15.1.08
13.1.08
12.1.08
Les fèves du samedi soir
Ça va sentir bon dans la cabane pendant que ça cuit et très mauvais après.
11.1.08
La mythique putain des Police
Ça, cependant, ce Tango de Roxanne, kicke du cul en Austin de beu.
Kevin, qui n'est pas très intelligent (QI 140, 143 maximum), n'arrive pas à commenter ce post et m'envoie donc sa réaction par courriel:
Ah, hé, hé ,hé... Tu es sûrement le seul que je connaisse qui revient faire visite à sa dernière prison et à son geôlier de façon hebdomadaire, sans que le contribuable y ait quoi que ce soit à faire ou à dire. Mais les Catacombes, quelle affaire... Je n'ai eu vent que d'une seule autre oubliette, le Château d'If, où la haute-voltige spirituelle se fût déployée comme en nos murs. Ceux qui n'ont rien su des prisons fraternelles ou qui n'ont pas lu Dumas ne savent pas de quoi on parle. Chacune de tes visites durant lesquelles je me réinvente garde-chiourme laxiste est un plaisir pour les sens et l'esprit, malgré que mon foie y perd quelques cellules.
10.1.08
La mère de mes amis...
Cette photo est bouleversante: on jurerait Marlène. Oh, Christ! J'ai de la peine.
DAOUST, Andrée (Michèle Andray)
À l'hôpital St-Luc, entourée d'amour, le 5 janvier 2008, est décédée Andrée Daoust (Michèle Andray), à l'âge de 73 ans. De sa nouvelle demeure, elle continuera de veiller sur son époux bien-aimé Germain Marotte, ses enfants Marlène (Neil) et Hans (Diane), ses cinq petits-enfants: Fauve, Félix, Yosa, Louve et Jude ainsi que sur ses nombreux parents et amis. Les funérailles auront lieu le samedi 12 janvier à 13 heures, en l'église St-Enfant-Jésus (11 boul. St-Jean-Baptiste, P.A.T., angle Notre-Dame). Au lieu de fleurs, un don à la fondation du CHUM serait apprécié.
8.1.08
Pax plate...
5.1.08
Lectures en 2007
J’ai lu, Paris, 1985, 634 pages.
Fatherland, Robert Harris (21 janvier 2007).
Julliard, Paris, 1002, 426 pages.
Enigma, Robert Harris (25 janvier 2007).
(T.O. Enigma, Hutchinson, Londres, 1995)
Plon, Paris, 1996, 320 pages.
Archange, Robert Harris (29 janvier 2007).
(T.O. Archangel, 1998)
Plon, Paris, 1999, 382 pages.
Don Camillo, Giovanni Guareschi (6 février 2007).
Seuil, Paris, 1951-2003, 810 pages.
Pompéï, Robert Harris (12 février 2007).
(T. O. Pompeii, 2003)
Plon, Paris, 2004, 416 pages.
Si c’est un homme, Primo Levi (28 février 2007).
(T. O. Se questo è un uomo, 1958).
Julliard, Paris, 1987, 216 pages.
Imperium, Robert Harris (5 mars 2007).
Hutchinson, London, 2006, 344 pages.
Histoire romaine, M. Le Glay, J-L Voisin & Y. Le Bohec (7 mars 2007).
PUF, Paris, 1991, 588 pages.
La source, James A. Michener (18mars 2007).
(T. O. The source, 1965)
Robert Laffont, Paris, 1966, 604 pages.
Trek : Captain’s peril, William Shatner (26 mars 2007).
Pocket Books, NY, 2002, 336 pages.
Trek : Captain’s glory, William Shatner (10 avril 2007).
Pocket Books, NY, 2006, 350 pages.
Brutus : assassin par idéal, Anne Bernet (19 avril 2007).
Perrin, Paris, 2000, 414 pages.
Auguste, Jean-Pierre Néraudeau (25 avril 2007).
Les Belles Lettres, Paris, 1996, 414 pages.
Tibère ou la spirale du pouvoir, L. Storoni Mazzolani (27 avril 2007).
(T. O Tiberio o la spirale del potere)
Les Belles Lettres, Paris, 1986, 366 pages.
Ordinary heroes, Scott Turow (1 mai 2007).
HarperCollins, Toronto, 2005, 372 pages.
Crime unlimited (L’histoire de Harry Starks), Jake Arnott (10 mai 2007).
(T. O. The Long Firm, 1999).
Passage du Marais, Paris, 2002, 342 pages.
Crime song (La ballade de Billy Porter), Jake Arnott (14 mai 2007).
(T. O. He kills coppers, 2001).
Passage du Marais, Paris, 2003, 310 pages.
True Crime (L’ombre de Harry Starks), Jake Arnott (19 mai 2007).
(T. O. truecrime, 2003).
Passage du Marais, Paris, 2005, 310 pages.
L’évangile selon Pilate, Éric-Emmanuel Schmitt (31 mai 2007).
Albin Michel, Paris, 2005, 284 pages.
Comme un collégien, John Le Carré (7 juin 2007).
(T. O. The honourable schoolboy, 1977).
Éditions G. P., Paris, 1980, 496 pages.
Errol Flynn : Satan’s Angel, David Bret (9 juin 2007).
Robson Books, London, 2004, 274 pages.
The onion field, Joseph Wambaugh (23 juin 2007).
Dell Publishing, New York, 1973, 444 pages.
Jules César, Roger Caratini (25 juin 2007).
1. Rome, ville à vendre! 1997, 548 pages.
2. La symphonie gauloise, 2001, 572 pages.
3. Le crépuscule du dieu, 2001, 504 pages.
Michel Lafon, Paris.
