31.1.08
Fly me to the moon...
Ouimet: au scope
Quarante ans que je la trouve belle mais fausse et que je ferme ma gueule, après tout; quarante ans que je l'écoute roucouler tandis que le monde autour de moi change et que je suis forcé de changer avec tandis qu'elle perpétue à s'en éclater la peau déjà bien gonflante l'ère pourrie de CKVL, d'Edward Rémy, des vendeurs de cossins, du mépris des gens, comme une Michèle Richard de Nun's Island (c'est toujours à Verdun), comme un vieux monologue de Deschamps qu'il ne referait plus parce qu'il le laisse aux archéologues. Quarante ans et hier, en l'entendant roucouler encore à l'émission de Christiane Charette pour assumer quelque autorité sur la mémoire de Pierre Péladeau sans admettre d'où elle lui vient, me rendant chèvre en quête d'un coupe-chou, me rappelant que ce ne sont pas les demi-mondain(e)s qui me dégueulent mais les outres charlatanesques outrancières dont ça finit par être écrit sur le visage et qui sont les seules à croire qu'on est peut-être toujours dupes, hier donc, j'ai flippé hostie.
Quand Christiane dit «On sait pourquoi» et que l'autre sursaute par réflexe, «Ben là!», quand Maisonneuve le lui envoie dire par patientes et courtoises mais claires périphrases et qu'elle en reste sur cette impression suggérée qu'elle était, je sais pas, l'éminence grise asexuée de Péladeau, et que je me souviens de la French Connection, de comment elle s'en est foutre bien sortie parce que son amant a naturellement tout pris sur lui et que les hommes de justice ont fait le reste, quand je pense que ça fait quarante ans qu'elle nous fait chier parce qu'elle a démarré en jouant ses nénés pour plus tard le renier, j'en ai marre, chu écoeuré, je dis down avec cette culture révolue de journaux jaunes et de vedettes indélébiles comme des taches de sauce à spag sur le tissu social, je dis changeons le tissu social et prenons-en un autre, je dis à bas les vieilles colombes élevées à l'école de Coco Léopold, je dis à bas les chanteuses de Corus, parce que ça se reproduit ce monde-là, avec des Jean-Pierre Coallier, ça part de CIME et c'est rendu à 98.5 FM, ça engendre médiocrité, corruption et mépris souverain, ça transforme des Billy Bob Dutrizac écrivains en épaves hargneuses qui s'appellent Benoît (épaves, le mot-clé: la hargne, c'est sain, mais c'est comme la branlette, faut pas en abuser), anyway c'est une industrie de charogne.
Other than that, j'ai pas de problème avec ça. À preuve, je commenterai même pas cet article pris au hasard parmi cent, où l'écrivaine nous expose... Oh! pis merde.
You, madam, are no Lillie Langtry.
30.1.08
Aller loin
Mieux: l'écouter à Christiane Charette. En bonus, on comprend aussi comment l'ineffable Danielle Ouimet est allée vachement loin par ses propres vertus...
De Pierre Maisonneuve, injustement, j'attendais de la condescendance, or pas du tout: il semble respecter un journaliste d'investigation...
Julien a vingt-et-un ans, by the way. Surveillez-le.
29.1.08
Canard libéré!
Quelle famille!
Sur son album Tabac figure un texte de me myself & I: Vers à soie.
Prix des libraires 2008
Proclamation du lauréat le 12 mai.
