
Toujours elles sont souveraines.

Parfois elles vont, parfois elles viennent, tête et cul en parfait alignement, hiérarchique et naturel. Et quand elles pleurent, l'horrible son qui en émane est compensé par la touchante bôté du pesstak.
Cahier spicilège de Christian MISTRAL.
2 commentaires:
Trop monté.
Je ne suis pas du bon côté pour commenter…
…mais, le silicone virtuel manque de charme. Le silicone, point. ;-)
Soulignons cependant l'assourdissant silence de ces sirènes siliconées: c'est reposant, c'est esthétique, ça fait changement et on s'entend bander.
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