C'est de Ven Landry. Je le lui pique! En public!
Elle devient coriace comme il faut, ma Fée Cannelle, mais faut encore l'endurcir une tite affaire. Voire si on échappe un beau dire de même devant une ordure comme moi!
Héhé. Don't do it again. Y a des voleurs partout.
16.1.09
La chair est triste et j'ai lu trop peu de livres
2008
Woodward and Bernstein : life in the shadow of Watergate, A. C. Shepard (5 janvier 2008).
John Wiley & Sons, Hoboken, 2007, 290 pages.
JFK : le dernier témoin, William Reymond & Billie Sol Estes (7 janvier 2008).
Flammarion, Paris, 2003, 408 pages.
Speer et Hitler : l’architecte du diable, Heinrich Breloer (22 janvier 2008).
(T. O. Speer und er, 2005).
Canal + Éditions, Paris, 2006, 410 pages.
Limitations, Scott Turow (7 mars 2008).
HarperCollins, Toronto, 2006, 198 pages.
The tipping point, Malcolm Gladwell (30 mars 2008).
Little, Brown And Company, New York, 2000, 304 pages.
Le noël d’Hercule Poirot, Agatha Christie (10 avril 2008).
(T. O. Hercule Poirot’s christmas).
Le livre de poche, Paris, 1946, 320 pages.
Les vacances d’Hercule Poirot, Agatha Christie (14 avril 2008).
(T. O. Evil under the sun).
Le livre de poche, Paris, 1948, 254 pages.
Brothers, David Talbot (23 avril 2008).
Free Press, New York, 2007, 478 pages.
Destins tordus, Woody Allen (23 avril 2008).
(T. O. Side Effects).
Robert Laffont, Paris, 2006, 208 pages.
Meurtre en différé, William Harrington (26 avril 2008).
(T. O. Columbo Book I : The Grassy Knoll, 1993).
Belfond, Paris, 1993, 284 pages.
Lee Harvey Oswald : affaire classée, Anthony Frewin (8 mai 2008).
(T. O. Inconnu).
Le Serpent à Plumes, Paris, 2000, 360 pages.
Cinq petits cochons, Agatha Christie (24 mai 2008).
(T. O. Five little pigs, 1941).
Le livre de poche, Paris, 1942, 250 pages.
Napoléon III : Un si charmant jeune homme…, Jean-Pierre Dufreigne (14 juin 2008).
Plon, Paris, 2007, 270 pages.
Napoléon III : Un empereur qui rêvait…, Jean-Pierre Dufreigne (25 juin 2008).
Plon, Paris, 2007, 262 pages.
Le clan Rhett Butler, Donald McCaig (28 juin 2008).
(T. O. Rhett Butler’s people, 2007).
Oh!, Paris, 2007, 540 pages.
Lucien Rivard : Le caïd au cœur du scandale, Benoit Gignac (29 juin 2008).
Voix Parallèles, Montréal, 2008, 196 pages.
Paul à la pêche, Michel Rabagliati (29 juin 2008).
La Pastèque, Montréal, 2006, 200 pages.
Omerta, Mario Puzo (8 juillet 2008).
Random House, New York, 2000, 318 pages.
La comtesse de Salisbury, Alexandre Dumas (17 juillet 2008).
Les Belles Lettres, Paris, 2006, 416 pages.
La machine à bonheur, James Gunn (22 juillet 2008).
(T. O. The Joy Machine, 1996).
Fleuve Noir, Paris, 1998, 220 pages.
L'assassinat de Jesse James par le lâche Robert Ford, Ron Hansen (29 juillet 2008).
(T. O. The assassination of Jesse James by the coward Robert Ford, 1983).
Buchet-Castel, Paris, 2007, 496 pages.
Les mille et une vies de Billy Milligan, Daniel Keyes (9 août 2008).
(T. O. The minds of Billy Milligan, 1981).
Calmann-Lévy, Paris, 2007, 464 pages.