27.1.08
Con, cul et cervelet
J'esquisse des schémas, j'essaie de faire fitter tout ça sur le papier mais la motivation me fuit, l'hélice qui propulse ma protagoniste a une pale déwrenchée, j'ai pas pris la garantie prolongée, paraît que c'est moins de trouble et de microbes si on crisse le tas grouillant aux vidanges dret-là, et qu'on repart en neuf, genre; paraîtrait même qu'un artiste doit planifier, calculer, peser et mesurer la portion maximale de sa viande qu'il peut sans danger céder aux appétits du Chancre en fuck-me shoes. Parce que tout ne sera pas assez, jamais, que l'animal se repaîtra de vos moelles rouges et rongera vos nerfs morts et se curera les canines avec les éclats de vos os en contemplant ses orteils et s'enduira la peau de vos graisses fondues pour se garder au chaud tandis qu'un petit bout pointu de sa langue avide viendra darder sur ses babines pour nettoyer les restes de ce que vous fûtes hier encore. Puis cela rotera, digérera, chiera, changera de caverne et recommencera sans faim dicible, sans fin prévisible. Nulle émotion, nulle aspiration, nul langage ne toucheront jamais cet estomac ondulant et ces crocs homicides et ce sexe qui mord, plante ivre carnivore. Pour vaincre ces ventouses-là, j’ai testé foule de moyens, mais comme on ne crève un vampire qu’avec un épieu dans le cœur, on ne vient à bout des mangeuses qu’en les laissant bien vous manger après s’être maudit soi-même et grassement empoisonné.
Faut les faire choker sur le festin, crisse. Y a pas d’autre moyen certain. Faut que leurs tripes soient votre tombeau et que leurs souffrances vous récompensent du sacrifice.
26.1.08
LYES: nouvelles du Duck
Le Duck n'est pas à Pinel. Il est, mettons, redevenu campivalencien à contrecoeur. Chu nul en géo mais chu fort en français, faque relisez avant de m'écrire que ça se peut pas.
Il est pas sorti de l'auberge, c'est tout ce que je me sens autorisé à dire avant de lui avoir parlé, mais au moins il n'est pas à Pinel. Dès que je mets la main dessus et que j'en ai fini avec lui, je vous donne des nouvelles de ce qui reste.
Compter large
Plein de largesses, assez pour me compter six jours pleins si on inclut dimanche dernier, six jours de bonheur béat et pourquoi pas? C'est déjà six fois plus que ce qu'on espérait. On jouait, et ça nous a fait une tonne de bien. Back to work, now. Retour à l'ouvrage. Crisse de job à plein temps, de croire en rien et de pas s'émouvoir jamais, de manoeuvrer des coudes et du ciboulot tout en joggant sur un tapis roulant à rebours, de trahir soi-même et autrui en harmonie synchrone, et encore faut-il trouver du temps pour la poésie, et pour sortir les vidanges, et...
Ché pas comment ils font, les gens, les vrais. Moi j'ai une hernie rien qu'à y penser.
Rise, Sir Ksi!
J'ai sorti un seul poisson de l'eau dans ma carrière de pêcheur, un tout petit, durant un séjour au Lac Chépukoi avec Louis Hamelin, mais cette fois-là j'étais tout seul dans la chaloupe, Louis était parti marcher dans le bois et parler aux animaux et il avait négligé de me montrer comment retirer l'hameçon. Anyway, j'ai regardé ce petit poisson se débattre près d'une demi-heure hors de l'eau avant de rendre son âme de petit poisson, et encore, a fallu que je l'assomme avec la rame.
Croyez-moi quand je vous dis que ces deux-là, séparés l'un de l'autre, ne dureraient pas quinze minutes. Ils sont leur mutuel élément. Ils s'aiment tellement que c'en est dégoûtant.
Hé hé. Attends seulement que je les pogne. Anne Archet m'a fourni une bonne description...
FREE THE DUCK!
Laissez-le sortir, hostie. I shit you not, comme dirait l'autre, le doux de nous deux...
LBES
Brasser la marmite
Donc, quand j'ai eu fini de morigéner mon colosse de Bordeaux, il m'a passé sa cybermain dans ma cyberchevelure, m'assurant que tout va bien et que ça durera, après quoi je me suis essuyé les yeux puis, Canayen romantico-nordique, je suis reparti en canot volant dans les airs et les courants de l'Internet (c'est pas liquide, le web, c'est pas visible ni tangible, on n'y surfe pas, quelle expression stupide, on y vole, on y vole!) vers kekchose qui me toucherait le bout des doigts, peut-être, seulement ça, kekchose qui me ferait sentir la fraîche tandis que ma main traîne avec nonchalance par-dessus le rebord en écorce de bouleau, le rebord du canot.
