5.10.08

Qui se souvient d'un Big Mac en janvier dernier?

Moé. Et, je gage, le docteur itou, héhé.

Le billet sur ma palette par Pierre Cayouette: 24 septembre 2007.

Le 20 novembre, Tony, à bout de patience, inscrit un commentaire bref, éloquent et net, sans exclamation: son sens de la mesure mesure l'épaisseur ambiante et il dimensionne le cercueil et il fournit le bois. Le trou, ils l'ont creusé eux-mêmes.

Mac, à qui rien n'échappe, vient clore le couvercle avec un gun à clous le 14 janvier.

Mais les morts sont vivants et hantent les paisibles avenues du Plateau! On les entend hululer à travers les croisées closes, la spectrale rumeur s'élève: «Taaaaaaaaxes! Noooooos taaaaaaaaxes! Alcooooooool! Tabaaaaaaaaac! Béeeeeeeeeeeeeesse! Cliiiiiiiiiiiique!»

Brrrrr! Maurice! Fait froid!

1 commentaire:

Gaétan Bouchard a dit...

J'ai lu la lettre de Mac et c'en est une qui fesse là où ça fait mal.

Il y a beaucoup trop de ce type d'anges exterminateurs sans courage sur le ouèbe, d'anonymes larves qui babillent des puérilités qu'ils tiennent pour de la réflexion intellectuelle.

C'est comme pour les libertariens, les ceusses qui se plaignent des taxes, des impôts, et qui sont payés par l'État pour le dire: tous des chercheurs et des parasites des HEC, des hosties de BS de luxe...

Ça ne fait pas sérieux. Dans leur monde idéal, il n'y aurait plus de parasites payés par l'État pour tenir des discours libertariens. C'est l'histoire de l'arroseur arrosé, la fable de l'officier qui dirige une colonie pénitentiaire dans une nouvelle de Kafka...