Exit Mario. La joie qu'il soit venu me voir, ce vieux renard, si peu expansif d'ordinaire, et qui m'a serré dans ses bras avant de partir, mon courrier à poster dans sa poche.
Il s'apprête à se délester d'une grosse crotte qui lui ronge le coeur depuis quinze, vingt ans: une histoire authentique de la ville de Sorel, verrues et tout.
Appuie mon refus de sortir d'ici, même trois heures par semaine pour faire les courses, s'il me faut pour cela quémander la permission.
Par ailleurs, Justine m'informe que mes fichiers son sont à peine audibles. Besoin de consulter d'autres sources, d'autres machines.
Dernière heure: KV arrive, croise Mario sans le voir, harassé; prend son courrier, trouve une enveloppe de Justine pleine de goodies. Justine rouge, Mère Noël...
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