçons du défunt, on devrait plutôt parler de propreté intellectuelle.
Voici un passage de Kundera, tiré des «Testaments trahis», qui me semble bien résumer la problématique dont il est question:
«Car la volonté esthétique se manifeste aussi bien par ce que l'auteur a écrit que par ce qu'il a supprimé. Supprimer un paragraphe exige de sa part encore plus de talent, de culture, de force créatrice que de l'avoir écrit. Publier ce que l'auteur a supprimé est donc le même acte de viol que censurer ce qu'il a décidé de garder. Ce qui est valable pour les suppressions dans le microcosme d'un ouvrage particulier est valable pour les suppressions dans le macrocosme d'une oeuvre complète.»
Nous avons géré ensemble les caisses de papiers au pied de ta bibliothèque d'une manière telle, durant quelques années, que je sais ce que je dois faire et ne pas faire: faire attention et ne pas faire sous tension.
Ma main,
Kevin
C'est quoi cette histoire de culotte d'Anne Archet?
Sans flagorner, mais bon il faut s'qui faut des fois avec les êtres inclassables de ta trop rare espèce, je te prie de me faire don de quelques cellules souches de ton chapeau. Celui-ci aura eut l'immense tâche de ralentir et contenir l'exode du flot débridé de ta pensée qui élève sans jamais s'abaisser.
Pour ce qui est des formalités pré-trépassières, la Tribu te demande au minimum d'avoir complèté l'ascension de l'Everest en roller-blades vêtu d'une burqa en poils de perchaude. Si toutefois tu t'amusais de la montée, gares à la redescente! --MôooooooooooooMan
Bon, c'est quoi, tu penses encore mourir ? Demande l'aide d'un notaire (pour ton testament). Sinon, crois-moi, la crosse est trop facile. Je le sais, j'ai lu là-dessus ! (J'ai eu un cours là-dessus). T'auras qu'à payer un peu plus d'une centaine de dollars avec tes droits d'auteurs et l'avenir de tes textes, chansons, dessins... Sera assuré.
Trouve-toi une notaire de confiance. J'ai la mienne, mais elle est pas encore formée. Pis elle va être en Abitibi avant longtemps.
Anyway, Christian. J'ai de l'estime pour ton fils mais comme tu me l'as décrit, je doute qu'il ait une connaissance suffisante de la littérature pour bien gérer tes oeuvres. Je doute pas de sa bonne conscience, mais je doute de son inconscient.
Anyway, j'aurais aimé m'occuper au moins de l'oeuvre, pour la simple et bonne raison que je crois être; que je pense, même, détenir la connaissance la plus haute, et la plus lourde, des tenants et des aboutissants de ta littérature. En tant que j'ai été ton petit frère, ton élève, ton _wunderkund_. C'est un service que, tu vois, j'aurais aimé te rendre. Et à un coût modique.
Mais voilà, si tu veux qu'un écrivain (poète?) de deuxième ordre et qu'un avocat défenseur du droit syndicaliste, des pauvres, utilisent ton oeuvre pour la faire fructifier de la façon la plus utile à tes yeux; de la façon la plus _honnète_, je ne peux que m'y opposer.
Je donnerais à quelqu'un qui a les compétences, comme je m'emploie à les avoir, de la gestion de ton oeuvre; si j'étais à ta place.
De la même façon que j'aurais aimé préfacer _Vamp_ à la place de B. Laverdure, quand j'aurais eut les connaissances pour le faire, pour la simple et bonne raison que, Christian, je juge avoir plus de choses à dire, et d'une manière plus intéressante, que "L'amitié dans la nouvelle Héloĩse" Bertrand Laverdure.
Ce que je tiens pour acquis c'est que tu laisses traîner tes livres (scuse); gérer, tes livres. Par tes amis, pour la simple et bonne raison que tu les aimes, et que tu les estimes. *Soupir*. En quoi, au juste ? En tant que mon père spirituel, t'aurais dû faire autre chose (jour). En tant que ton fils spirituel, que ton fils en littérature, j'aurais dû m'occuper dudit héritage symbolique. Quand j'aurais pu, bien entendu. Pour trouver quoi en faire; les projets. (Vais étudier en Sciences et littérature, finalement. C'est confirmé.) Je pourrais le faire, allié à Marotte et Vigneau. Aussi, je laisserais à ta place le droit de veto à ton fils. Pour la simple et bonne raison qu'il faudrait le convaincre de la bonne justification du projet. Ce que j'aurais trouvé très amusant de faire. Pour la simple et bonne raison qu'en dernière analyse c'est, à l'image de Jésus Christ, lui le seul et unique représentant de _TOI_ sur terre. Et que je ne suis que le représentant symbolique; sociopathe. Au sens oèu Lacan l'entend ("Le sociopathe c'est celui qui ne perçois que le sens symbolique du monde". Comme moi pis toi, arh arh )!
