Jean-Paul Brodeur, professeur à l'Institut international de criminologie comparée de l'Université de Montréal, publie un texte dans Le Devoir intitulé la torture aseptisée. Il conclut à la vacuité de la notion de crime, "quand on la rapporte sans plus à des actes. Même les actes les plus barbares peuvent être tantôt dénoncés et tantôt légitimés, selon qu'ils sont perpétrés par un dément ou par l'État."
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