Pour dépecer Sheila et viviséquer Ivy, il n'aura besoin de personne, mais pour emporter le vote populaire, pas nécessairement sympathique au sang qui va gicler, je suis d'avis que la Tribu ne sera pas superflue...
Oué, je sais, c'est une vieille photo, mais kesse vous voulez, il l'aime bien.
23 commentaires:
Allez Johnny !!
Allez Johnny !!
Mobilisation générale , tous sur le pont !
On est avec toi , Energie Blue assurée ...
Tu vas les aplatir tous à plates coutures , Yes !
Big Blue KIss !
Jean Barbe, rien à foutre ! J'aime pas.
Christian Mistral et Jean Barbe, me semble que cela ne va pas ensemble.
Je viens de m'abonner à ton blogue. Je me souviens de toi, mais à une autre époque, celle de Vamp, de ta collaboration avec Luce Dufault et Dan Bigras, et de ton recueil de poésie.
Il me plaît de penser que tu pourrais écrire des maudits bons films dans la marge, traduire ton en images, comme Miles Davis dans Kind of Blue. T'as jamais songé flirter avec le cinéma, un cinéma dans la marge, à moins que tu attendes qu'on raconte ta vie, comme celle de Bukowski ?
Tu te souviens de moi, mais à une autre époque. So? Who gives a flying fuck? Moé j'me souviens pas de toé, le lait pis la crème m'ont jamais fait forte impression, ça tombe sul coeur ou ça surit entéka ça donne pas d'opinions, au pire ça diffuse le portrait d'un kid disparu imprimé sul côté de la pinte.
Moi au temps de Vamp, c'est Barbe au temps de Voir, Montréal fin eighties, et ce qui en est sorti comme changements culturels, pour le meilleur ou pour le pire, est autant sa faute que la mienne, et on peut pas se rappeler l'un sans l'autre. T'es une saloperie de mangeux de marde qui sévit sans savoir. Come to me. Come to mimi. Hit me with your best shot. But don't even think of spitting on the ground in front of a friend. Tu sais pas c'est quoi le fond de l'abysse. Tu sais pas c'est le cyber-univers de qui.
Jeez. Encore des menaces. Am I ever bored. Je fréquente ce site une fois par décennie et chaque fois c'est la même chose: je t'attends dans la cour d'école à 4 heures.
Bonne chance avec votre bon programme.
Quatre heures? Don't think so. Quatre heures, calvaire. Ante ou Post Meridionem, faut être jeune en christie davantage que je le suis pour attendre some fucker in some schoolyard. I'm an old man, dude. I wouldn't even know where to FIND a school.
C'est vrai, Mistral, vaudrait penser à mourir bientôt. Les producteurs attendent!
Tu sais ce que c'est: entre TéléFilm qui brette pis la SODEQ qui rouspète pis Harper qui coupe dans la culture comme un mohel dans un prépuce, le financement ne se concrétise jamais vraiment, quand ça se fait de loin en loin comme la conjonction de plusieurs astres le budget prévu cinq ans avant n'est plus adéquat, le metteur en scène n'est plus disponible, les comités réclament une septième mouture du scénario, entretemps l'un des producteurs claque du coeur ou file aux Bahamas avec le fric des actionnaires, bref on attend, tous. Mais c'est pas faute d'y penser, hé, faut pas croire!
Me semble qu'Hollywood de Bukowski est suffisant pour enlever le gout à n'importe quel auteur de faire du cinéma...
Encore faut-il l'avoir lu.
Keski te démange, PâqMan, à midi? Ça sonnerait quasi comme si tu pensais que j'aurais pu ne pas l'avoir lu, hihi.
Primo, juste le passage où l'alter ego de Faye Dunawaye exige l'ajout d'une scène qui montrera ses jambes une dernière fois avant son imminent effondrement physique ferait bander William Faulkner. Mickey qui renchérit et veut sa scène où il dira de la poésie devant un miroir la gueule en sang, pour un auteur qui aime cette imagerie (s'il lit Bukowski, c'est probablement le cas), la perspective est irrésistible. Ensuite, composer avec les deux bouffons Golan et Globus et le fou furieux Barbet Schroeder, qu'est-ce comparé à devoir passer à travers TéléFilms puis un Charles Binamé ou un André Forcier? De la gnognotte, mon pote.
Enfin, ton argument me sidère surtout parce que tu n'avancerais jamais un truc du genre: «Me semble que la lecture de Bukowski est suffisante pour enlever le goût à n'importe quel ivrogne de boire du bourbon».
C'est toi qui m'a envoyé un commentaire sur mon blogue, que j'aurais une drôle de manière de recevoir ? Je crois bien que oui. J'y suis pas allé avec le dos de la cuillère sur mon blogue, c'est vrai.
Mais est-ce que je peux m'expliquer ? Car, j'avoue avoir de la difficulté à recevoir de la manière que tu envoies, même si je peux comprendre que tu es un écrivain et que tu as ta prose.
C'est que je ne vis pas dans ton univers. Dans le mien, j'ai appris à respecter mon environnement en étant poli, le plus possible, et positif, le plus possible, oui, oui, la vie straight. Eh oui ! Mais il faut bien gagner sa vie !
Je n'ai rien contre ton écriture et ton talent. Au contraire, je tentais de m'en rapprocher, mais tu m'as un peu méprisé.
Voilà, est-ce que tu me comprends mieux ?
Je crois pouvoir estimer que tu es de bonne foi et pas un fouille-merde comme il en échoue parfois ici. Je ne comprends pas trop comment tu figures que les régles de ton univers devraient s'appliquer dans le mien, mais je veux bien croire au malentendu. Je comprends aussi que t'es pas du genre à goûter l'humour qui a cours parmi les bestiaux paissant ici dans ce paradis pastoral, et c'est dommage, j'avais envie de t'accueillir avec un viril et taquin «Kossé, encore toé, Lait ou Crème? T'es fait fort, on se figurait que t'avais viré au beurre à cette heure!»