Anyway, bonne chance dans la fin. J'espère t'avoir aidé; comme je t'ai aimé.
Pauvre petit. Pauvre canard. J'ai fait ce que j'ai pu pour toi, nous fûmes nombreux à le faire...
Mon gars est un doux colosse, il ne te blessera pas si tu te tiens à un kilomètre de nos affaires. Même à cinq cent mètres, il ne ferait que t'enfoncer la gueule dans une bouse de chien fumante.
De Kevin, je peux pas te garantir autant. De douceur, I mean.
Et de Hans, ben là, you're on your own.
''Viens-y donc, cochon, fouiller dans ma machine!''
Ça se passe de commentaires ! Mais sans farces, ils vont vraiment ouvrir l'ordi de Nelly ? J'te gage que c'est une boite de Pandore, c't'affaire là.
Pour ton testament,tu peux également nommer des liquidateurs de remplacement si ton ayant droit principal ou unique décide de passer la main. Tout ça doit cependant être notarié...
La seule chose à laquelle tu ne semble pas avoir pensé, c'est que tu vas tous nous enterrer !
M.M.
Je suis d'avis qu'un propos tel que celui qui précède en est un dont la prétention est déjà un peu au-dessus de ses limites dans la mesure où il se concerne un peu trop: tu penses à toi, ton envie d'être adopté, en quelque sorte... Canard.
Suis encore d'avis qu'il vaut mieux que je continue d'envisager toujours les choses qui concernent mon ami, mon fraternel, selon ce que nous déciderions ensemble après avoir frotté nos esprits l'un à l'autre.
Nous avons toujours fonctionné ainsi, et c'est notre force.
Pour ce qui est de tes considérations à mon propos, je te sais fragile et impulsif, et ne t'en tiens pas rigueur, mais what the fuck are you talking about Marotte like this, little nothing qui n'imagine pas vraiment ce que grandeur d'âme veut dire quand on s'appelle Hans avec un QI proportionnel au poids en pounds sur le ring ?
Toujours être prudent avec ce genre de personne, un conseil.
Ma main,
Kevin
Kevin, je la baise volontier ta main !
Écoute, d'abord je veux m'excuser auprès de Christian pour les propos que j'ai tenu à ton sujet. En effet, force m'est d'admettre que mon jugement a été (et l'est toujours contrepartie, tu ressens ton angélisme. C'est un peu un delire religieux, comme tu l'as déjà compris sans doute. Ce qui fait en sorte que j'aurais pu m'en prendre à toi ou à n'importe qui d'autre, que ç'aurait rien changé à personne. En ce moment, l'effet a passé donc je peux te dire : la critique aurait tenu le coup, dans mon esprit, contre n'importe qui (de Nicole Brossard à Jacques Godbout en passant par Robert Lalonde, Élise Turcotte et Yann Martel.) Ça, c'est pour ce qui en est de la qualité de ton travail...
Que j'apprécie autrement. À défaut peut-être de l'estimer mais ça ça n'engage que mes valeurs, que ma religion. Que mon dieu.
Pour ce qui est de Marotte, je ne mettais pas en question sa compétence. Encore que si tu calcules en termes de Q.I., je te ferai valoir qu'un enfant magique est à même de détruire une montagne de pierre monstrueuse. T'invites à regarder les Histoires sans fins à ce sujet.
Ce que je dis : c'est que je remets pas en question l'intelligence du gars, ni ses compétences en tant qu'avocat, mais que je remets plutôt en question c'est sa place dans l'histoire littéraire. En effet, j'ai sorti avec une femme qui passe son barreau aujourd'hui, et elle était tout à fait compétente dans le domaine de la cour; mais dans le domaine de la littérature, si c'était séduisant, si c'était bon, c'était pas satisfaisant. Ni pour elle, ni pour moi. Je doute, cependant, de ma volonté de continuer le débat. En effet, je suis fatigué, j'ai faim, j'ai consumé beaucoup d'énergie, et tu as gagné ma confiance. J'aurais d'ailleurs dû écrire là-dessus plutôt que de te répondre. Me laissera le temps de travailler mon contenu une autre fois. Et j'ai apprécié ta réponse.