La légende de Seabiscuit, Laura Hillenbrand (6 juillet 2007).
(T. O. Seabiscuit : an american legend, 2001)
JC Lattès, Paris, 2001, 392 pages.
Auguste, Roger Caratini (15 juillet 2007).
1. L’héritier, 2001, 304 pages.
2. L’Imperator, 2001, 432 pages.
Michel Lafon, Paris.
The Jersey Lily, Pierre Sichel (20 juillet 2007).
Prentice-Hall Inc., N.J., 1958, 456 pages.
Lonesome Dove, Larry McMurtry (9 août 2007).
Tome I, 1990, 552 pages.
First, Paris.
Lonesome Dove, Larry McMurtry (16 août 2007).
Simon & Schuster, New York, 2000, 860 pages.
Le Christ s’est arrêté à Éboli, Carlo Levi (19 août 2007).
(T. O. Cristo si è fermato a Eboli, 1945)
Folio, Paris, 1948, 304 pages.
Dead man’s walk, Larry McMurtry (26 août 2007).
Simon & Schuster, New York, 1995, 464 pages.
Les crimes de monsieur Kissinger, Christopher Hitchens (4 septembre 2007).
(T. O. The trial of Henry Kissinger, 2001)
Saint-Simon, Paris, 2001, 204 pages.
Fiasco, James Robert Parish (18 septembre 2007).
Wiley, Hoboken, 2006, 360 pages.
The innocent man, John Grisham (18 octobre 2007).
Doubleday, New York, 2006, 360 pages.
State of denial (Bush at war, part III), Bob Woodward (26 octobre 2007).
Simon & Schuster, New York, 2006, 560 pages.
The secret man, Bob Woodward (31 octobre 2007).
Simon & Schuster, New York, 2005, 250 pages.
Forfaiture à la Maison Blanche, Theodore H. White (14 novembre 2007).
(T. O. Breach of faith, 1975)
Fayard, Paris, 1976, 394 pages.
Watergate : les fous du président, Carl Bernstein & Bob Woodward (27 décembre 2007).
(T. O. All the president’s men, 1974)
Robert Laffont, Paris, 1974, 388 pages.
3.1.08
29.12.07
Soleil de nuit
Me reste à recevoir mes exemplaires de la revue La Compagnie à Numéro.
Chercher des pouls
28.12.07
Crazy me
Crazy Duck
Le moral est bon. Il sait que la Tribu se soucie de son sort et appelle à sa libération. Ça lui fait du bien.
Free the Duck!
27.12.07
Sauver des vies
Répandez-le autour de vous, si vous flairez une jeunesse en détresse. Leur acheter du temps pour jongler, c'est tout ce qu'on peut faire peut-être, mais peut-être que c'est assez.
And, oh, by the way:
FREE
THE
GODDAMNED
DUCK!!!
Schürch
J'ai arrêté la poésie pour ce type-là. Parce qu'il l'écrivait mieux que moi. Il était la suite, l'avenir, la salvation, et je me suis assis en le regardant partir avec le flambeau.
Et il a fini par publier, de superbes vers, que personne n'a compris, mais il a livré sa part de rimes (façon de parler; la rime: pas son truc).
Now what? NOW WHAT? You want great poetry, ask him, not me.
Ou à Max. Pas pire, so far, Max.
Vigneau? Il a pris sa retraite.
Stan the man
Où le diable d'homme trouve-t-il l'énergie de se démultiplier ainsi? Travailler pour tout le monde et le Père Noël en même temps, le tout sans conflit d'intérêts? Je l'admire encore plus que je le déteste, c'est très embêtant...
Paraît qu'il se félicite d'entretenir de brèves mais passionnées relations avec mes ex, durant lesquelles il leur demande de parler de moi. Je vois ça d'ici. Stan haletant (bref mais passionné, remember?): «Come on, baby, talk Misty to me!»
Stan the man.
26.12.07
L'esprit de Noël
Max me fournit la dernière pièce pour mettre un terme à cette affaire. Et aux délicats qui me mettraient sur le dos de rendre publique une affaire privée, je signale que j'étais au chaud chez moi quand cette affaire a commencé, en public.
Je suis dans ma famille pour Noël, j'essaierai de t'écrire au retour sur ma version de cette soirée. Une chose est sûre, je ne pense pas devoir porter l'odieux, et je pense que tu le sais. Mon erreur, au final, aura été de me présenter fin soûl au Cheval Blanc, donc complètement manipulable. À moitié inconscient, je dirais. Pas mangé, trop bu, j'ai payé en effet une bière à ce cher Bastien, c'était un genre de fin de soirée agréable.
J'ai décidé de partir, me suis levé d'un bond. Elle a suivi, je pense n'avoir rien dit. J'ai finalement dit quelque chose quand on était rendu dans mon entrée pis ça s'en venait sérieux. Wo bec. On prend un dernier verre pis moi je me couche.
Merci de pas avoir cité mon nom de famille sur ton blogue. C'est au moins ça. Ma blonde trouverait ça faible de ma part, cet engrenage dont je me suis tiré in extremis. Si cette femme me quitte, je ne sais pas ce que je ferai. Donc, en te demandant pardon pour ma faiblesse envers cette histoire entre toi et elle et elle et Mac... je ne te demande rien, en fait. Je ne comprenais rien à son truc, j'étais fin soûl, et j'ai surtout trouvé bizarre qu'elle se jette dans mes bras dès mon arrivée à la librairie de Bruno, comme si on était de grands amis.
Enfin,
pardon,
Max
No problem. Quelqu'un veut en rajouter une couche? Sinon je passe à autre chose.
25.12.07
Libérez le canard!
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