Je viens d'entendre aux infos que Hélène Pedneault a cassé sa pipe, genre. Pipe, non, pas une bonne métaphore. Fuck les métaphores: c'était une sale grosse poche de hargne et de gueulantes ahuries qui me détestait, et je ne lui souhaitais pas la mort, mais crisse ça me fait pas de peine.
Next Week chez Bazzo, et l'album Souvenir de La Vie En Rose, et je t'avais dit y a dix ans que tu crèverais avant moi grosse hostie de salope. Auteure? Écrivaine? Tu faisais la même patente que moi, toi? Grosse gouine activiste, tu te dissimulais sous MON art pour lequel JE paie le prix, ta couverture c'était ça et ça fait dur.
Et vous êtes une gang de Boomers sur le point de tomber comme des tamias tirés par le long fusil à plomb du bon yeu. Tous vous autres imposteurs et faiseux d'accroires que vous êtes écrivains: attendez-en autant de moé en matière d'éloge funèbre, ou tuez-moé avant!
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22 commentaires:
Franchement, je n'y croyais pas. Te lire me donne le goût de vomir. Reste dans ton petit blogue de merde et surtout, continues de parfaire ton nombrilisme. Heureusement, grâce à des grands citoyens comme Mme Pedneault, le Québec a avancé. Toi, c'est la quintessence de la bêtise humaine, le crachat gratuit et le pas-de-vie-content-d'avoir-une-p'tite-voix-merdique qui te caractérise.
Petit pleutre! Tu es si bien caché sous ta "plume" (ou ton blog jaune), sors sur la place publique. Tu vas voir que tu vas te faire remettre à ta place et saches, petit arriviste de merde, que je m'en chargerai personnellement.
A bon entendeur salut et à toi Mistral, crève et ferme donc ta gueule de pseudo-commentateur, de crypto-intello. De toutes façons, t'es tellement pleutre que tu vas me modérer, pour être sûr de n'avoir personne pour déranger ton petit nombril intérieur. Ben complais-toi y pauvre type.
Oh oh oh! On a de la visite. Un monsieur Philippe qui me propose de sortir sur la place publique (sic) et de se charger personnellement de me remettre à ma place (sick?)
Mal informé, ti gars, hé ho calvaire, take it easy with your santé. Et avec les mots. You see, la pas de vie, c'est cette sale torche que j'ai moult raisons de honnir. Moi, je suis full vivant, et si tu veux y remédier, calvaire, depuis quand Mistral est-il dur à trouver?
Can you believe those anonymous fucks?
Oh so sweet...
Deux coups de fil et un coup de main d'un ami flic (oui, faites pas vos surpris, vous savez que j'ai toutes sortes de potes): ce brave Philippe est une grosse gouine qui réside à Pointe Saint-Charles, j'en dirai pas davantage, chu pas si sauvage.
Wanna fight, fag?
Je m'excuse de décevoir Philippe alias Citoyen Leclerc mais Mistral m'a tout l'air du type qui ne fait rien pour se faire aimer. Il n'est pas pertinent de le traiter d'arriviste, d'autant plus que Citoyen Leclerc m'a tout l'air de faire de la projection... Celui qui l'dit, celui qui l'est.
Encore une fois, je n'aime pas ce que Mistral dit de feue m'ame Pedneault: ça ne se dit pas grosse gouine activiste, surtout si l'on est un opportuniste. En écrivant cela, Mistral vient encore de se faire des tas d'ennemis et il devra compter les heures sur le banc de pénitence. Arriviste? Franchement! Vous voyez bien qu'il fait tout pour se faire haïr!
Cependant j'imagine que ce satané Mistral a écrit sur m'ame Chosebine ce qu'il aurait aimé lui dire avant qu'elle ne meure. En ce sens, c'est plutôt touchant. «Ah! J'aurais tant aimé te dire va chier mange d'la marde de ton vivant grosse calice!»
Ce n'était pas une écrivaine, cela dit, mais une Citoyenne. Paix à son âme. Et passons à autre chose.
Il faut savoir distinguer l'art de la propagande mon cher Philippe...
Ha ben là! Je vais me mettre à vous lire... autant de lucidité! au féministan! C’est affaire rare!
Triste sir... Rendu à inviter des anonymes à se battre...On a que ce qu'on mérite, faut croire. Je vous mets au défi de publiquement répéter les propos que vous tenez sur Mme Pedneault, vous n'en avez pas les couilles...Ce n'est pas parce qu'elle a fait n'était pas toujours génial. Vos propos font déjà le tour de la blogosphère mais de toute façon, c,est ce que vous voulez, non? Un autre quinze minutes de gloire jusqu'à votre prochaine ineptie?
Je vais rajouter mes deux cennes et ce, sans lécher le cul de personne, je laisse la marde aux autres. Ça, c'est un sacré billet. La première fois que je l'ai lu, et ce l'est toujours, j'ai été choqué, dégoutté (faites le tour des adjectifs,)etc. Ça doit être ma nature d'homme sensible un peu trop conciliant. Et puis en relisant, et c'est encore le cas, les phrases m'ont séduit. Je les vénère en secret. C'est d'une puissance et d'un réconfort de l'écriture, c'est un feu, un feu de justice qui consumera les pêcheurs. Vous me ferez pas croire que dans toute cette violence à outrance, y'a pas un petit v'lour, un petit agrément qui s'y dissimule.
Je résume: ce billet, je le répudie en public, ça doit être ma nature d'homme sensible un peu trop conciliant. Mais la nuit je couche avec et je la caresse.
c'est tout. C'est qui le pleutre?
Tu es profondément dérangé ou profondément malheureux, je ne sais plus trop et je m'en tape royalement.
Je me suis égaré un court moment à te lire, mais c'est terminé. Mon temps est trop précieux pour contempler plus longtemps une telle déchéance de l'esprit humain. Je te relègue à jamais, toi et ton oeuvre, dans le néant de mon indifférence.
Je le lui ai dit, Butch, et souvent, qu'est-ce que tu crois?
Mais c’est toute la raclure citoyenne que vous attirez dans vos pages de commentaires! Brave homme! Pendant qu’ils se perdent ici, ils ne peuvent sévir ailleurs. C’est un acte humanitaire votre spicilège...
:-)
Ah les artistes ! comment être malheureux et heureux de l'être ?
À ton invitation,j'ai détourné
le regard cette fois-ci.
You're such a TERRIBLE liar!
I agree with Makwa.
Who gives a makrap what or who you agree with. Agree with bibi or stuff it up you sweet ass.
Lyes!
:-)
I agree with Makwa too but who'll give a crap for him, huh?
Moé. Kwey.
T'as réussi à m'émouvoir mon hostie!
Et on vous donne le droit d'écrire un tel lot de niaiseries???? Qu'écrit-on au nom de la liberte d'expression! C'est abherrant.
Signé sainte ni touche.
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