31.3.02

Pâques, donc. Odeurs de résurrection. Hier, dîné chez maman pour les vingt ans de Jean-Christian. Surprise: le boss m'assigne un bout de la table, en co-présidence so to speak, et grand-mère s'assied au milieu, face au petit. Je tourne le dos à la fenêtre plein soleil et ma chemise noire chauffe; maman m'offre de me déplacer. Je décline. Ça fait trente-sept ans que j'attends cette place. Je la garde.

À mon fils, j'offre le canif monogrammé de grand-père, relié à une chaîne de montre représentant la famille. Grand-mère est touchée: cet objet, elle l'avait offert à Hector pour leurs fiançailles.

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