Ça se complique encore.
C'est enfin, pourtant, aussi simple que pur et ancien comme le monde: je commence à le comprendre.
Entre vassal et suzerain, entre capo et parrain, entre chevalier et dulcinée, le même lien de foi doublé de menace, de besoin mutuel et d'amour se tisse.
2 commentaires:
Au moins tu sais le reconnaître et à la télé en plus, j'aurais aimé voir toute l'entrevue, malheureusement, je l'ai raté, dommage qu'ils nous montre pas tout .... On juge pas quelqu'un à un bout d'entrevue.
Un bout d'entrevue, c'est en masse pour exercer son jugement, si on sait que juger ne veut pas nécessairement dire condamner.
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