Pour ce qui est de la nature de ton travail d'interprète psychologique, je pourrais te donner d'autres affaires à mon sujet. C'est désopillant et peut-être un peu attristant mais je vis bien avec mon impulsivité et ma fragilité. Ai rien d'autre à faire que d'accepter mon état, câlice !
En ce qui concerne Christian et ta déconstruction; je dois me résoudre à dire qu'il s'agit en effet bel et bien d'une quête d'adoption. Je peux pas croire que vous trouviiez pas ça désopillant. Ma tristesse, quant à elle, forme mettons la croûte terrestre qui protège le noyau de mon amour, désopillant. Comme je suis. Tsé, dans le fond j'offre rien d'autre que ma poésie à Christian, à toi et à tout le monde. Passé le stade où je suis pas un poète, je n'ai pas grand'chose à dire; ni à faire, ni à connaître. Je ne comprends pas grand'chose à la réalité; ni ne cherche à le faire. Pour la raison suivante, que j'ai mis du temps à trouver : (ce qui prouve la qualité de la question); et qui est, pourtant, une évidence (ce qui confirme) !: ah! ah ! si tu sais savoir ce que c'est que de pouvoir savoir ce que je pense et ressens à chaque moment dans toutes les fibres de mon corps; si tu connais cette connaissance de la connaissance; si tu sais ce que c'est que de penser à ce que tu penses; de savoir pouvoir connaître...
Ben alors t'auras mon affection. Comme tu l'as un peu.
Mais, tsé, ma conception de la littérature, de l'écriture et de la poésie; si tu l'avais pas déjà remarqué, est très semblable à celle de Baudelaire, et des surréalistes, et du jeune Artaud. Y'a toute une lignée...
J'ai un souvenir assez bon du texte que t'avais publié dans la revue à Numéro#. C'est-y pas proche de Neruda ? T'es adorable. T'as une conception de l'art ? C'est quoi ? Je suis curieux de le savoir.
Je me sens comme Jean-François Hamel sur le blogue de Dany Leclair. C'est étrange (;comme sentiment.) Te remercie, Kevin. Et te remercie, Christian.
Salut,
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Je connais quelque chose que j'ignore qui remonte (comme un serpent); comme un nouveau type de prédation..
Tu ne réalises pas que c'est mon jugement que tu mets en question. Si Hans n'était pas entièrement qualifié à tous égards pour comprendre et défendre de concert avec K mes intérêts littéraires, je n'aurais pas choisi ses épaules pour y déposer ce fardeau.
Kevin n'est pas adorable, kid. Ask around. Toujours être prudent avec ce genre de personne, un conseil.
Christian,
je reconnais l'avoir fait. Mais tu comprends mes raisons. Non? Tu sais ce que c'est que d'avoir le jugement suspendu par une substance psychoactive. En occurrence, ici, la Risperidone. Tu peux comprendre ce que c'est de se sentir agressé. Voila, j'ai voulu me défendre. C'est con que t'aies pas compris avant... ;-) ;-).
Mais j'ai reconnu mon erreur. Quand dans la rue je marchais et que j'ai pensé : " Ça a pas de sens de remettre le jugement de Christian en doute. Pourquoi j'ai fait ça ?" Et t'as la raison.
Ton ami a une âme adorable, c'est ce que j'ai voulu dire. Ses intentions ont l'air honnête. Qu'il ne le soit pas, au fond, n'a pas d'importance avec moi. Je ne me tiens pas dans les zones d'ombre de son langage.
Mais il y a anguille sous roche, merci de m'attirer l'attention la-dessus Christian. Je doute cependant qu'il retourne son attention vers moi, puisque je le mérite pas. (Ai titré ce courriel « Je, coquerelle. » Et la coquerelle, c'était moi !); Ai plus peur, qu'il la retourne contre lui-même, son attention !
Ce vers...! : « Ô saisons, Ô châteaux, qu'elle âme est sans défauts ? » Pourrait le tuer.
L'adore, te dis.
+ +
Il manquait un bout de paragraphe tantôt. Ai dû l'enlever pour cause techniques. La bibliothèque fermait, le nombre de caractère est limité; je pensais pas revenir.
