Tcheckez-le aller, not' dear Stanley: à l'heure qu'il est, il rosit so to speak du profit qu'il fera en trashant Mistral un murmure à la fois aux oreilles de cette République des Lettres qu'il a, ma foi, imaginée, stie chu forcé de convenir que cettte cloche a quand même imaginé de quoi dans toute sa vie de cloche, me vlà refait et l'air nono, pourrai pus jamais accuser cette cloche de n'avoir jamais rien imaginé.
Vas-y, Ding-ding, mémère sur l'indignité du Big Dog pis sussure combien tu l'aimais cte grosse torche immonde, mais calvaire de crisse j'espère que tu la mènes à la fosse jusqu'au bout, comme tu le fais sur une base hebdo avec nos lambeaux de littérature, et que nous fournissons encore à ranimer.
Jamais. Jamais je ne te laisserai l'oublier, mon beau gros Stanley.
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1 commentaire:
Lorsqu'on lui demande pourquoi il n'assiste jamais à la soirée des Oscars, Woody Allen dit : "Je joue du jazz avec mes potes le lundi soir. Et puis... pas de compétition entre artistes !".
Je suis de son avis. Je ne connais pas très bien Le Prix des Collégiens (je croyais à un réseau de prostitution gay), mais ce que j'en lis ici et là depuis quelques jours me débecte bien à fond.
J'ignore à quand remonte cette idée saugrenue de l'olympisme artistsik, mais je ne me résoudrai jamais à y voir autre chose qu'une navrante tentative médiatisée de cuculisation de l'art. C'est donc sans trop d'étonnement que je constate que neuf fois sur dix, la médaille d'or est attribuée à un moron (ou une moronne) qui court pas vite vite.
Les sports de juges... uhm... Remettons le prix à l'écrivain-vaine qui dactylographie le plus vite. Organisons les épreuves entre les périodes de hockey, je vois d'ici les uniformes couverts de logos de commanditaires... Tout le monde y gagnerait, le peuple, la tivi, les zartsisses... Du quantifiable, du concret, du palpable. Monsieur et madame toulmonde seront servis (vos vedettes, vos champions) et les cochons bien gardés. En plus, les opportunités d'opportunisme n'en seront que multipliées de manière exponentiellement opportune ! Ce qui sera tant mieux pour ceux et celles des zartsisses que la partie zartsistsique du métier fatigue.
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