4.6.02

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Je relis Sarek, d'Ann C. Crispin, un roman de trekker. C'est au violon que je me suis laissé brusquement happer par l'univers de Star Trek; confiné avec quarante voleurs dans une caverne froide, cacophonique et malodorante, le sommeil me fuyait et, couché à même le plancher de béton, j'ai trouvé refuge dans le rêve: la liberté de l'espace infini, la loyauté de personnages fictifs, la justice immanente d'un futur télévisé.

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