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«Il faudrait pouvoir tout voir»: © 2008 Venise Landry
© 2007 Marie-Claude Hamel
Vu le prix des fedoras, mieux vaut veiller à ne pas trop s'enfler la tête.
Liaisons dangereuses
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5 commentaires:
:-)
Quand j'ai vu tes liaisons dangereuses disparaître j'ai eu un choc, bon suis un peu à fleur, j'avoue, néanmoins tu comptes pour moi, au delà des mots et des tonnes d'eau qui nous sépare à peine, mais j'ai eu peur je l'avoue pour toute la tribu, cette matière que tu as façonné, ces individus qui se rencontrent se découvrent s'oublient s'ouvrent et plus que tout apprennent à s'aimer.
Denrée rare tu es.
Oui.
De ce genre ni masculin ni féminin, ni présent ni futur imparfait et plus que parfait, le genre impératif au conditionnel.
Ecris, écris et crie encore, tu sais Christian Mistral, toi tel que tu es tel que je sais tel que je te ressens à cette distance et tel que je t'aime, ce tu m'inspires est en de ça de tout ce que je pourrais même exprimer.
Il est dans une vie des rencontres de taille, rare mais chérie.
Blag'n'roll mise à part, ton écriture, et cette manière si singulière et sincère d'exprimer de partager et de toucher.
Hum, time to go to bed!
Bye!
Hum, before, ta mémoire est vive comme un gardon, et plus que pleine ... Personne ne pourra croire jamais que tu la perdes, personne n'y tiens, sauf peut-être ceux qui te craignent, craindre, aimer, haïr, désirer, enfreindre, accompagner, résister, s'éprendre, il est autant de verbes que d'humains, autant de mots que d'hommes et de musiques que de femmes, de soupirs que d'enfants d'espoirs que d'humains.
" Le souffle se lasse
mais ne se rend pas."
- Mistral -
Je pensais que tu nous faisais la baboune.
;)
LYES!
:-)
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