Ché pa, mais moi cette chanson ne m'évoque pas Dave ni Adam mais autre chose, le temps qui passe et puis mine de rien sur fond de déhanchement certaines réalités. L'amour, parfois effraie, et l'amour d'un être hors de la mêlée davantage! Prendre ses jambes à son cou pour fuir et déserter peut être une sauvegarde mais peut aussi être une incapacité à vouloir avancer. Aucun accouchement même sous péridurale ne se fait sans douleur!
Run away!
Tiens d'un coup je pense à mon cher Laborit, tu sais combien je l'affectionne, trois solutions face à une situation de stress: la fuite, l'inhibition ou l'agression... La relation entre deux êtres engendrent parfois ce genre d'équation, on se pense d'un coup plus sur la même longueur d'onde et cela provoque des interférences difficiles à gérer et donc une situation de stress.... run away.... Pour avoir connu les trois phases de mon oncle d'Amérique, j'ai envie de dire, DANSE! c'est mon côté Zorba! Rien n'est simple, rien n'est aussi facile ni fluide qu'on aimerait que ce soit, sans doute se plaît-on à compliquer les choses, parce qu'en soit c'est si enchevêtré et la vie n'est pas qu'un tour de piste, souffrir comme aimer demande beaucoup de soi et beaucoup plus qu'on ne l'imagine, pas seulement donner, non, prendre des initiatives et s'approcher au plus près de la sincérité qu'on a envers soi-même, qu'on tente d'avoir! Aimer et être aimé est un voyage qu'on ne peut faire que d'un commun accord, donnant-donnant; je suis, tu es, tu m'aimes comme je suis, je t'aime comme tu es, tu m'apprends, je te donne, tu me donne , j'existe, tu m'ordonnes, j'accepte, je te demande, tu es là et tu m'émerveilles. l'amour c'est çà, permettre à l'aimé de s'aimer, et réciproquement! L'amour n'est pas un pansement, il est la vie même!
Oh, j'étais jeune étudiant, subjugué par les thèses de Mon Oncle d'Amérique. Je l'ai rencontré au Salon du Livre de MTL et on est allé prendre un pot. De loin, on aurait dit un jeune homme, mais de proche c'était à mes yeux un vieillard qui se teignait les cheveux au cirage à chaussures. J'avais trop bu, je ne me souviens plus de grand chose.
Méditation à l'ère du numérique
-
Il avait débranché sa télévision et même sa radio.
Il avait éteint son cellulaire.
Il avait ouvert ses fenêtres.
Tout ça pour respirer.
Un peu.
Beauco...
.
-
Adieu Christian, mes sympathies à tes proches et à la Tribu. Je t'ai lâché,
je sais, après t'avoir beaucoup pris. Notre amitié n'était plus vive.
Pourtan...
DOCUMENT 3
-
Après tout, la vie n'est peut-être pas juste une pub télé de Linen Chest.
J'adore tripoter un géranium citron et me sentir les doigts après. Faut
que je m...
49 and a life to go
-
Ainsi donc, après une résonance magnétique et une visite chez le neurologue
on m'apprend que je n'ai pas de tumeur au cerveau. Pas de sclérose...
Pour avoir une idée de quoi on parle
-
"...À l'aube du 20 avril 1914, à Ludlow, coin perdu des hautes plaines du
Colorado, au centre d'une nation américaine en "apparent repos", les
soldats de ...
Vulnérabilité
-
Voici où j'en suis.
Je suis tombé par le plus grand des hasard sur cette conférence cette
semaine.
Seulement, je ne crois plus vraiment au hasard.
Cette da...
Revenons à nos moutons
-
L’improbabilité de l’être grandit avec l’accroissement des masques de la
certitude creusant l’abîme entre un réel d’autant plus rassurant qu’il est
pauvre...
Le poulet rôti façon Blue
-
Blue
Quand elle est partie de la maison, Swan m’a fait promettre de lui
transmettre ma recette du poulet rôti façon Blue. Elle aime l’idée
d’étendre ses p...
11 commentaires:
Pôvre Vanina, ouah, ouah ouah...
Remember Dave, do we, old girl?
Dave!!!
Ché pa, mais moi cette chanson ne m'évoque pas Dave ni Adam mais autre chose, le temps qui passe et puis mine de rien sur fond de déhanchement certaines réalités. L'amour, parfois effraie, et l'amour d'un être hors de la mêlée davantage! Prendre ses jambes à son cou pour fuir et déserter peut être une sauvegarde mais peut aussi être une incapacité à vouloir avancer. Aucun accouchement même sous péridurale ne se fait sans douleur!
Run away!
Tiens d'un coup je pense à mon cher Laborit, tu sais combien je l'affectionne, trois solutions face à une situation de stress: la fuite, l'inhibition ou l'agression...
La relation entre deux êtres engendrent parfois ce genre d'équation, on se pense d'un coup plus sur la même longueur d'onde et cela provoque des interférences difficiles à gérer et donc une situation de stress.... run away....
Pour avoir connu les trois phases de mon oncle d'Amérique, j'ai envie de dire, DANSE! c'est mon côté Zorba!
Rien n'est simple, rien n'est aussi facile ni fluide qu'on aimerait que ce soit, sans doute se plaît-on à compliquer les choses, parce qu'en soit c'est si enchevêtré et la vie n'est pas qu'un tour de piste, souffrir comme aimer demande beaucoup de soi et beaucoup plus qu'on ne l'imagine, pas seulement donner, non, prendre des initiatives et s'approcher au plus près de la sincérité qu'on a envers soi-même, qu'on tente d'avoir!
Aimer et être aimé est un voyage qu'on ne peut faire que d'un commun accord, donnant-donnant; je suis, tu es, tu m'aimes comme je suis, je t'aime comme tu es, tu m'apprends, je te donne, tu me donne , j'existe, tu m'ordonnes, j'accepte, je te demande, tu es là et tu m'émerveilles. l'amour c'est çà, permettre à l'aimé de s'aimer, et réciproquement! L'amour n'est pas un pansement, il est la vie même!
Wow!
J'ai connu Laborit, ché pas si je t'en ai déjà parlé...
Ah? Perso?
Non, tu ne m'en as jamais parlé.
Raconte...
Oh, j'étais jeune étudiant, subjugué par les thèses de Mon Oncle d'Amérique. Je l'ai rencontré au Salon du Livre de MTL et on est allé prendre un pot. De loin, on aurait dit un jeune homme, mais de proche c'était à mes yeux un vieillard qui se teignait les cheveux au cirage à chaussures. J'avais trop bu, je ne me souviens plus de grand chose.
Dis toujours le pas grand chose qui te reste, ché pas, ça m'intéresse!
Il me reste que j'ai connu Laborit, c'est tout. Pas de quoi écrire à sa mère.
:-)
Je te reconnais bien là!
Publier un commentaire