J'ai trouvé ça, ou cela m'a trouvé. Retrouvé, rattrapé, replié, regonflé, replacé sous la cuisante ampoule qui flashe et vous torture et vous empêche de dormir quand c'est votre propre vie qui pose les questions et que vous ne disposez d'absolument aucune marge de négociation, pas le moindre espace où fuir, pas une seule pirouette qui ne soit connue des services secrets de votre propre sale vie privée, affectés à vous faire avouer vos fautes, voire à n'en confesser qu'une pour commencer, quitte à y rattacher les autres au fur et à mesure de l'interrogatoire obligatoire, jusqu'à ce que vous sachiez avouer les fautes des autres...
Ce Simon, il me met le moton. Il va être sept heures du matin et je ne puis songer à autre chose que secouer ce brave et tendre con. Mais pourquoi? Dans l'espoir qu'un peu de sa candeur tombe de ses poches dedans les miennes? Ou qu'au contraire un morceau de mon âge se liquéfie et l'éclabousse et le vernisse et le protège?
Un bateau dans une bouteille...
J’aime pas trop penser au fait que ça m’ennuie, tout ça, maintenant, et que je ris gentiment des auteurs qui usent du web pour annoncer leur camelote. J’aime pas trop y penser parce que je prends la mesure de mon usure. Hier, ces auteurs-là, hier encore, c’était moi : travaillant à durer avec férocité, craignant de périr avant d’avoir irrévocablement pissé aux contours du territoire. C’est bandant, de forger sa légende. Ensuite, on débande.
L’affaire dont je vous parlais ici sera diffusée le 5 février. J’étais très soûl et je ne garantis rien d’autre, en conséquence.
Par ailleurs, j’apprends à l’instant la parution de cette anthologie sur Montréal, signée Marie-Morgane Le Moël, au Mercure de France. On m’a mis au chaud entre Richler et de Coubertin ; Gabrielle Roy m’évente languide avec un grand plumeau.
Pas de farce : j’ignore quel texte on a choisi. Je ne suis que l’auteur.
25.1.08
Anarchique anniversaire, anarchique anniversaaiiire!
Gode blesse ze gouine, God bless your soul, whoever you are, Anne ma soeur Anne.
24.1.08
23.1.08
RIP Robert Lemieux (1941-2008)
Il était sorti de sa retraite pour défendre mon ami Hans Marotte lorsque celui-ci était encore étudiant en droit. Devenu avocat, c'est Hans qui m'a défendu à son tour. Je dois donc quelque chose à Maître Robert Lemieux. Qu'il repose en paix.
21.1.08
Le coeur a ses raisons
19.1.08
Marie-Chantale Gariépy
Dredio, Éditions du Marchand de feuilles, aboutit en librairies lundi. Ce qui suit provient du communiqué.
RÉSUMÉ
Roman-croisade moderne, Dredio met en scène un ennemi invisible qui hante une ville féerique détruite par la guerre, où des chevaux égarés errent entre les soldats aux dents serties d’or. Dredio est la rencontre inespérée entre Evaïa, la narratrice, et un jeune garçon. Leur expédition à travers les débris les mènera dans une église en ruines où un boulanger a installé un four de fortune avec les pierres de la voûte. Dredio et Evaïa rencontreront alors un éleveur de pigeons voyageurs qui deviendra leur compagnon de route. Dans un univers carencé, entre les colombiers et les coeurs cadenassés, le lecteur verra poindre la reconstruction d’une ville et de l’âme de ses habitants, avec les petites étincelles que seul l’amour peut provoquer.
Dredio est un conte philosophique et une leçon de guerre. Marie-Chantale Gariépy semble nous dire, telle une cassandre, de faire attention, car sa ville inventée et sa guerre imaginaire sont universels et pourraient bel et bien se retrouver chez nous. Dredio est un roman qui pique le coeur à en pleurer.
EXTRAIT
Pour son meilleur voilier, il choisit Milady, une jolie femelle au corps longiligne, à la tête délicate et au plumage pâle.