L’affaire Gouzenko, William Stevenson (12 novembre 2008).
(T. O. Intrepid’s last case).
Carrere, Paris, 1986, 432 pages.
douce_sophie, Sophie L. (12 décembre 2008).
Les Intouchables, Montréal, 2000, 138 pages.
Woodward and Bernstein : life in the shadow of Watergate, A. C. Shepard (5 janvier 2008).
John Wiley & Sons, Hoboken, 2007, 290 pages.
JFK : le dernier témoin, William Reymond & Billie Sol Estes (7 janvier 2008).
Flammarion, Paris, 2003, 408 pages.
Speer et Hitler : l’architecte du diable, Heinrich Breloer (22 janvier 2008).
(T. O. Speer und er, 2005).
Canal + Éditions, Paris, 2006, 410 pages.
Limitations, Scott Turow (7 mars 2008).
HarperCollins, Toronto, 2006, 198 pages.
The tipping point, Malcolm Gladwell (30 mars 2008).
Little, Brown And Company, New York, 2000, 304 pages.
Le noël d’Hercule Poirot, Agatha Christie (10 avril 2008).
(T. O. Hercule Poirot’s christmas).
Le livre de poche, Paris, 1946, 320 pages.
Les vacances d’Hercule Poirot, Agatha Christie (14 avril 2008).
(T. O. Evil under the sun).
Le livre de poche, Paris, 1948, 254 pages.
Brothers, David Talbot (23 avril 2008).
Free Press, New York, 2007, 478 pages.
Destins tordus, Woody Allen (23 avril 2008).
(T. O. Side Effects).
Robert Laffont, Paris, 2006, 208 pages.
Meurtre en différé, William Harrington (26 avril 2008).
(T. O. Columbo Book I : The Grassy Knoll, 1993).
Belfond, Paris, 1993, 284 pages.
Lee Harvey Oswald : affaire classée, Anthony Frewin (8 mai 2008).
(T. O. Inconnu).
Le Serpent à Plumes, Paris, 2000, 360 pages.
Cinq petits cochons, Agatha Christie (24 mai 2008).
(T. O. Five little pigs, 1941).
Le livre de poche, Paris, 1942, 250 pages.
Napoléon III : Un si charmant jeune homme…, Jean-Pierre Dufreigne (14 juin 2008).
Plon, Paris, 2007, 270 pages.
Napoléon III : Un empereur qui rêvait…, Jean-Pierre Dufreigne (25 juin 2008).
Plon, Paris, 2007, 262 pages.
Le clan Rhett Butler, Donald McCaig (28 juin 2008).
(T. O. Rhett Butler’s people, 2007).
Oh!, Paris, 2007, 540 pages.
Lucien Rivard : Le caïd au cœur du scandale, Benoit Gignac (29 juin 2008).
Voix Parallèles, Montréal, 2008, 196 pages.
Paul à la pêche, Michel Rabagliati (29 juin 2008).
La Pastèque, Montréal, 2006, 200 pages.
Omerta, Mario Puzo (8 juillet 2008).
Random House, New York, 2000, 318 pages.
La comtesse de Salisbury, Alexandre Dumas (17 juillet 2008).
Les Belles Lettres, Paris, 2006, 416 pages.
La machine à bonheur, James Gunn (22 juillet 2008).
(T. O. The Joy Machine, 1996).
Fleuve Noir, Paris, 1998, 220 pages.
L'assassinat de Jesse James par le lâche Robert Ford, Ron Hansen (29 juillet 2008).
(T. O. The assassination of Jesse James by the coward Robert Ford, 1983).
Buchet-Castel, Paris, 2007, 496 pages.
Les mille et une vies de Billy Milligan, Daniel Keyes (9 août 2008).
(T. O. The minds of Billy Milligan, 1981).
Calmann-Lévy, Paris, 2007, 464 pages.
L’affaire Gouzenko, William Stevenson (12 novembre 2008).
(T. O. Intrepid’s last case).
