En ligne: entretien avec Simon Girard et Johnnie Walker...
4.4.08
Mal aux cheveux
En ligne: entretien avec Simon Girard et Johnnie Walker...
3.4.08
Du stuff neuf
Gutenberg: alive and well and kicking ass
Assisté lundi soir, sur son invitation, au lancement du premier livre de Stéphane Ranger, une valeur littéraire qui va monter.
Sa maison, les éditions de Ta Mère, a la foi qui déplace les chaînes de montagnes: deux gars, une fille et des ovaires en béton armé. Réjouissant.
2.4.08
Barologie
Des cocktails indéchiffrables, indescriptibles, digestes et séduisants qui soûlent à l'os, servis dans des pots Mason d'un litre...
Paraît qu'ils s'apprêtent à en ouvrir une (Distillerie) plus près de chez moi, ce qui m'arrangerait bien parce que le pilote automatique, retour de biture, n'est plus ce qu'il fut. Mais j'attendrai probablement pas jusque là pour me rendre compte. J'ai soif et je rapporte toujours mes pots vides.
Canarde et couvre? Li'l dumb dumb...
Ici, il me rappelle un souvenir qui n'est pas tout à fait mien: c'est surtout celui de ma mère, née en 1945, qui fut exposée à ce Passe-Partout des BabyBoomers.
Pour ma part, né en 1964, ce frisson me fut transmis: j'ai grandi avec la chienne de la bombe A, de façon virale plutôt que virile, et quand le mur de Berlin chuta en 1989, j'ai appelé mon agent de voyage.
Ne l'ai jamais rejoint. Il avait l'afficheur.
Entendu à Montréal
Le livre de Frédéric Rappaz, que j'ai préfacé, est enfin sorti et sera lancé mercredi prochain. Attention: on s'esclaffe à chaque page et on a l'air fou dans l'autobus.
Le site est désormais logé à cette adresse.
1.4.08
Je prends ça pour du Cash.
31.3.08
30.3.08
Cerise sur le sunday: Bill Maher
Heureux vingt-sixième rugissant, mon cher enfant.
28.3.08
27.3.08
Basduck s'auto-censure: qui l'en blâmerait?
26.3.08
Un taxi pour l'enfer
Dans le même registre que Redacted, déjà évoqué, je recommande Taxi to the dark side. Pour alimenter l'indignation...
25.3.08
Cinq ans...
À pirater: Redacted, de Brian De Palma.
24.3.08
Ce vieux Ricky D parle pour moé
J'ai marqué d'une croix la clôture de ta cour Je suis rentré chez moi par la sortie d'secours Je me suis dit tout bas : «Non ce n'est pas mon jour Son coeur est un détroit, ses yeux un carrefour» J'ai pris l'harmonica, descendu dans la cour Et dessous du lilas, j'ai chanté sans détour : Quand j'aime une fois j'aime pour toujours Quand j'aime une fois j'aime pour toujours «L'amour est un tournoi où tombent tour à tour Les guerriers maladroits noyés dans la bravoure» Si c'est ce que tu crois, si tel est ton discours Sois sûre qu'une proie deviendra ton vautour Alors que fais-tu là enfermée dans ta tour? Je veux briser les lois qui règlent tes amours Quand j'aime une fois j'aime pour toujours Quand j'aime une fois j'aime pour toujours Tu entendras ma voix dans le ciel du faubourg J'avancerai vers toi avec les yeux d'un sourd N'entends-tu pas déjà le compte à rebours Ouvre ta véranda, annonce mon retour Je foncerai comme un ours aux pattes de velours Je veux toucher du doigt la peau de ton tambour Quand j'aime une fois j'aime pour toujours Quand j'aime une fois j'aime pour toujours
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