19.1.03

Aujourd'hui, l'évolution est pénible: j'avance d'une façon qui rappelle fort celle du Frankenstein de Boris Karlof, ou d'un Borg. Mes tendons d'Achille sont des cordages trempés dans l'eau de mer et séchés au soleil...



Quant à cette méchante molaire, elle mine mes nuits. CGDR m'a donné quelques comprimés de morphine. La moitié d'un, aspirée d'un coup entre les dents pour éviter tout contact de mauvais goût avec la langue, vous envoie douze heures dans des vapes indolores.

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