Me revoici, maganné et sans voix parce qu'on m'a coupé mon accès samedi dernier peu après que j'aie publié l'intégral Vézina et peu avant que je puisse mettre en ligne la mise en contexte qui précède. On ne m'a pas coupé parce que je dois des sous: j'ai payé six mois d'avance. On m'a coupé parce que mon fournisseur de service est aussi mon propriétaire et qu'il veut me forcer à déménager pour louer plus cher, et que presque tout le monde s'en fout qu'on coupe la voix d'autrui, sans compter le tas de chiens qui s'en réjouit.
Je ne fais pas appel à la Tribu, pas encore. Pas pour me venir en aide personnellement. J'attends qu'on s'émeuve pour le principe. En attendant, mon outil de travail m'est supprimé et ne vous étonnez pas si je suis absent de mes engagements.
Je vais maintenant consulter mes courriels: rien vu depuis samedi. Que personne ne s'étonne du silence.
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3 commentaires:
Pensais que vous vous étiez isolé dans un de ces bunkers secrets et sous-terrains en vue de la prochaine joute.
Yo,
je suis content, d'abord, que tu nous en informes. Parce que, sérieux; je suis fâché et triste; je suis ému et je l'apprécie.
+ +
Je vais appeler.
la vie fait des grimaces
mais... ça fait de la crrris de belle poésie, des fois. yeah!
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