C'est comme ça qu'il écrivait, dans le temps, et ce salaud vient de se trahir: il sait toujours écrire. I knew it. I KNEW IT!
Une chronique sentie sensée songée d'alpha en oméga. Le gars d'autrefois.
Ça déchire, ce papier. Il a oublié de niaiser, de martiner, il est triste et fâché: il parle de lui, de moé, de plusieurs d'entre vous qui rôdez par ici, et de son temps aussi, de l'avenir de nos enfants: l'esprit affûté de Richard nous en découpe une tranche.
Et s'il omet de mentionner le tiers frère, Napoléon, qui siège astheure à l'Assemblée Nationale, c'est dans l'intérêt de la dialectique.
4 commentaires:
Y'a de l'espoir!
Mais faut avouer que dans le corpus récent ça détonne...
You, on the other hand, are equal to yourself: honnête à l'os que c'en est ennuyant!
LYES...
Oui je saigne... hé hé!
Il y eut un temps où j'aimais bien Martineau. Je le lisais, et je trouvais ça bien qu'il en reste pour dire les choses comme elles sont, au risque de passer pour un chiâleux.
Et puis un jour, je l'ai vu (et entendu) 'à tivi. Le personnage qu'il se donne m'a un peu (beaucoup, passionnément...) refroidie.
Mettons.
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