Claude André, mon vieux frère, mon paquet de troubles, publie sur le net un commencement de roman: J'me barre à l'aube. Claude dont tout le malheur sera d'avoir été trop beau. Me touche toujours, m'a toujours touché. J'avais vu le début de ce livre, mais j'ignorais qu'il eût déjà tant travaillé. Les premières pages, un peu brouillonnes, témoignent de cette lucidité acide qui vient brusquement un beau jour aux brillants ivrognes de haute volée. Trouvera-t-il en lui-même la fortitude de mener cet ouvrage à son terme? Ses femmes lui en laisseront-elles la force, ou se laissera-t-il sucer toute la gomme?
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