Caporal avait roucoulé sans interruption pendant plusieurs jours, la queue en éventail, le cou gonflé jusqu’à ce que, enfin, Milady succombe à sa cour continue. Une dizaine de crépuscules plus tard, elle pondait un premier oeuf, suivi d’un second le lendemain. Les fiers parents couvèrent tour à tour jusqu’à ce que Dredio inscrive la dix-neuvième croix au calendrier. Les oeufs oscillaient, frémissaient dans le nid sous le regard bienveillant de Caporal et Milady, de Darsec et Dredio.
– Il va utiliser son diamant pour perforer la coquille de l’intérieur, regardez bien.
– Un diamant ? Mais comment un diamant s’est-il retrouvé dans l’oeuf ?
Darsec jucha Dredio sur un caisson pour qu’il voie mieux.
– Le diamant est en fait une petite protubérance cornée qui pousse sur le bec de l’oisillon. Il s’en sert comme d’un marteau pour briser la coquille et sortir. Au bout de quelques jours, le diamant disparaît.
17.1.08
Attention, coeurs sensibles!
Je parle aux hommes et aux femmes qui font partie de mon espèce, de ma nature et de ma civilisation, pas aux frigides sauvages indifférents rectangulaires qui promènent leur sale masse savonnée parmi nous et prétendent nous régir et prétendent au titre d'êtres humains; que ceux-là, par prudence sinon par décence, passent leur chemin.
Coeurs sensibles, je vous envoie chez Mac, y voir des images qu'aucuns mots ne sauraient rendre. C'est pour moi un fort troublant aveu, mais du moins le fais-je librement, et pas sous la contrainte d'une Arizonienne mongoloïde armée d'un berger allemand, d'un secondaire trois et de quinze gros sans-dessein sexuellement immatures, vêtus de treillis, munis de fusils, puant des pieds et lisant Archie's Comics.
Gens de coeur, allez-y voir. La télé a tort de vouloir détourner les gens sensibles des choses les plus choquantes. Ce sont les gens sensibles qui changent les choses, depuis toujours.
Puis, si vous revenez, on verra ce qu'on peut faire, ok?
Voici ce qu'on va faire. Toute la tribu. Les Facs en premier, pis Ed avant ça, pis Gomeux pis vous tous qui trollez par-icitte ou un autre site relié a notre conglomérat. Pis moi, qui dois renouveler mon adhésion. Pis Big Mac, ma foi, je suppose qu'il est en good standing avec AI.
Non, je parle pas d'Intelligence Artificielle: celle du Scotsman est Surnaturelle. Je vous propose qu'on adhère tous à Amnistie Internationale. Tu suite, genre. Today. Avant que les photos ne s'estompent et que les images ne se dissolvent dans tout ce qu'on doit faire. Vous savez comme ça va vite.
Amnistie, ça coûte trente piasses, quinze pour les étudiants. Membership annuel. Je vais en causer sur mon modeste blog et les filles vont déclencher un boucan d'enfer chez elles ou alors je ne connais pas nos Femmes Testiculées! C'est un début. C'est quelque chose. Jesus Christ Mac! comme dit l'autre si bien.
Fucking Jesus Christ...
16.1.08
LBJ, Hoover, Bradlee and me (and maybe even PB).
Avant que Ben Bradlee ne devienne Ben Bradlee, il lui arriva un truc qu'il enseigna à Woodward et Bernstein (plus tard, après qu'il soye devenu BB, mais avant qu'il soye joué par Jason Robards Jr au cinéma). Il avait su de source sûre que Lyndon Johnson allait enfin virer J. Edgar Hoover, et il surfa sur son scoop jusqu'à la salle de rédaction du Washington Post. Le lendemain, LBJ annonçait la nomination à vie du vieux crapaud, et murmurait à ses proches: «Dites à Ben Bradlee d'aller se faire mettre»!
C'est pourquoi je ne vous annoncerai pas ici l'imminent retour en terre de blog d'un claviériste cher à nos coeurs, au cas où il changerait d'idée et qu'on m'en fasse reproche jusqu'à Pâques 2049.
But he is coming back...
