29.12.08

Emcée, son amie et son frère et sa nièce, et Untel & nous tous et vous.


J'ai offert ce clip d'Untel à Emcée. Elle en a jasé avec son frère et son amie d'enfance et sa nièce en fumant sur le balcon, à propos d'éducation.

Elle m'a refilé le bouquin cherché trouvé numérisé, que je fais rebondir de suite vers vous.

Et je relance avec ce condensé télévisé de la vie d'un homme, d'un Homme.

6 commentaires:

Éric a dit...

Je me rappelle avoir trouvé ça dans la bibliothèque maternelle et avoir été intrigué, vers les quatorze ans.

Je me rappelle avoir lu, avoir médité, avoir compris, m'être indigné, avoir vu tout ça être encore vrai dans la grande majorité de la suite de mes études.

Je me rappelle m'être dit qu'il faudrait bien que je le rachète, bicose je l'ai pus, et que ça manque à ma collection.

Je me rappelle avoir trouvé la nouvelle couverture vraiment laide, et déplorer la présence du nom de l'auteur sur celle-ci. C'est pas Desbiens qui a écrit ça, c'est Untel, et ça aurait dû rester de même.

Mistral a dit...

Je désaccorde.

C'est Laurendeau qui baptisa ainsi (Untel) le frère, pour l'abriter des représailles, mais Desbiens lui-même se tapait les cochenutes avec l'anonymat, et il payit le pra et il paya le prix.

Mistral a dit...

Laurendeau aussi, by the way, qui forgea le terme joual...

Mistral a dit...

Googler André Laurendeau donne aujourd'hui: un cégep en première position, une polyvalente en seconde, une rubrique en troisième qui enfin ne fait pas de l'homme une école, quatro quelque salaud wikipédie Laurendeau associé aux mots Negro King.

Venise a dit...

Je remercie Emcée et toi pour ces vidéos trouvées pour moi (oui, oui, juste pour moi !), j'en ais beaucoup apprécié l'écoute et je vais encore une fois, utiliser ce chaînon à bon escient pour solidifier encore la chaîne des liens qui nous unit pour l'amour de la langue.

La vidéo au téléjournal est fascinante pour voir vieillir si rapidement. Vision presque effrayante.

Frappant combien ces "jeunes" étudiants avaient l'air vieux avant leur âge, mais ils l'aimaient leur prof et pas de doute, ils ont bien surveillé leur langue, qu'elle ne se joualise pas devant l'écran.

L'entrevue avec Judith Jasmin, c'est assez succulent merci, pour le fond du propos mais pour la forme aussi et je n'avais de cesse de penser à Lucien Bouchard. Est-ce que celui-ci aurait été un fan de celui-là ?!

Contente d'avoir appris le mot imprimatur, flûte, que je l'ai cherché. Ça en valait la peine, il va m'être tellement utile !!!

Mistral a dit...

Nihil obstat...