Je savais que tu savais, hé,hé ça ne pouvait pas être autrement... Pas moyen d'effacer ça de notre mémoire, pas vrai? ça me fait tout chaud dans le coeur, on garde une âme d'enfant! Quoi de plus trippant, le rire de Juste peut-être?
J'suis jeune mais pas assez pour ne pas avoir des souvenirs de ça, ça jouait chaque année dans les années '80 comme Jésus de Nazareth. Quoique ça me rappelle plutôt mon bal de secondaire cinq. Il y avait de quoi tripper, c'est juste!
Presque ça, toubib. Mais l'émotion ne vient pas tant de la chanson, pour nous, que de les voir vieillis et réunis, John la taille épaissie, Olivia le teint moins lisse et rose, mais vivants et beaux, you know: anciens complices, d'eux-mêmes et de nous, croirait-on.
T'as qu'à songer aux équivalents pour toi, circa 1990: dans dix ans, les revoir te fera ça aussi.
Oui, l'émotion vient de là. La pérennité de leur complicité nourrie de leur vie à chacun d'eux. Je trouve que c'est un bien joli message, ça me met drôlement du baume au coeur! Tu trouves pas qu'on se sent d'un coup moins vieux?
Ah ouais, il bougeait en maudit. Mais tsé, lors de son comeback dans Pulp Fiction, lourd et quadra, il dansait toujours de façon fantastique, et ça avait médusé tous les critiques.
Dans Saturday Night Fever, là, sortez le bucket kekun que j'dégueule: il dansait super, mais calvaire, comment on a pu trouver ça beau et tous faire pareil si longtemps...
N'empêche! On se fout de ce qu'il a pu faire de mauvais, ce qu'on retient c'est çà! Sacré bonhomme et sacrée bonne femme, je me lasse pas de mes voir, honey!
OK, subitement je comprends. Comme si je la reverrais dans dix ans, celle du bal de finissants. Je deviens un peu pessimiste, là. Mais j'suis pas ici pour gâcher ton fun. En attendant je fais du Pulp Fiction.
Méditation à l'ère du numérique
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Il avait débranché sa télévision et même sa radio.
Il avait éteint son cellulaire.
Il avait ouvert ses fenêtres.
Tout ça pour respirer.
Un peu.
Beauco...
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Adieu Christian, mes sympathies à tes proches et à la Tribu. Je t'ai lâché,
je sais, après t'avoir beaucoup pris. Notre amitié n'était plus vive.
Pourtan...
DOCUMENT 3
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J'adore tripoter un géranium citron et me sentir les doigts après. Faut
que je m...
49 and a life to go
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Ainsi donc, après une résonance magnétique et une visite chez le neurologue
on m'apprend que je n'ai pas de tumeur au cerveau. Pas de sclérose...
Pour avoir une idée de quoi on parle
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Vulnérabilité
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Cette da...
Revenons à nos moutons
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Le poulet rôti façon Blue
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Blue
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transmettre ma recette du poulet rôti façon Blue. Elle aime l’idée
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16 commentaires:
Wouah! Wouah! J'adoooooooooooore... Trop de la balle! C'est beau à voir et bon à entendre!
Cool, right?
Chavais. Chavais que tu serais la première, héhé...
Brigand!
Je savais que tu savais, hé,hé ça ne pouvait pas être autrement... Pas moyen d'effacer ça de notre mémoire, pas vrai? ça me fait tout chaud dans le coeur, on garde une âme d'enfant! Quoi de plus trippant, le rire de Juste peut-être?
Love you Black Angel!
Juste Leblanc!
Lyes.
J'suis jeune mais pas assez pour ne pas avoir des souvenirs de ça, ça jouait chaque année dans les années '80 comme Jésus de Nazareth. Quoique ça me rappelle plutôt mon bal de secondaire cinq. Il y avait de quoi tripper, c'est juste!
Presque ça, toubib. Mais l'émotion ne vient pas tant de la chanson, pour nous, que de les voir vieillis et réunis, John la taille épaissie, Olivia le teint moins lisse et rose, mais vivants et beaux, you know: anciens complices, d'eux-mêmes et de nous, croirait-on.
T'as qu'à songer aux équivalents pour toi, circa 1990: dans dix ans, les revoir te fera ça aussi.
Oui, l'émotion vient de là. La pérennité de leur complicité nourrie de leur vie à chacun d'eux. Je trouve que c'est un bien joli message, ça me met drôlement du baume au coeur!
Tu trouves pas qu'on se sent d'un coup moins vieux?
Et la taille moins épaisse, et le teint plus lisse et rose.
Ouais tout à fait!
Me sens pas la même dans la glace ce matin en chantant ça! Hé,hé!!
I got chills!
They're multiplyin'...
Je suis aller voir l'original tout de suite après. Fallait que je vois Travolta danser.
Ah ouais, il bougeait en maudit. Mais tsé, lors de son comeback dans Pulp Fiction, lourd et quadra, il dansait toujours de façon fantastique, et ça avait médusé tous les critiques.
Dans Saturday Night Fever, là, sortez le bucket kekun que j'dégueule: il dansait super, mais calvaire, comment on a pu trouver ça beau et tous faire pareil si longtemps...
N'empêche! On se fout de ce qu'il a pu faire de mauvais, ce qu'on retient c'est çà! Sacré bonhomme et sacrée bonne femme, je me lasse pas de mes voir, honey!
OK, subitement je comprends. Comme si je la reverrais dans dix ans, celle du bal de finissants. Je deviens un peu pessimiste, là. Mais j'suis pas ici pour gâcher ton fun. En attendant je fais du Pulp Fiction.
Genre la shot d'adrénaline straight au coeur? Do you make house calls?
Exact, mais c'est moi qui suis l'overdosé.
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