15.1.08
Rien demandé: en rappel
J'y ai rien demandé, au début. À cette femme. Ni de venir chez nous tomber en amour avec moi, ni de me laisser tomber en amour avec elle.
J'ai rien demandé, surtout pas qu'on nous traite de fouteurs de merde. Mais ceux que ça intéresse et qui ne nous aiment pas auront affaire à moi.
Otherwise, les bines sont cuines. Cuines et brunites. Get it?
13.1.08
12.1.08
Les fèves du samedi soir
Ça va sentir bon dans la cabane pendant que ça cuit et très mauvais après.
11.1.08
La mythique putain des Police
Ça, cependant, ce Tango de Roxanne, kicke du cul en Austin de beu.
Kevin, qui n'est pas très intelligent (QI 140, 143 maximum), n'arrive pas à commenter ce post et m'envoie donc sa réaction par courriel:
Ah, hé, hé ,hé... Tu es sûrement le seul que je connaisse qui revient faire visite à sa dernière prison et à son geôlier de façon hebdomadaire, sans que le contribuable y ait quoi que ce soit à faire ou à dire. Mais les Catacombes, quelle affaire... Je n'ai eu vent que d'une seule autre oubliette, le Château d'If, où la haute-voltige spirituelle se fût déployée comme en nos murs. Ceux qui n'ont rien su des prisons fraternelles ou qui n'ont pas lu Dumas ne savent pas de quoi on parle. Chacune de tes visites durant lesquelles je me réinvente garde-chiourme laxiste est un plaisir pour les sens et l'esprit, malgré que mon foie y perd quelques cellules.
10.1.08
La mère de mes amis...
Cette photo est bouleversante: on jurerait Marlène. Oh, Christ! J'ai de la peine.
DAOUST, Andrée (Michèle Andray)
À l'hôpital St-Luc, entourée d'amour, le 5 janvier 2008, est décédée Andrée Daoust (Michèle Andray), à l'âge de 73 ans. De sa nouvelle demeure, elle continuera de veiller sur son époux bien-aimé Germain Marotte, ses enfants Marlène (Neil) et Hans (Diane), ses cinq petits-enfants: Fauve, Félix, Yosa, Louve et Jude ainsi que sur ses nombreux parents et amis. Les funérailles auront lieu le samedi 12 janvier à 13 heures, en l'église St-Enfant-Jésus (11 boul. St-Jean-Baptiste, P.A.T., angle Notre-Dame). Au lieu de fleurs, un don à la fondation du CHUM serait apprécié.
8.1.08
Pax plate...
5.1.08
Lectures en 2007
J’ai lu, Paris, 1985, 634 pages.
Fatherland, Robert Harris (21 janvier 2007).
Julliard, Paris, 1002, 426 pages.
Enigma, Robert Harris (25 janvier 2007).
(T.O. Enigma, Hutchinson, Londres, 1995)
Plon, Paris, 1996, 320 pages.
Archange, Robert Harris (29 janvier 2007).
(T.O. Archangel, 1998)
Plon, Paris, 1999, 382 pages.
Don Camillo, Giovanni Guareschi (6 février 2007).
Seuil, Paris, 1951-2003, 810 pages.
Pompéï, Robert Harris (12 février 2007).
(T. O. Pompeii, 2003)
Plon, Paris, 2004, 416 pages.
Si c’est un homme, Primo Levi (28 février 2007).
(T. O. Se questo è un uomo, 1958).
Julliard, Paris, 1987, 216 pages.
Imperium, Robert Harris (5 mars 2007).
Hutchinson, London, 2006, 344 pages.
Histoire romaine, M. Le Glay, J-L Voisin & Y. Le Bohec (7 mars 2007).
PUF, Paris, 1991, 588 pages.
La source, James A. Michener (18mars 2007).
(T. O. The source, 1965)
Robert Laffont, Paris, 1966, 604 pages.
Trek : Captain’s peril, William Shatner (26 mars 2007).
Pocket Books, NY, 2002, 336 pages.
Trek : Captain’s glory, William Shatner (10 avril 2007).
Pocket Books, NY, 2006, 350 pages.
Brutus : assassin par idéal, Anne Bernet (19 avril 2007).
