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«Il faudrait pouvoir tout voir»: © 2008 Venise Landry
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Vu le prix des fedoras, mieux vaut veiller à ne pas trop s'enfler la tête.
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8 commentaires:
Shit.
Yup.
Bizz.
Ouch. Je pense que c'est l'une des choses les plus tristes qui soient...
Oui...
Pour nous autres, c'est surtout la perspective la plus épouvantable. Better not dwell, you know.
Humm...
je suis catastrophe de l'apprendre. L'ai su par la radio mais verbatim et de la bouche d'un ami, c'est encore plus poignant.
Je t'ai dit que je l'adorais ^ M'a fait pleurer. Poussiere sur la ville, c'est un de mes romans preferes.
Le connais par ma soeur, by the way. Elle l'a etudie dans un cours de Cegep. Moi, je me suis dit : ben voyons, qu'est-se ca ce livre la avec un chouette titre qui tue ^ L'avais connu un peu par Dany qui m'avait fait lire (m'inspirant dans mes lectures) des trucs sur la litterr(outch)ature des annees 60. (Note que je dis pas : "au Quebec". Ca va de soiT que c'est au Quebec). J'ai ben vu, le lisant, que c'etait de l'existentialiste. Me suis dit : ben, fuck, c'est ben bon ! meme si tu vois la theorie. Je me dis : wow ! je peux faire ca moi aussi. Et, by the way, faire mieux que Chassay.
Ecoute, j'en profite pour te dire quelque chose : je trouve ca cool que tu parles comme ca des ecrivains quebecois morts et trippants; trippant toujours (comme Grevisse, que je me suis achete, d'ailleurs, suivant ton conseil; hein que la litterature sert a rien. Ton courriel, c'etait de la litterature. Je continue); je me suis dit, pendant un temps : Christian, il lit pas d'ecrivains quebecois meme morts. C'est vraiment con, hein ^ Je sais que t'as lu Trente arpents. A tout le moins, je sais que t'as apprecie que j'aie apprecie; ou que t'as ete fier. Auquel cas, je peux te reconnaitre la superiorite et faire comme ton fils;
je me suis dit : Chris, il est tellement haineux (avec un "x" pis pourquoi.), il doit tout' les hair. Je suis persuade que t'hais tout le monde, l'air de rien.
Je pense que c'est un feed-back de la psychose pis de toutes les insultes ressenties. Elles proviennent essentiellement de toi, d'ailleurs.
En tout cas, je disais donc : Christian, chouette, il aime les auteurs vieux et quebecois morts et trippant...
T'as lu ^ t'as fucking lu LE CASSE ^ Pis Agaguk ^ Pis Prochain episode ^ c'est merveilleux qu'el Christ ! Nelly Arcan, c'est tres bien; Christian Mistral aussi; puis Nadine Bismuth aussi.
En tout cas, je suis franchement content d'apprendre qu'il existe des auteurs de cette qualite au Quebec. Puisque je suis pas comme ces jeunes collegiens ou secondariens qui se disent : le Quebec, c'est de la marde, puisqu'on est "tranquilles" (c'est le mot utilise par d'autres; je le reprends puisque je suis un peu con. J'aimerais ca en trouver un bon, par contre.) Je suis plutot du genre a dire : on est fiers ! Et a le dire sans ame puisque je n'en ai pas comme MAXime Catellier l'a si judicieusement fait remarquer dans l'un des commentaires les plus interessants de mon precedent blogue;
je trouve ca con. Je remarque cette meme attitude magique chez d'autres. Je sais pas; qu'est-ce t'en penses.
Je dis : la magie, c'est ce qu'il y a de mieux.
Tu le dis toi aussi, d'ailleurs, dans Origines, lorsque tu dis : }"il y a des trucs d'ecrivains qui (de memoire) il ne faut pas montrer".
Je connais tes textes, huhu.
+ +
L'air de rien, faut j'aille etendre ma PHALANGE (tu sais a quoi je fais reference ^ Je fais reference a trois choses. J'y vais en ordre chronologique : 1) Toi, dans Vautour; j'ai toujours pense que c'etait ta queue. Je trouvais ca trop evident que j'ai pas cherche. 2) a Nelligan. J'ai bien compris qu'il parlait pas de sa queue. (2.1. Nadine Bismuth dans Scraobook, que j'ai achete, a cause que ca parle du nom de ton blogue; scuse; a cause que ca parle du milieu litteraire. J'ai accroche parce que ca portait le nom de ton blogue) 3) je parlais de la mienne, bien entendue. Je tiens a dire que c'etait une metaphore; qui pourrait se realiser. Tu sais avec qui je pense en plus. Tu te souviens, quand tu m'avais fait un clin d'oeil ^ Bon. Je dois commencer par la SEDUIRE (c'est ton mot. Je prendrais : charmer). Ce que je vais faire de la maniere la plus MAGNIFIQUE (flash : Gatsby le magnifique. C'est un film ou ils font jouer une toune de Kane ^).
Je t'adore.
Ciao !
J'y ai pense pendant je pissais; peut-etre tu levais ton buck (ou ton verre) plutot qu'un clin d'oeil. En tout cas, je pense que t'avais bien remarque qu'il se passait quelque chose entre moi et Lea.
By the way, je voulais te dire : j'ai des problemes de fragmentation du moi. Tu le sais; je t'ai dit que dans le modele Freudien on avait, chez les psychotiques, ce probleme.
Bon, je voyais donc un truc que t'avais fait; auquel, je pense, t'as pas pense. L'air de rien, c'est pas une SUPER metaphore mais je la trouve suffisante pour la dire. L'air de rien, les poussieres, sur la ville; c'est ce qui tombe apres la mort du romancier ! (Je vais me faire foudroyer).
Je voulais te dire une autre affaire (je comprends pas trop ce que tu veux dire, en ce moment. Mais, je trouve ca "interessant". Je vais y reflechir).
Je voulais peut-etre te demander de guarder (c'est degueulasse. Je mets toujours un "u" a garder.) le secret concernant Lea. Je pense que, si elle apprenait que "je marche a elle" ca nuirait a mes chances de succes. Note que je n'ai pas mis de deuxieme virgule a la phrase qui precede puisque je suis pas sur de ce que j'avance.
Je voulais peut-etre aussi te dire pourquoi je t'adore. En tout cas; je pense que c'est le "gratitude" qui me touche le plus. Je dis "en tout cas" puisque je suis pas sur que ce soit bien de le dire. Je me fais trop chier avec Bourdieu.
Je viens de trouver : je voulais te dire : mettons que tu veux que j'aille prendre une biere chez vous, genre, demain. Je peux toujours recevoir ton appel.
En tout cas, je pense que ce serait une bonne idee.
Merci.
Tabarnak, ton stock est pur en sale Basduck!
Juste une remarque: ne jamais, jamais confondre Nelly Arcan avec quoi que ce soit de bon, et encore moins avec Mistral! Relis et tu vas le savoir.
y'a le Torrent d'Anne Hébert et Poussière sur la ville de celui qui vient de partir faire un tour ailleurs, anonymement. . . qui sont tout le temps restés gravés dans ma tête dure, des années ! des décennies après la première fois.
bon. ôké. he's gone. ça n'm"étonne pas pantoute que se soit dans l'indifférence totale des cervelles bibliothéquantes, nan, ça m'étonne pas du tout.
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