30.6.13

En ce temps-là, outre Yes & No, mon frère Kevin parlait pas Yâwb l'anglais, pis le nom d'Elvis lui donnait de l'urticaire.

Mais il m'aimait et me trustait et il a regardé ça, avant de s'exclamer: "Wow! C'est un génie, ce gars-là!"

6 commentaires:

Le plumitif a dit...

encore une fois, on est comme qui dirait "connectés" parce que, honnêtement, j'avoue n'avoir jamais été un bin gros fan du King, mais c'est justement en voyant ce petit concert intimiste que j'ai compris que les paillettes et le brylcreem m'avaient masqué l'essentiel...

Mistral a dit...

Kestu veux, y avait son Colonel Angélil à lui, qui l'exploitait à l'os, pis et cetera.

Mistral a dit...

OH! Merci Michel pour ce lien!

Je viens de réaliser ce que c'est...

Mistral a dit...

Il a l'air si naturellement heureux, joyeux de chanter. Mais au milieu de ces futures matantes! Des plottes en plastique, des chaises en plastique, des guitares en plastique, des chums en plastique! Tu le sors de ce contexte avec les nouvelles technos vidéos et le gars est frais d'hier!

Mistral a dit...

Un soir,circa 1972, j'ai trouvé un vieux tube de pâte à dents tout sec dans une vieille boîte à mon père. Ma mère m'a expliqué que c'était pas du dentifrice, mais du Brylcreem. Kossé que c'est, lui demandai-je. Ah, répondit-elle, les gars se mettaient ça dans les cheveux. Ça sentait le yâwb...

Le plumitif a dit...

:)
j’ai pas eu cette "chance" de faire l’expérience plus ou moins archéologique, in vivo, d’effluves brylcreemiens (beurk!)
mais pour le petit show intime entéka, c’est exactement ça: une assurance et un bonheur manifeste de chanter qui ne mentent pas...