Carrere, Paris, 1986, 432 pages.
douce_sophie, Sophie L. (12 décembre 2008).
Les Intouchables, Montréal, 2000, 138 pages.
15.1.09
Mama and me
Or why I really should be in therapy.
Enfant, je faisais partie d'une classe de surdoués baptisée Les Pandas Savants. P'tite misère...
Enfant, je faisais partie d'une classe de surdoués baptisée Les Pandas Savants. P'tite misère...
Poésie à domicile
Une succulente initiative de Nina louVe.
Un conseil: demandez-lui aussi de lire un peu de la sienne; ça déchire.
Un conseil: demandez-lui aussi de lire un peu de la sienne; ça déchire.
14.1.09
La Joute: chauffer la salle
Ven me signale qu'il n'est pas trop tôt pour s'organiser.
Pour assister à l'émission.
Pour s'inscrire et pouvoir voter.
Pour assister à l'émission.
Pour s'inscrire et pouvoir voter.
13.1.09
Sandy says part 2
Ek toutes leurs conneries astrologiques, me suis fourré d'un mois: semble que l'anniversaire de Venise est la veille de la Saint-Valentin.
10.1.09
Sandy says...
C'est comme Simon dit, sauf que c'est Sandy et qu'y fait bon en tenir compte en Christie.
Sandy dit que je devrais en appeler à la Tribu aujourd'hui, moi je rouspète, je lui dis wéyons-donc, la Tribu sera là dans les temps, mais à quoi bon l'alerter de suite? Et Sandy dit c'est la Tribu, la Tribu s'en crisse du timing, calle tout le monde de suite.
Moi, je m'ostine pas des masses avec Sandy.
Préparez-vous. Préparez-moi.
Sandy dit que je devrais en appeler à la Tribu aujourd'hui, moi je rouspète, je lui dis wéyons-donc, la Tribu sera là dans les temps, mais à quoi bon l'alerter de suite? Et Sandy dit c'est la Tribu, la Tribu s'en crisse du timing, calle tout le monde de suite.
Moi, je m'ostine pas des masses avec Sandy.
Préparez-vous. Préparez-moi.
9.1.09
7.1.09
Humour gratuit
C'est gratis. Flambant neu, genre, mais Python pourtant, Poulin pas mal, Provençal plein, les autres vont vite se distinguer. De RBO, guère de trace patente, presque pas pantoute. Pis c'est gratis, pis c'est drôle en crisse!
Pis c'est gratis. Payé ek les TAXES pis les IMPÔTS des maudits Adéquisssssses! Contemplez la Nouvelle Clique du Plateau, originaire de Saint-Jean-sur-Richelieu. Vous avez pas chialé quand ils ont fermé le Collège Militaire, vous avez crissé les économies dans vos REÉRs bas-de-laine de Boomers barbus, ben c'est ça, nos jeunes se sont arrangés pour improviser, ils ont fait de l'impro.
Pis c'est gratis.
«Surtout parle pas de ta collection de figuriiiiiines...»
Pis c'est gratis. Payé ek les TAXES pis les IMPÔTS des maudits Adéquisssssses! Contemplez la Nouvelle Clique du Plateau, originaire de Saint-Jean-sur-Richelieu. Vous avez pas chialé quand ils ont fermé le Collège Militaire, vous avez crissé les économies dans vos REÉRs bas-de-laine de Boomers barbus, ben c'est ça, nos jeunes se sont arrangés pour improviser, ils ont fait de l'impro.
Pis c'est gratis.
«Surtout parle pas de ta collection de figuriiiiiines...»
6.1.09
Three Amigos
Sébastien Ricard, Sébastien Fréchette, Mathieu Farhoud-Dionne, ça dit pas grand-chose à grand-monde.
Barjots Prolixes? Non?
Timbrés Bavards? Non plus?
Batlam, Biz, Chafiik, Loco Locass: à ces mots, bien des lumières s'allument, en Nouvelle-France!
