J'ai connu une vraie raunchy, immigrante Irlandaise, qui aimait marmonner ça pendant les moments les plus… disons salissants. Merci de m'avoir rappelé ça. Vive rien.
Si, si. Hélène de Roch Vaseline. Avec son énorme accent, ça donnait : « Saoule sou la plonche-ee lay joo donne low… »
Je m'arrête, mais le refrain en anglishe, quand quelqu'un te le chante avec ta carotte dans son armoire, c'est euh… Intimidant. Elle a passé au feu et je ne l'ai jamais revue. Luck o' the Irish. Yea.
Thanks, Maaaac! Juste une heure et demie que ça m'a pris pour localiser la version anglaise et essayer de deviner quel passage tu évoques. Le citer t'aurait donné un tour de rein? Héhé.
Carotte dans armoire, first time I read that one. M'inspire une image de triolet/labo psycho-social: lequel est mieux de la carotte ou du bâton? Une Ann S. au milieu (an ass in between), un mec carotte un mec bâton (speak softly and carry a big stick), un CD de Roch Voisine...
Bon, le plus intimidant je trouve serait ça:
Helen, things you do Make me crazy 'bout you Helen,stay just one more night so you dont have to leave until the end of time...
Is that it? Must be a drag keeping the carrot straight when some gaelic mumbling gal keeps calling you Helen.
Exactement le passage qu'elle me marmonnait, cette magnifique dingue. Ah ! Elle adorait les Steven Seagal, les Schwartzi, les pires navets. On se jetait au ciné à 14h, et hop, seuls dans la salle, les pieds dans l'eau… Enfin, pas dans l'eau…
Moi, je pourrais, mettons ben soul pis si la fille s'appelle Hélène pis qu'est niaiseuse, mais si c'est Mac, chanter Hélene en le baisant à la lueur du Terminator les pieds collés dans le Pepsi du tapis et le beurre chimique à Popcorn, faut ben être Irish: sont touchés par les Fées...
J'adorais Roch Voisine, tellement, que je l'aime encore.
Et aujourd'hui, si on me chantait Hélène avec une carotte dans l'armoire (ouf.. quelle image !), je crois bien que je rigolerais, comme une midinette... naturellement. :-D
Je ne veux rien détruire du tout, mon cher. Je suis dans la bizness inverse. Le cinéma a déjà été détruit par Guy Debord dans les années 50. C'est une longue agonie, c'est tout. J'approuve son geste, mais je ne détruirai rien.
Michèle des montagnes, voisine du thinking rock, dans ce cas ça change tout. Le Caïrote dans le grimoire, évidemment, trop turnoff, pas notre culture, pis les chattes sont sacrées là-bas, on peut pas y toucher, toute le mood est fucké, mais c'est un détail, on a des écrivains qui travaillent à huit piasses de l'heure, ils arrangent ça, kekchose comme un mandrin dans l'écrin, un machin dans ton chose, va falloir que je pratique mon lipsync...
Peu après l'époque que tu évoques, j'ai roulé avec Roch une semaine, circuit des pays francophones en Europe, le même dont il demeure captif. Pays gros comme des taches, t'en traverses trois le temps qu'il faudrait pour descendre d'ici à Saint-Georges-de-Beauce; un show chaque soir, la nuit Roch décrochait le téléphone de l'hotel, demandait à la réception dans quel pays on était et si c'était faisable de commander une pizza...
je t'ai tagué !! je sais que tu va râler , mais ça me ferait bien plaisir que tu essayes cet exercice ! va voir , c'est là : http://helenablue.hautetfort.com/archive/2008/11/16/taguee-par-la-ch-tite.html
Méditation à l'ère du numérique
-
Il avait débranché sa télévision et même sa radio.
Il avait éteint son cellulaire.
Il avait ouvert ses fenêtres.
Tout ça pour respirer.
Un peu.
Beauco...
.
-
Adieu Christian, mes sympathies à tes proches et à la Tribu. Je t'ai lâché,
je sais, après t'avoir beaucoup pris. Notre amitié n'était plus vive.
Pourtan...
DOCUMENT 3
-
Après tout, la vie n'est peut-être pas juste une pub télé de Linen Chest.
J'adore tripoter un géranium citron et me sentir les doigts après. Faut
que je m...
49 and a life to go
-
Ainsi donc, après une résonance magnétique et une visite chez le neurologue
on m'apprend que je n'ai pas de tumeur au cerveau. Pas de sclérose...
Pour avoir une idée de quoi on parle
-
"...À l'aube du 20 avril 1914, à Ludlow, coin perdu des hautes plaines du
Colorado, au centre d'une nation américaine en "apparent repos", les
soldats de ...
Vulnérabilité
-
Voici où j'en suis.
Je suis tombé par le plus grand des hasard sur cette conférence cette
semaine.
Seulement, je ne crois plus vraiment au hasard.
Cette da...
Revenons à nos moutons
-
L’improbabilité de l’être grandit avec l’accroissement des masques de la
certitude creusant l’abîme entre un réel d’autant plus rassurant qu’il est
pauvre...