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« Écoute, d'abord je veux m'excuser auprès de Christian pour les propos que j'ai tenu à ton sujet. En effet, force m'est d'admettre que mon jugement a été (et l'est toujours un peu d'ailleurs) affecté par la Risperidone. Je peux pas t'inviter à en prendre, mais je peux te décrire les effets : tu te sens attaqué de partout. Et, quand l'effet passe (et ça, ça ne concerne que moi :) tu sens les personnes comme des êtres maléfiques et, en contrepartie, tu ressens ton angélisme. C'est un peu un delire religieux, comme tu l'as déjà compris sans doute. Ce qui fait en sorte que j'aurais pu m'en prendre à toi ou à n'importe qui d'autre, que ç'aurait rien changé à personne. En ce moment, l'effet a passé donc je peux te dire : la critique aurait tenu le coup, dans mon esprit, contre n'importe qui (de Nicole Brossard à Jacques Godbout en passant par Robert Lalonde, Élise Turcotte et Yann Martel.) Ça, c'est pour ce qui en est de la qualité de ton travail... »
Fuck la Risperidone. Chacun son poison. Quand j'ai connu Kevin, il était plus jeune que toi maintenant et torchait déjà sa caisse de 12 chaque jour depuis des années, or il n'a jamais blâmé la bière ni mis ses gestes au compte d'erreurs de jugement. Moi non plus, tu remarqueras, ni aucun des Tribaux. C'est ce qu'il y a de foncièrement repoussant pour nous dans tes dires, lesquels présume-t-on expriment tes pensées. Grow up if you can, man, and if not there's not much any of us can do.
ROM: c'est Michèle, right? Anyway: lâchez-moé ek vos affaires de notaires, vous savez pas de quoi vous parlez. C'est sooooo vingtième siècle! Déjà là, un testament olographe était valide, imaginez ici, sur le Net, sur mon blog à moi, daté et signé sans possibilité de dissimulation, et vous verrez que les notaires Potiron feront mieux de se recycler dans la fabrication de... Bah! Who cares what they do!
Écoute, Christian. Ai sérieusement eu l'impression de ne pas faire partie de la tribu pendant longtemps ! pour la simple et bonne raison que, voilà, quand t'as commencé ce blogue t'avais l'air agressif et que je voulais sûrement pas m'associer à ça. Mais là, tu vois, ça a changé : t'es rendu plus affirmatif et tu déboucheras peut-être un m'ment d'nné sur la poèsie, qui sait ?
Bon, faque après je me suis dit vaguement : je ne fais pas partie de cette tribu d'arrièrés mentaux; de personnes hostiles dont le seul intérêt réside dans le sacrifice du corps !
Mais je ne suis pas corps, right ? Je suis pur esprit. Je suis l'esprit de la tribu. Je suis, Totem, la mascotte !
Ce qui est passionnant avec le cas de Bastien, c'est qu'il parle sans cesse de littérature, de poésie, de critique... mais qu'il ne nous a jamais fait lire une ligne de sa propre production littéraire. Est-ce qu'il considère comme de la littérature ces charabias bloguesques qu'il répand depuis quelques années? Ça m'intrigue, je dois le dire.
Sapristi, ça marchait pas comme ça dans mon temps! Fallait en écrire, des hosties de poèmes! C'est par la littérature que prenait forme la reconnaissance, pas par la parlotte.
Et puis, je me permets: Kevin, tu me manques. Une petite soirée aux Catacombes me ferait le plus grand bien.
m.
Merci Christian. Effectivement, j'avais pas affaire à dire ça. J'aurais dû assurer.
Mais voilà je trouvais ça plus facile... Ahr ahr !
Ah ah ! « il était plus jeune que toi maintenant »... t'es adorable...
Je suis en désaccord, cher Max, en totale et absolue posture adverse quant à la petitesse d'une soirée en mutuelle compagnie : grandeur, mon cher, car : "Nous qui l'aube aux seins froids de l'absence endurcis / Qui croyons s'inventer dans l'ivresse et la tour", dixit votre plume.
Ma main,
K.
Qui croirait que ces deux-là faillirent se sauter à la gorge quand je les ai présentés l'un à l'autre? Héhéhé...
C'était pour mieux se serrer dans nos bras, une fois que ces vers eurent retentis:
«Et j'ai deux fois vainqueur traverser l'Achéron
Modulant tour à tour sur la lyre d'Orphée
Les soupirs de la sainte et les cris de la fée.»
Va pour une grande soirée, Kevin, car comme tu sais, «il y a des matins émouvants mais difficiles.»
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