La joie, cette arme de combat
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Je me maintiens dans la joie par mille et un artifices dont l'amour,
l'amitié, la musique et les arts.
L'homme que je suis devenu souhaiterait avoir un...
Il y a 2 semaines


12 commentaires:
Pete Townsend l'avait crissé en bas du stage à Woodstock d'un coup de pied au cul, l'Abbie, parce qu'il huggait un peu trop le micro du band avec ses slogans révolutionnaires
les jeunes, je leur recommanderais de kidnapper des profs à la place comme dans Cecil B Demented de John Waters
Kidnappez des profs, fuckers, et imprimez vos propres diplômes et devenez tous de vraies royautés comme l'Empereur Norton !
Faites bruler vos soutiens gorge et passez vos cartes d'assurances maladie au shredder !
endommagez la marchandise ou hackez vous les méninges jusqu'à ce qu'on vous croit venus d'une autre planète, fondez des religions, devenez Papes et Papesses !
On veut faire de vous la chair à canon de l'industrie, ben, allez leur faire la guerre là ou ça leur fera le plus mal et devenez déserteurs
Drop the fuck OUT !
câlisse
invalidez leur système for crying out loud
redevenez sauvages
incontrôlables
DÉSapprenez
franchissez le point de non-retour et ne revenez plus en arrière
le nouveau monde, faudra l'inventer au complet
pas le bâtir sur les bases ni même les ruines de celui là
pis LE livre à piquer...
LE livre à piquer
petit indice
LOOK INSIDE
pis si y'a un os, je veux pas qu'on me dérange, je plante des roches dans un jardin de sable et je suis très occupé
vous irez lire Mistral
fuckers
L'éducation gratuite, ça serait extra. Mais se bâtir un cerveau sur mesure, être autodidacte, c'est mieux. Ça fait du bien de lire ça, Pat Caza. Surtout quand on envisage sérieusement quitter son emploi pour vivre autrement, pour se consacrer à temps plein à l'écriture...
Ben tiens: I heard of some dudes who do that...
Se payer du luxe superflu, qui compense (à peine) pour le mal-être de mener une vie qui n'est pas la sienne, c'est un cercle odieux qui doit bien prendre fin.
T'es bien sentencieux, pour un si jeune vieux, Vieux G.
Je suis un tout petit peu, minimalement lucide. C'est tout ce qu'il faut pour affirmer ça. Quant à l'âge, je n'ai jamais compris ce que c'est. Quand j'avais douze ans, je clavardais avec des adultes, on me donnait soixante ans ; suivant le calcul, j'en ai soixante-quinze aujourd'hui.
No you don't. Ça me ferait cent-treize ans et demi.
Tu vois, je suis sénile.
Oh no you're not. Juste un peu baveux.
Je sais que tu es brillant, c'est ce qui m'a attiré vers toi. Mais de là à l'être autant que moi, Guillaume, ça demeure à démontrer.
L'intelligence est une chose qui s'évalue difficilement, en fait j'aime admirer les particularités de chacun, je pense qu'on en a tous, du plus sot au plus génial, et c'est ce qui fait notre beauté. Mais je présume que tu parles d'écriture. Dans ce domaine-là, l'unicité est encore plus flagrante et délectable. Chacun ses forces. Un exemple, pour ne nommer que celui-là : tes mots sont pleins d'une vie et d'une texture qui me font halluciner. Je n'envisagerais jamais de pouvoir créer des phrases aussi majestueusement organiques. Tu as un langage propre. J'ai mes forces aussi, je serais fou de les ignorer. Je suis sans doute baveux, comme tu dis. En tous les cas, dans mon laboratoire littéraire, je prépare des choses bien intéressantes.
cool
on dirait un remake d'une des scènes avec Brando et Sheen dans Apocalypse Now
@ PatCaz
Let the Boy be.
Hihi.
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