24.9.06
1.10.04
Pecher. Patiemment. Joncher la chaloupe. Puis déposer sa canne et se jeter aux flots.
Que je touche en retard
J’ai tassé le tissu
Du couvre-lit autour
De ta peau douce pour
T’endormir en matrice;
L’écran luit, bleu lagon,
Dans la nuit du Bunker,
En moulant l’édredon
Sur tes hanches-caprices
Dont le rêve est issu
En m’aimantant le coeur,
Où le cens est perçu
Et versée ta liqueur.
Je sens ton cou d’ici
Avec mes doigts hagards,
C’est un parfum précis
Que je touche en retard
Et je goûte à distance
Au creux de ton dos d’or
Ce son d’amour qui dort
Dans un berceau d’absence.
30.9.04
Salon
27.9.04
G.O.
24.9.04
Gastronomie et art de vivre
22.9.04
Yusuf Islam: Oh baby baby it's a wild world
Dissolution
17.9.04
Basta l'embargo!
Voyager léger
Winston Churchill
16.9.04
Périls du dictionnaire
Happy birthday
14.9.04
Mettre la charogne devant l'émeu
10.9.04
Noms doux: narration
9.9.04
Forges
8.9.04
Embargo et Club Soda
6.9.04
Tsé veux dire?
Entre ce que je pense,
ce que je veux dire,
ce que je crois dire,
ce que je dis,
ce que vous avez envie d’entendre,
ce que vous croyez entendre,
ce que vous entendez,
ce que vous avez envie de comprendre,
ce que vous croyez comprendre,
ce que vous comprenez,
il y a dix possibilités qu’on ait des difficultés à communiquer.
Mais essayons quand même.
Bernard Werber
ce que je veux dire,
ce que je crois dire,
ce que je dis,
ce que vous avez envie d’entendre,
ce que vous croyez entendre,
ce que vous entendez,
ce que vous avez envie de comprendre,
ce que vous croyez comprendre,
ce que vous comprenez,
il y a dix possibilités qu’on ait des difficultés à communiquer.
Mais essayons quand même.
Bernard Werber
4.9.04
Pas pour rire
3.9.04
Keep it up, Jack!
Extraits
Incorporation incidente
30.7 Ne constituent pas des violations du droit d'auteur, s'ils sont accomplis de façon incidente et non délibérée :
a) l'incorporation d'une oeuvre ou de tout autre objet du droit d'auteur dans une autre oeuvre ou un autre objet du droit d'auteur;
b) un acte quelconque en ce qui a trait à l'oeuvre ou l'autre objet du droit d'auteur ainsi incorporés.
1997, ch. 24, art. 18.
Recours civils
34. (1) En cas de violation d'un droit d'auteur, le titulaire du droit est admis, sous réserve des autres dispositions de la présente loi, à exercer tous les recours -- en vue notamment d'une injonction, de dommages-intérêts, d'une reddition de compte ou d'une remise -- que la loi accorde ou peut accorder pour la violation d'un droit.
(2) Le tribunal, saisi d'un recours en violation des droits moraux, peut accorder à l'auteur ou au titulaire des droits moraux visé au paragraphe 14.2(2) ou (3), selon le cas, les réparations qu'il pourrait accorder, par voie d'injonction, de dommages-intérêts, de reddition de compte, de remise ou autrement, et que la loi prévoit ou peut prévoir pour la violation d'un droit.
(3) Les frais de toutes les parties à des procédures relatives à la violation d'un droit prévu par la présente loi sont à la discrétion du tribunal.
(4) Les procédures suivantes peuvent être engagées ou continuées par une requête ou une action :
a) les procédures pour violation du droit d'auteur ou des droits moraux;
b) les procédures visées aux articles 44.1, 44.2 ou 44.4;
c) les procédures relatives aux tarifs homologués par la Commission en vertu des parties VII et VIII ou aux ententes visées à l'article 70.12.
Le tribunal statue sur les requêtes sans délai et suivant une procédure sommaire.
(5) Les requêtes visées au paragraphe (4) sont, en matière civile, régies par les règles de procédure et de pratique du tribunal saisi des requêtes si ces règles ne prévoient pas que les requêtes doivent être jugées sans délai et suivant une procédure sommaire. Le tribunal peut, dans chaque cas, donner les instructions qu'il estime indiquées à cet effet.
(6) Le tribunal devant lequel les procédures sont engagées par requête peut, s'il l'estime indiqué, ordonner que la requête soit instruite comme s'il s'agissait d'une action.
(7) Au présent article, requête s'entend d'une procédure engagée autrement que par un bref ou une déclaration.
L.R. (1985), ch. C-42, art. 34; L.R. (1985), ch. 10 (4e suppl.), art. 8; 1993, ch. 15, art. 3(A), ch. 44, art. 65; 1994, ch. 47, art. 62; 1997, ch. 24, art. 20.
Recours criminels
42. (1) Commet une infraction quiconque, sciemment :
a) se livre, en vue de la vente ou de la location, à la contrefaçon d'une oeuvre ou d'un autre objet du droit d'auteur protégés;
b) en vend ou en loue, ou commercialement en met ou en offre en vente ou en location un exemplaire contrefait;
c) en met en circulation des exemplaires contrefaits, soit dans un but commercial, soit de façon à porter préjudice au titulaire du droit d'auteur;
d) en expose commercialement en public un exemplaire contrefait;
e) en importe pour la vente ou la location, au Canada, un exemplaire contrefait.
Le contrevenant encourt, sur déclaration de culpabilité par procédure sommaire, une amende maximale de vingt-cinq mille dollars et un emprisonnement maximal de six mois, ou l'une de ces peines, ou, sur déclaration de culpabilité par voie de mise en accusation, une amende maximale d'un million de dollars et un emprisonnement maximal de cinq ans, ou l'une de ces peines.
Avanie et Framboise
Sont les mamelles du destin!
que tous ceux qui croient qu'on peut jouer sans craintes avec la parole des autres
se préparent à recevoir un colis de vérité
une lame de fond de lumière
de plein fouet
Impostérité
Évidemment...
Marcel Laroche
La Presse
Le vendredi 03 septembre 2004
Au fil des mois, les détectives montréalais ont découvert que Johannes Winton jouissait d'une libération conditionnelle depuis l'automne 2002. Avec sa conjointe et deux jeunes enfants, il vivait tout près de la scène du crime, à Verdun. Autre détail troublant: il entretenait des relations amicales avec un certain Daniel Martel, connu pour frayer dans le milieu des trafiquants de drogue. Il n'en fallait évidemment pas plus pour qu'ils deviennent les principaux suspects de la police.
La Presse
Le vendredi 03 septembre 2004
Au fil des mois, les détectives montréalais ont découvert que Johannes Winton jouissait d'une libération conditionnelle depuis l'automne 2002. Avec sa conjointe et deux jeunes enfants, il vivait tout près de la scène du crime, à Verdun. Autre détail troublant: il entretenait des relations amicales avec un certain Daniel Martel, connu pour frayer dans le milieu des trafiquants de drogue. Il n'en fallait évidemment pas plus pour qu'ils deviennent les principaux suspects de la police.
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