Tout le monde prend pour acquis que Jean Charest mènera ses troupes d'escrocs, de fédéraux, de mafiosi, d'ingénieurs et de boomers lors des prochaines élections.
Or, depuis la Confédération, c'est pas ainsi que fonctionne son parti. Libéral.
Quand le chef est trop sale et l'embarrasse, son parti s'en débarrasse et en embrasse un autre.
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