"and when things get hard, you look for something to blame, like a big shadow..."
c'est pas pour faire chier mais, quand même, bien entendu ce petit speach-là anéantit à lui tout seul, entre autres choses, toutes les lamentations anti-boomers de la génération X. (and God knows I’m not a fucking boomer!)
J’ajoute une petite précision, pour qu’il ne subsiste pas de malentendu entre nous, là quand même... La génération Vamp, j’en suis (dans la faible mesure où j’arrive à m’identifier, ne serait-ce qu’un tant soit peu, à quelque génération que ce soit), mais la X, pas pantoute! La distinction que je fais (nuance, j’en suis bien conscient, qui n’appartient qu’à moi, privilège de lecteur en somme) est justement la suivante: pour moi, un Vamp s’assume, fait face aux difficultés avec les moyens du bord, sans pleurnicher sur "le terrible fardeau hérité de la génération précédente" et qui, prétendument, constituerait la première limite à son épanouissement (sans pour autant se priver de conspuer à l’occasion ses prédécesseurs avec panache). D’ailleurs, un printemps encore tout frais dans nos mémoires a bien illustré la différence que ça fait quand une génération se décide à agir au lieu de se lamenter sur le triste sort qu’on lui aurait légué. Et, franchement, c’était de toute beauté!
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5 commentaires:
"and when things get hard, you look for something to blame, like a big shadow..."
c'est pas pour faire chier mais, quand même, bien entendu ce petit speach-là anéantit à lui tout seul, entre autres choses, toutes les lamentations anti-boomers de la génération X. (and God knows I’m not a fucking boomer!)
Y a pas de génération X. Y a une génération Vamp. Douglas Coupland a publié après moi.
Pis les Boomers sont un fléau incontestable.
Tu me cherches des poux?
ben non, j'en profite pendant que t'es de bonne humeur pour gosser les Duhaime et compagnie. :)
On aurait été mieux avisés de donner une chance à Mario Dumont plutôt qu'à Jean Charest, à André Boisclair plutôt qu'à Pauline Marois.
Boomers. Pouah!
J’ajoute une petite précision, pour qu’il ne subsiste pas de malentendu entre nous, là quand même... La génération Vamp, j’en suis (dans la faible mesure où j’arrive à m’identifier, ne serait-ce qu’un tant soit peu, à quelque génération que ce soit), mais la X, pas pantoute! La distinction que je fais (nuance, j’en suis bien conscient, qui n’appartient qu’à moi, privilège de lecteur en somme) est justement la suivante: pour moi, un Vamp s’assume, fait face aux difficultés avec les moyens du bord, sans pleurnicher sur "le terrible fardeau hérité de la génération précédente" et qui, prétendument, constituerait la première limite à son épanouissement (sans pour autant se priver de conspuer à l’occasion ses prédécesseurs avec panache). D’ailleurs, un printemps encore tout frais dans nos mémoires a bien illustré la différence que ça fait quand une génération se décide à agir au lieu de se lamenter sur le triste sort qu’on lui aurait légué. Et, franchement, c’était de toute beauté!
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