Quand on n'est pas responsable et qu'on coûte cher à gérer anyway, héhé...
Ça fait pitié, pareil. Je vous parle d'un temps que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître, comme chante l'autre: je vous parle de quand j'estimais Richard.
Imputable, indeed.
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2 commentaires:
Je trouve que Martineau amène le journalisme à tous. Le problème, c'est que la plupart des gens qui l'écoutent et qui adhèrent à ses opinions actuelles n'ont pas leur première année de Cégep (en "sciences humaines", mettons). C'est lancé trop vite, trop fort, avec les coins tournés trop rond, imprimé à quelque part entre deux conneries de Québecor Média.
Lancer les gens sur des pistes, les inciter à la réflexion, c'est pas toujours bon, surtout quand c'est fait grassement, et que le sujet est discuté entre deux bouchées de pommes de terre frites au snack bar du coin.
-T'as lu Martineau, tsé quand il parle des islamistes religieux qui tuent leurs femmes?
-Ouin, Martineau, lui il les dit les vraies affaires.
-Burp
-Burp
N'étant pas exactement
comme le bon vin,
Richard failli passer
à la casserole.
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