Beaux gants SM, les filles. Real kinky. Hérouxville, votre chorale? Saint-Amable? Où diable est passé Gregory Charles?
Comme ça, la lune comprend ce qui vous pousse à vivre à la dérive... Doit pas être commode d'être un fauve libre et seul au monde à dix sur le stage rangées comme des sardines. Tough, la vie d'artisse, crisse.
Faites-moé ça encore un p'tit coup? Avec vos mains, là, l'affaire que vous faites quand vous chantez La luuuuuuuune! C'est trop cute, stie, avec vos gants de Vénus à la fourrure suburbaines pis la matante qui vous donne le ton au lutrin, chu pas loin de croire que c'est en plein de même que je concevais la mise en scène, déplacée, quand j'écrivis tranquille dans mon salon cette chanson que vous vous mettez à quinze pour dépecer.
16.10.08
S'abonner à :
Publier des commentaires (Atom)
7 commentaires:
J'ai beau être curieuse en diable, l'envie me tenaillant d'aller vérifier ce que tu y as vu, là, vraiment, je suis pas capable.
Non, pas capable. Le temps c'est précieux quand même.
Ah ! Stie que je te comprends. Quand j'ai entendu le remix-dub-house de ma Sarajevo au Jean-Coutu, je me suis assis au parc une demi-heure pour brailler. Aah ! Nos petits quittent la maison…
:0)
Toi, même quand tu brailles, tu fausses pas!
En effet ça fausse, les gants sont laids, les filles sont dyslexiques du mouvement, la chef n'a peut être pas été assez rigoureuse dans son enseigment MAIS... elles chantent une toune de Mistral plutôt que de Madonna.
Je préfère voir des jeunes chorales fausser sur des oeuvres d'ici plutôt que de fausser sur des tubes d'ailleurs.
Ayant moi même chanté pendant 10 ans dans une chorale on devait se battre pour avoir une bonne représentativité Québecoise dans notre répertoire.
Si on ne veut pas que la chanson Québecoise meurt, parfois faut se boucher une oreille pour l'apprécier.
Ceci dit, je griche des dents aussi en l'écoutant.
J'avais envie de bougonner. Ça rince les soupapes.
Bougonner ça bouche les artètres aussi.
Peut-être! Mais ça prend des bourres entre le salpêtre, les boulettes et les reîtres.
Publier un commentaire