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14.7.12

Pour Blue, Lorka, toute la smala de ma french connection



Et joyeux anniversaire à mon Emcée: toutes ses dents, et le plus joli minois qui soit, le coeur le plus doux, le rire le plus pur, l'oeil le plus tendre...


25.4.12

Je ne serais rien devenu sans Nelligan,

sans psalmodier ce poème qui m'a porté de la fin de l'enfance jusqu'au seuil de l'âge d'homme, porté comme un canot, porté comme les bras d'un père...



Ce qui suit n'est pas pour les coeurs sensibles.

En fait non, au contraire: ce n'est que pour eux!



Emcée a visité l'ex-cellule d'Émile. Un tombeau de pierre. Elle n'aime pas trop en parler. Nous en parlons donc peu. Ce n'est pas nécessaire.

Sandy comprend aussi. On comprend tous, n'est-ce pas? Kevin comprend: son fils s'appelle Émile. Mac comprend. Johnny Bee comprend. Et tutti quanti.

Nelligan.

24.4.12

Judith: tulipes et jonquilles

Il y a quarante ans, souhaitant prouver mon amour à Judith, j'ai un peu fauché les mêmes jonquilles et tulipes qui fleurissent aujourd'hui, afin de les lui offrir. Je fus chassé à coups de balai par la vieille Italienne dont j'avais dévasté le jardinet...

Judith, dans mon souvenir, ressemblait en tout point à Emcée, mais puisque celle-ci n'était pas encore née et que l'autre avait sept ans, mon souvenir est à prendre avec une poignée de sel.

6.2.12

La fille du camionneur

On a vu ensemble La fille du puisatier, et on a beaucoup aimé.

J'ai manqué comme de raison diverses portions. Au cinéma avec Emcée, aucun film ne m'a encore empêché de la regarder à ma gauche dans la lueur tremblante bleutée, sa beauté, son oeil, ni de me pencher pour lui parler à l'oreille en respirant ses cheveux.

Good movie.