10.11.09

Mandy, qu'il dit, Rabby Lanimow, mais c'est Sandy qu'il faut ouïr, outre quoi c'est une jolie mélodie et une belle chanson.



Je la taquine, faute de savoir comment parler de son cadeau. J'ai pleuré quand elle me l'a offert. Émile Nelligan, Poésies Complètes, 1896-1899, Collection du Nénuphar, Fides, 1968.

Crazy sweet Sandy à marde; merci, merci. Merci...

6 commentaires:

Blue a dit...

" Pourtant j'ai foi encore,
Je crois en ces causes et ces corps
Qui font vibrer mes fibres vives
Et qui m'adorent et qui me suivent."

Tu l'as écrit Christian et aujourd'hui encore...
Maudite Sandy, quelle belle amie!

braincras a dit...

cool édition, damn, je vois poindre une mini-forme de jalousie dans mon esprit, that's an artifact, no? great gift, have fun with it.
juste en passant, Vamp ça m'a parlé crissment. merci.
bonne track à s'annihiler. good share.

RAINETTE (l'énigmatique) a dit...

Well you came and you gave without taking
But I sent you away, oh Sandy
Well you kissed me and stopped me from shaking
And I need you today, oh Sandy

oh oui je l'entends ! Elle est fine en pas pour rire la Sandy ! Wow !

Yvan a dit...

Ça doit être le mois
de novembre au Québec.
Je vois pas autre chose.

Emcée a dit...

Quelle belle édition !

Un cadeau superbe de sa part.

Pour agrémenter les soirées d'automne...

;-)

Mistral a dit...

LE CORBILLARD
Par des temps de brouillard, de vent froid et de pluie,
Quand l'azur a vêtu comme un manteau de suie,
Fête des anges noirs! dans l'après-midi, tard
Comme il est douloureux de voir un corbillard,
Traîné par des chevaux funèbres, en automne,
S'en aller cahotant au chemin monotone,
Là-bas vers quelques gris cimetière perdu,
Qui lui-même comme un grand mort gît étendu!
L'on salue, et l'on est pensif au son des cloches
Élégiaquement dénonçant les approches
D'un après-midi tel aux rêves du trépas.
Alors nous croyons voir, ralentissant le pas,
À travers des jardins rouillés de feuilles mortes,
Pendant que le vent tord des crêpes à nos portes,
Sortir de nos maisons, comme des coeurs en deuil,
Notre propre cadavre enclos dans le cercueil.