19.8.08

Test

C'était un test, à moult égards, et j'écrirai dessus plus tard, quand toutes les cigarettes seront fumées, toutes les tonsures consommées, toutes les fourchettes tordues et reconstituées comme si de rien n'avait jamais été. Mais d'ici là, avec la permission des principaux intéressés, je peux enfin vous offrir une idée son et images de ce soir-là au Lion d'Or. Le dépucelage public d'une chanson, avec des ah! et des hon! et de vraies émotions avant que la radio ne s'en empare, puis les pharmacies et les supermarchés, puis les ascenseurs et les taxis, puis le métro depuis Laval jusqu'à la station Angrignon, puis la tradition.

Tripe, Tribu.

14 commentaires:

Doparano a dit...

Une chanson magnifique magnifiquement interpretée, qui fait les poils se dresser.

Mistral a dit...

Do!

It's been a long, long time!

Do a toujours raison. Demandez à Aleksi! C'est elle qui le dit...

Merci, sweetie.

gaétan a dit...

En espérant l'entendre au café-théâtre de che-nous pendant la prochaine tournée du roseq ou autrement, me chargeant d'en glisser un mot au grand manitou dudit café-théâtre.

Anonyme a dit...

J'en ai entendu un bout (parce que maman dit qu'il faut qu'on s'en aille) et j'ai trouvé que t'avait un sens du texte qui faisait *, ma foi. Et elle a un sens de la musique qui fait aussi *. C'est très bon. Penses-tu publier le texte (ou me l'envoyer par courriel ?) En tout cas, félicitations. Je trouve juste ça dommage, cependant, que... non, je reprends. Je trouverais ça agréablement surprenant l'entendre à CKOI. Je me dis que c'est possible (mais that's will be a fucking event) : c'est trop vachement déprimant et elle est là toute la portée sémiologique de ton texte. Wouah ! Bravo !

Anonyme a dit...

Je me reprends : ton texte pourrait jouer à CKOI, c'est génial !

Mistral a dit...

T'inquiète, kid, elle va tourner en masse, dès le prochain album de Cat. En fait, ne t'inquiète jamais pour la carrière de mes textes, et ne t'en fais pas trop pour ce qui constitue leur portée sémiologique. Va voir Marina, dans mon blogroll: son université est moins pointilleuse que la tienne, et son cul est d'une maîtrise que la mémoire...

Bizz, CM

Doparano a dit...

Personnellement j'ai hâte de l'entendre avec une jolie orchestration, je la trouve un chouilla lourde mais le texte demeure génial.

Ce sera une grande chanson.

Mistral a dit...

Ben oui, tabarnak. Je suis génial depuis avant ta mise bas, et je l'étais toujours quand je t'ai pris sous mon aile dans ce cégep en clapboard. Je paie mon loyer depuis 1992 avec des textes qui passent a CKOI. Occupe-toi de tes oignons, viens pas gosser chez le bonhomme pour te désennuyer, le bonhomme est mal luné, fais quelque chose d'utile et fais-le pas dans mon jardin, ton opinion sur la chanson vaut pas un pet de nonne tant que t'en as pas écrit une, ta sémiologie est comme si tu marchais précédé d'une flamboyante pancarte proclamant Puceau et expulsé de l'Uqam. C'est bien ma veine, parrainer le seul étudiant expulsé de l'Uqam depuis 1968. C'est pas le temps de m'écoeurer avec Barthes. C'est le temps d'aller égarer ta cerise, please! Je vais te filer le fric.

Mistral a dit...

Dope, ma grande: un chouïa trop fainéante pour consulter le dictionnaire.

Va piquer une tête dans ta piscine et reviens me faire la bise, toute dégouttante.

Mistral a dit...

Criss-cross de comms: c'est Bastien, le King Duck soi-même, que j'ai ramassé dans un cégep a ciel ouvert aux murs constitués de fil barbelé pour tenir les vaches qui paissaient a l'écart des étudiants de littérature.

Doparano, je lui parlerais jamais comme ça. Elle m'a jamais encore laissé la sortir de la campagne. Elle se mêle littéralement de ses oignons. De quoi pleurer.

Yvan a dit...
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
Mistral a dit...

Tu devrais pas parler de même, tu devrais pas écrire de même, tu devrais pas fumer et boire de même, tu devrais pas lécher des crapauds hallucinogènes, tu devrais pas fourrer des nanas du seizième sans mettre deux capotes...

Il en a coulé des cadavres sous le Pont de la Seine depuis qu'on s'est avisé de me dire ce que je dois ou ne dois pas faire.

Yvan a dit...

Christian. Je sais que je vais m'attirer ta foudre et/ou celle d'autres plumes. Je m'en fous, mais tu pourras jamais me taxer de "flagorneur lèche-bottes".

Avec tout le respect que je porte à Catherine Major(et à ta plume), étant conscient que c'était le "dépucelage" officiel de la toune sur ton texte, je suis daccord avec Doparano.

C'était lourd comme musique.
Ça levait pas du tout.
Tu vois cela comme tu veux,mais cette critique ne s'adresse pas à toi. Ton très beau texte mérite meilleure musique et orchestration, c'est tout ce que je veux dire et ce n'est que l'humble avis d'un mélomane.

Je crois Cat capable de faire mieux avec le talent qu'elle a, et pense que la version finale sera meilleure.
Maintenant, si tu veux déverser ton fiel sur moi, be my guest, j'ai une bonne carapace.

En toute "amitié désintéressée".
No sweat, et perso, j'en fais pas un plat, tu me dois rien, je te dois rien...
Ad lib man, live free or die...;-)

Mistral a dit...

J'y connais rien, moi, a la musique. Pas mon département. Se peut fort bien que vous ayez raison. Jamais dit le contraire. Je l'adore, moi, Do. La joke de piscine, c'était un inside.