On se baratte, dude. C'est ça, cet univers. Pas sorcier. Pis bon, j'veux pas t'écoeurer, mais c'est toujours ben toé qui vient chez nous pérorer sur ta politesse, commentant ce faisant sans un mot sur la mienne, l'injure intangible et saturée de fatuité propre à toute la maudite race des passifs-agressifs, sauf que tangible ou pas, c'est impoli d'aller insulter les gens chez eux, et devant la visite.
T'as pas dû me lire ben ben. Dix, quinze minutes suffiraient amplement, parcourant les archives au hasard, pour voir combien je suis poli, ici, maintenant.
Creme de lait , ici , c'est pas une fabrique de beurre mais plutôt une espèce de baratte empêcheuse de tourner en rond , du moins je le vis comme tel !
Et il en sort bien plus que cette matière qui se fond , on se retrouve vivant , comment dire , en atomes pensant ...
Rien de tel pour se sentir là !
Au demeurant , c'est clair qu'agresser oblige au revers!
L'amitié , icitte est une valeur sûre ...
De ce que j'en vis , et je serai la première à étriper qui que ce soit qui touche à l'ami d'un ami ; comme une mère avec ses enfants , c'est dans les tripes , y a rien à faire !
j'pense que c'est une vieille photo...
Barbe c,est un vieux, l'est pas rendu avec QUE des cheveux blancs ?
Bartender ?
Ouep.
Mon commentaire s'adressait au monsieur produits laitiers, en ce sens que je ne comprenais pas trop qu'est-ce qu'un écrivain comme toi gagnerait à passer 1-2-3-4 ans de sa vie à pousser pour qu'un de ses scénarios se fasse dénaturer par un réalisateur. Aussi marginal soit-il.
Je trouvais ça comique itou qu'il parle de Buk, parce que c'est tout de suite à lui que j'ai pensé en lisant:« Il me plaît de penser que tu pourrais écrire des maudits bons films dans la marge ».
J'avais dans l'idée qu'il n’avait pas trop appréciée l'expérience cinématographique, le Buk. Contrairement au bourbon, au vin rouge et à la bié. Voilà pourquoi il ne me passerait jamais pas la tête d'écrire: « Me semble que la lecture de Bukowski est suffisante pour enlever le gout à n'importe quel ivrogne de boire du bourbon ».
J'avoue que j'avais oublié les passages des jambes et de la gueule en sang.
Me souvenait pas mal mieux du party post-première et du passage où il pète sa coche sur les acteurs, le montant qu'il reçoit comparé à tout le monde impliqué dans la production.
Ça me donne le gout de le relire, tiens, me refaire une idée.
En tout cas, tu poses la drôle de question : peut-on être poli en envoyant chier quelqu'un ? Moi je pense que oui ;-).
+ +
Lait ou crême : Je vais essayer d'être gentil.
Moi, je connais Jean Barbe par Christian Mistral. Je sais qu'ils jouent à la pétanque ensemble. Je pense, donc, qu'ils s'entendent bien.
Mais encore ? j'ai cette information privilégiée. Qu'y a-t-il sur la place publique ?
T'as lu du Jean Barbe ? Moi, j'en ai lu vla trois semaines à peine puisque je pensais qu'il venait donner une conférence (entrevue ? prise de parole ?) à une bibliothèque de ma banlieue. Ai lu Soirs de fêtes; me suis dit : ben voyons, ça ressemble, fichtre, à du Mistral (et je connais bien Mistral) puisqu'il y a le look fin 80-début 90 (qui me semble mythique); des allusions... en fait; du gros sexe; de la drogue, de l'alcool, des personnages torturés. Je trouve, moi, que ça se ressemble. Sur des points qui ne peuvent que les rapprocher.
Aussi, tu regardes le reste; tu le regardes passer en entrevue : il parle bien (et Christian parle bien aussi !) avec un petit style Leméac, soit, que je trouve trop formaté mais ça passe encore.
C'est vraiment amusant ses affaires. Moi je trouve, en tout cas.
Juste une question comme ça. Ta photo et celle de Johnny. Les lunettes, la barbichette et la moustache, c'est la même après échange?
La preuve que le génie, comme le train, ne crie pas : Gare ! en frappant !
C'est pas du suicide, c'est de l'euthanasie, endors toi maintenant...
Mistral, ta verve n'a pas d'égale !
Inégalable ! Suis impressionnée , une fois de plus !
OK pour vendredi passé, mais à vaincre, même sans "pencil",Jean, juste avec ta gueule en guise de bouclier contre périls ne fut, honneur tu aura que lorsque véritable combat t'épuisera. Gazous ne retentirons que lorsque la horde vociférante, à venir, tu apaisera à coups de mots, sans semonce aucune, justes et d'éclats ces derniers sur les ténèbres de son ignorance.
Et ça s'est rendu à 20 commentaires, cette montée de lait de la médiocrité exaltée !
Cela valait la peine de vous barrater un peu ! (clin d'oeil)
You bet, butterscotch! On se fout des beurrées comme des hosties de pauvres.
Mistral, ton pote Hamelin, il va donner bientôt dans le cinoche. Tu vois ! Il faut savoir que le train est lent à partir, mais une fois parti, tu deviens immortel.
C'est pas si nul écrire pour les pauvres. Ça paie le pain et le beurre ! Allez, t'as le talent et les couilles, écris-nous un script qu'on tripe.
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