Un témoignage riche de vécu, pas l'intention de le laisser tomber par les trous du Net. Un de ces jours, il faudra que j'aille le saluer quand on se croise à l'épicerie.
Intéressant comme nouvelle. Je suis aussi content que la nouvelle t'ai nommé.
Moi je pensais que le directeur littéraire changeait beaucoup plus que 2-3% dans un roman. J'écris pas alors je suis biaisé mais c'était juste ma perception. Je pensais qu'il faisait "genre" des grandes ratures sur ton texte ou te disais: ce paragraphe là ne fonctionne pas dans le temps etc.
Cela doit être une belle expérience que de travailler avec un gars comme lui.
Le temps nous quitte un peu plus chaque jour Avec des gestes lents et des pas assurés Bonne retraite M. Vanasse La retraite n'est pas une condamnation C'est la vie qui continue !
LIGERE LENITER DELECTATIO EST PRO UNUM LIBRUM QUEM VOCAT SPIRITIBUS TEMPORIS. AVE VANASSE.
Suite aux précédents commentaires, je mets de l'avant mon latin de cuisine pour célébrer à la fois un homme sans lequel je ne connaîtrais pas mon frère, et une soeur d'esprit qui m'a remis mes versions et mes thèmes en tête dont j'ai omis de souligner un jour des 70's, mais... que ce soir j'ai pensé à elle ! avec cette sortie antique... Je me refais pas, et mon fils me regarde là comme si j'étais fou à parler latin : mais nos Lettres levées et, à Vanasse, les chapeaux bas.
Stie de latin. Y en avait au collège mais c'est trop loin, trop d'joints.
Ils disaient que cela améliorerait et aiderait mes compétences de français. Bof...cela n'a jamais aussi bien fonctionné que la lecture. C'est la lecture qui a vraiment aidé "mon français".
C'est une devise que je me suis volée à Fulcanelli, pour la suite latiniste et que je traduis de suite : "Lis, lis, relis, prie, travaille et tu trouveras."
Une vieille sagesse monastique et surtout maçonnique. Ça va au-delà des langues et des siècles.
Ché pas kestu veux dire au juste. Il a lu en christ et il a trouvé en tabarnak.
Kevin (ne) croit (pas) si bien dire: au-delà des langues et des siècles indeed. À preuve, cet extrait de la POLITIQUE DE CONSERVATION DU CONTENU de Mac: Prenez votre temps, écrivez bien, relisez, réfléchissez, publiez en mode brouillon, relisez, crisse, c'est ça l'affaire. Le noeud de l'affaire.
Voilà un homme qu'il doit être bon de croiser et de rencontrer. L'amour de l'art, l'amour des mots! Au fond, je lui dois beaucoup puisqu'il a cru en toi et en ton talent. Merci à lui, ab imo pectore.
"Le directeur des collections «Romanichels» et «Étoiles variables» s’allume lorsqu’il parle du travail avec les auteurs: «C’est ça qui est ma vie. Je peux ne pas faire changer une ligne, je peux faire changer 50% du roman! C’est ma passion! Quand je vois comment le roman a changé du début à la fin, je me dis: on a-tu bien travaillé!» "
Ce qu'écrit Mac va dans le même sens...et dire qu'en lisant vos romans on a l'impression que vous avez écrit d'un trait, ça coule comme de l'eau de source. Mais si on n'a pas ce don au départ, peut-on écrire ? Je répondrais non.
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19 commentaires:
Un témoignage riche de vécu, pas l'intention de le laisser tomber par les trous du Net. Un de ces jours, il faudra que j'aille le saluer quand on se croise à l'épicerie.
Wow merci pour le post.
Intéressant comme nouvelle. Je suis aussi content que la nouvelle t'ai nommé.
Moi je pensais que le directeur littéraire changeait beaucoup plus que 2-3% dans un roman. J'écris pas alors je suis biaisé mais c'était juste ma perception. Je pensais qu'il faisait "genre" des grandes ratures sur ton texte ou te disais: ce paragraphe là ne fonctionne pas dans le temps etc.