Perrin, Paris, 2000, 414 pages.
Auguste, Jean-Pierre Néraudeau (25 avril 2007).
Les Belles Lettres, Paris, 1996, 414 pages.
Tibère ou la spirale du pouvoir, L. Storoni Mazzolani (27 avril 2007).
(T. O Tiberio o la spirale del potere)
Les Belles Lettres, Paris, 1986, 366 pages.
Ordinary heroes, Scott Turow (1 mai 2007).
HarperCollins, Toronto, 2005, 372 pages.
Crime unlimited (L’histoire de Harry Starks), Jake Arnott (10 mai 2007).
(T. O. The Long Firm, 1999).
Passage du Marais, Paris, 2002, 342 pages.
Crime song (La ballade de Billy Porter), Jake Arnott (14 mai 2007).
(T. O. He kills coppers, 2001).
Passage du Marais, Paris, 2003, 310 pages.
True Crime (L’ombre de Harry Starks), Jake Arnott (19 mai 2007).
(T. O. truecrime, 2003).
Passage du Marais, Paris, 2005, 310 pages.
L’évangile selon Pilate, Éric-Emmanuel Schmitt (31 mai 2007).
Albin Michel, Paris, 2005, 284 pages.
Comme un collégien, John Le Carré (7 juin 2007).
(T. O. The honourable schoolboy, 1977).
Éditions G. P., Paris, 1980, 496 pages.
Errol Flynn : Satan’s Angel, David Bret (9 juin 2007).
Robson Books, London, 2004, 274 pages.
The onion field, Joseph Wambaugh (23 juin 2007).
Dell Publishing, New York, 1973, 444 pages.
Jules César, Roger Caratini (25 juin 2007).
1. Rome, ville à vendre! 1997, 548 pages.
2. La symphonie gauloise, 2001, 572 pages.
3. Le crépuscule du dieu, 2001, 504 pages.
Michel Lafon, Paris.
La légende de Seabiscuit, Laura Hillenbrand (6 juillet 2007).
(T. O. Seabiscuit : an american legend, 2001)
JC Lattès, Paris, 2001, 392 pages.
Auguste, Roger Caratini (15 juillet 2007).
1. L’héritier, 2001, 304 pages.
2. L’Imperator, 2001, 432 pages.
Michel Lafon, Paris.
The Jersey Lily, Pierre Sichel (20 juillet 2007).
Prentice-Hall Inc., N.J., 1958, 456 pages.
Lonesome Dove, Larry McMurtry (9 août 2007).
Tome I, 1990, 552 pages.
First, Paris.
Lonesome Dove, Larry McMurtry (16 août 2007).
Simon & Schuster, New York, 2000, 860 pages.
Le Christ s’est arrêté à Éboli, Carlo Levi (19 août 2007).
(T. O. Cristo si è fermato a Eboli, 1945)
Folio, Paris, 1948, 304 pages.
Dead man’s walk, Larry McMurtry (26 août 2007).
Simon & Schuster, New York, 1995, 464 pages.
Les crimes de monsieur Kissinger, Christopher Hitchens (4 septembre 2007).
(T. O. The trial of Henry Kissinger, 2001)
Saint-Simon, Paris, 2001, 204 pages.
Fiasco, James Robert Parish (18 septembre 2007).
Wiley, Hoboken, 2006, 360 pages.
The innocent man, John Grisham (18 octobre 2007).
Doubleday, New York, 2006, 360 pages.
State of denial (Bush at war, part III), Bob Woodward (26 octobre 2007).
Simon & Schuster, New York, 2006, 560 pages.
The secret man, Bob Woodward (31 octobre 2007).
Simon & Schuster, New York, 2005, 250 pages.
Forfaiture à la Maison Blanche, Theodore H. White (14 novembre 2007).
(T. O. Breach of faith, 1975)
Fayard, Paris, 1976, 394 pages.
Watergate : les fous du président, Carl Bernstein & Bob Woodward (27 décembre 2007).
(T. O. All the president’s men, 1974)
Robert Laffont, Paris, 1974, 388 pages.
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