Hier, lancement du Moebius sur la honte, celui dans lequel Kevin perd son pucelage d'écrivain amateur. Il y signe un texte très riche, très dense et très tendre. Je n'y suis pas allé, histoire de ne pas lui gâcher son moment. J'apprends qu'il n'y est pas allé non plus, probablement pour des raisons similaires. C'est Mario qui doit trouver le temps long, déjà qu'il n'est pas fort sur les mondanités, mais il subsiste toujours la chance qu'il tombe sur Violaine. Je l'ai bien fait, moi, mardi soir, au lancement de Don José Acquelin, et il ne m'a pas fallu deux pintes pour vendre la mèche. C'est vrai, quoi, qu'il se branche: si on attend tranquillement qu'il se déclare, la dame de ses pensées aura des taches brunes et une hanche en plastique.
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