Cela doit être une belle expérience que de travailler avec un gars comme lui.
Ouain. Touchant.
Pro captu lectoris habent sua fata libelli.
Le temps nous quitte un peu plus chaque jour
Avec des gestes lents et des pas assurés
Bonne retraite M. Vanasse
La retraite n'est pas une condamnation
C'est la vie qui continue !
LIGERE LENITER DELECTATIO EST PRO UNUM LIBRUM QUEM VOCAT SPIRITIBUS TEMPORIS. AVE VANASSE.
Suite aux précédents commentaires, je mets de l'avant mon latin de cuisine pour célébrer à la fois un homme sans lequel je ne connaîtrais pas mon frère, et une soeur d'esprit qui m'a remis mes versions et mes thèmes en tête dont j'ai omis de souligner un jour des 70's, mais... que ce soir j'ai pensé à elle ! avec cette sortie antique... Je me refais pas, et mon fils me regarde là comme si j'étais fou à parler latin : mais nos Lettres levées et, à Vanasse, les chapeaux bas.
Ma main,
Kevin Vigneau
Tribaux: KV a rédigé cette sentence by his own classic self. On vient de se jaser au téléfaune et il a accepté de la traduire ici-bas pour tous.
"Lire est un plaisir pour un livre qui appelle aux esprits du temps, Salut Vanasse !"
KV
Stie de latin. Y en avait au collège mais c'est trop loin, trop d'joints.
Ils disaient que cela améliorerait et aiderait mes compétences de français. Bof...cela n'a jamais aussi bien fonctionné que la lecture. C'est la lecture qui a vraiment aidé "mon français".
Tu fais pas de fautes, entéka.
Mais Kevin, c'est son français qui aide son latin.
Je m'en remamuse à la latinade !!!
LEGE LEGE RELEGE ORA LABORA ET INVENIES
C'est une devise que je me suis volée à Fulcanelli, pour la suite latiniste et que je traduis de suite : "Lis, lis, relis, prie, travaille et tu trouveras."
Une vieille sagesse monastique et surtout maçonnique. Ça va au-delà des langues et des siècles.
KV
Merci Kevin.
N'empêche, le nouveau retraité ne l'avait pas fait sienne cette devise : lis, lis, relis, prie, travaille et tu trouveras ?
Ché pas kestu veux dire au juste. Il a lu en christ et il a trouvé en tabarnak.
Kevin (ne) croit (pas) si bien dire: au-delà des langues et des siècles indeed. À preuve, cet extrait de la POLITIQUE DE CONSERVATION DU CONTENU de Mac: Prenez votre temps, écrivez bien, relisez, réfléchissez, publiez en mode brouillon, relisez, crisse, c'est ça l'affaire. Le noeud de l'affaire.
Voilà un homme qu'il doit être bon de croiser et de rencontrer. L'amour de l'art, l'amour des mots! Au fond, je lui dois beaucoup puisqu'il a cru en toi et en ton talent.
Merci à lui, ab imo pectore.
J'avais en tête ceci :
"Le directeur des collections «Romanichels» et «Étoiles variables» s’allume lorsqu’il parle du travail avec les auteurs: «C’est ça qui est ma vie. Je peux ne pas faire changer une ligne, je peux faire changer 50% du roman! C’est ma passion! Quand je vois comment le roman a changé du début à la fin, je me dis: on a-tu bien travaillé!» "
Un article que j'ai lu sur le Portail du livre.
Ce qu'écrit Mac va dans le même sens...et dire qu'en lisant vos romans on a l'impression que vous avez écrit d'un trait, ça coule comme de l'eau de source. Mais si on n'a pas ce don au départ, peut-on écrire ? Je répondrais non.
Bon alors.
Voici ma préférée, vu qu'on est dans le Latin.
Homo homini lupus est.
Elle résume ma pensée de la nature humaine.
Aussi, Le Devoir :
http://www.ledevoir.com/culture/livres/341233/entrevue-un-athee-beni-des-dieux
Oh! Merci!
et ici :
http://planete.qc.ca/culture/livres/actualiteslitteraires/index.html
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