Le poulet rôti façon Blue
-
Blue
Quand elle est partie de la maison, Swan m’a fait promettre de lui
transmettre ma recette du poulet rôti façon Blue. Elle aime l’idée
d’étendre ses p...
16 commentaires:
J'ai connu une vraie raunchy, immigrante Irlandaise, qui aimait marmonner ça pendant les moments les plus… disons salissants. Merci de m'avoir rappelé ça. Vive rien.
Marmonner quoi? Hélène? Allez, rigole?
Mon Irish needs a cup of coffee.
Si, si. Hélène de Roch Vaseline. Avec son énorme accent, ça donnait :
« Saoule sou la plonche-ee lay joo donne low… »
Je m'arrête, mais le refrain en anglishe, quand quelqu'un te le chante avec ta carotte dans son armoire, c'est euh… Intimidant. Elle a passé au feu et je ne l'ai jamais revue. Luck o' the Irish. Yea.
Thanks, Maaaac! Juste une heure et demie que ça m'a pris pour localiser la version anglaise et essayer de deviner quel passage tu évoques. Le citer t'aurait donné un tour de rein? Héhé.
Carotte dans armoire, first time I read that one. M'inspire une image de triolet/labo psycho-social: lequel est mieux de la carotte ou du bâton? Une Ann S. au milieu (an ass in between), un mec carotte un mec bâton (speak softly and carry a big stick), un CD de Roch Voisine...
Bon, le plus intimidant je trouve serait ça:
Helen, things you do
Make me crazy 'bout you
Helen,stay just one more night
so you dont have to leave until the end of time...
Is that it? Must be a drag keeping the carrot straight when some gaelic mumbling gal keeps calling you Helen.
Exactement le passage qu'elle me marmonnait, cette magnifique dingue. Ah ! Elle adorait les Steven Seagal, les Schwartzi, les pires navets. On se jetait au ciné à 14h, et hop, seuls dans la salle, les pieds dans l'eau… Enfin, pas dans l'eau…
J'aurais jamais penser à chanter Helene en baisant. JAMAIS.
T'entrepose ta carottes dans les armoires de femmes étranges Eric.
Moi, je pourrais, mettons ben soul pis si la fille s'appelle Hélène pis qu'est niaiseuse, mais si c'est Mac, chanter Hélene en le baisant à la lueur du Terminator les pieds collés dans le Pepsi du tapis et le beurre chimique à Popcorn, faut ben être Irish: sont touchés par les Fées...
Faut pas chanter quand on baise ...
Faut valser avec la musique dans sa tête!
Parfois, chanter ça aide à passer le temps. Mais c'est plus poli de fredonner dans sa tête par contre.
Hélène. J'avais 19 ans.
J'adorais Roch Voisine, tellement, que je l'aime encore.
Et aujourd'hui, si on me chantait Hélène avec une carotte dans l'armoire (ouf.. quelle image !), je crois bien que je rigolerais, comme une midinette...
naturellement. :-D
Ah ben là je comprends enfin pourquoi Mac veut détruire le cinéma.
Je ne veux rien détruire du tout, mon cher. Je suis dans la bizness inverse. Le cinéma a déjà été détruit par Guy Debord dans les années 50. C'est une longue agonie, c'est tout. J'approuve son geste, mais je ne détruirai rien.
Michèle des montagnes, voisine du thinking rock, dans ce cas ça change tout. Le Caïrote dans le grimoire, évidemment, trop turnoff, pas notre culture, pis les chattes sont sacrées là-bas, on peut pas y toucher, toute le mood est fucké, mais c'est un détail, on a des écrivains qui travaillent à huit piasses de l'heure, ils arrangent ça, kekchose comme un mandrin dans l'écrin, un machin dans ton chose, va falloir que je pratique mon lipsync...
Peu après l'époque que tu évoques, j'ai roulé avec Roch une semaine, circuit des pays francophones en Europe, le même dont il demeure captif. Pays gros comme des taches, t'en traverses trois le temps qu'il faudrait pour descendre d'ici à Saint-Georges-de-Beauce; un show chaque soir, la nuit Roch décrochait le téléphone de l'hotel, demandait à la réception dans quel pays on était et si c'était faisable de commander une pizza...
hou ! quand je pense que je m'appelle hélène !!
je t'ai tagué !! je sais que tu va râler , mais ça me ferait bien plaisir que tu essayes cet exercice !
va voir , c'est là :
http://helenablue.hautetfort.com/archive/2008/11/16/taguee-par-la-ch-tite.html
à bientôt ...
H.
Il eut mieux valu que tu ne me racontas point cette anecdote.
Il y a de ces injustices !
Il a couché avec Roch Voisine.
J'ai la groupie verte d'envie.
J'ai honte de mon accord.
J'ai accordé mon raconter comme un passé simple alors que le bon usage commandait le subjonctif imparfait.
Donc :
Il eut mieux valu que tu ne me racontasses point.
Publier un commentaire