Ces gars-là ont davantage contribué, à titre d'exemple, à faire connaître Diogène aux jeunes que tous les profs de philosophie d'ici réunis. Ils ont aussi donné le goût à plusieurs centaines de savoir ce qu'est le Vortex de Mistral. Avec une seule chanson. Mais chacune de leurs chansons est exigeante, et toujours un vaste public de jeunes gens assoiffés de mots et de sens répond à leur parole, à leur intégrité je crois, à l'absence absolue de condescendance dans ce qu'ils proposent. Je sais pas, me semble qu'ils sont un cas unique ici, non? Des intellectuels activistes politiques chanteurs populaires post-référendums?
Barjots Prolixes? Non?
Timbrés Bavards? Non plus?
Batlam, Biz, Chafiik, Loco Locass: à ces mots, bien des lumières s'allument, en Nouvelle-France!
Ces gars-là ont davantage contribué, à titre d'exemple, à faire connaître Diogène aux jeunes que tous les profs de philosophie d'ici réunis. Ils ont aussi donné le goût à plusieurs centaines de savoir ce qu'est le Vortex de Mistral. Avec une seule chanson. Mais chacune de leurs chansons est exigeante, et toujours un vaste public de jeunes gens assoiffés de mots et de sens répond à leur parole, à leur intégrité je crois, à l'absence absolue de condescendance dans ce qu'ils proposent. Je sais pas, me semble qu'ils sont un cas unique ici, non? Des intellectuels activistes politiques chanteurs populaires post-référendums?
Why the fuck do we fight?
Caza m'a envoyé un truc intéressant, signé Cyril Bennasar.
Oui, je crois que la liberté des femmes qui commence par celle de choisir son conjoint et dont la conséquence est la mise en concurrence, la rivalité des hommes, est le moteur du progrès, du développement et la fierté de notre monde. Quand on interroge John Lennon ou Mick Jagger sur la raison pour laquelle ils ont monté un groupe de rock, la réponse est simple – pour plaire aux filles. Et c’est grâce à cet heureux penchant qu’ils laissent des chansons inoubliables. L’envie de garder la femme qu’on aime et de séduire les autres n’est-elle pas pour quelque chose dans la passion qui pousse les hommes à écrire de grands livres, composer des symphonies ou trouver des vaccins ? En revanche, dans une civilisation où votre cousine vous est promise, due et même imposée, pour quoi et pour qui chercher à devenir meilleur ? Dans le monde merveilleux où, si vous apportez dans l’au-delà des juifs et des croisés, on vous promet des vierges à la pelle, pourquoi prendre le risque de prendre des râteaux ici-bas ?
Je me réjouis tous les jours de vivre dans le monde des femmes libres. C’est pour elles et grâce à elles que je crois en notre victoire. J’y crois parce que la liberté m’habite.
Oui, je crois que la liberté des femmes qui commence par celle de choisir son conjoint et dont la conséquence est la mise en concurrence, la rivalité des hommes, est le moteur du progrès, du développement et la fierté de notre monde. Quand on interroge John Lennon ou Mick Jagger sur la raison pour laquelle ils ont monté un groupe de rock, la réponse est simple – pour plaire aux filles. Et c’est grâce à cet heureux penchant qu’ils laissent des chansons inoubliables. L’envie de garder la femme qu’on aime et de séduire les autres n’est-elle pas pour quelque chose dans la passion qui pousse les hommes à écrire de grands livres, composer des symphonies ou trouver des vaccins ? En revanche, dans une civilisation où votre cousine vous est promise, due et même imposée, pour quoi et pour qui chercher à devenir meilleur ? Dans le monde merveilleux où, si vous apportez dans l’au-delà des juifs et des croisés, on vous promet des vierges à la pelle, pourquoi prendre le risque de prendre des râteaux ici-bas ?
Je me réjouis tous les jours de vivre dans le monde des femmes libres. C’est pour elles et grâce à elles que je crois en notre victoire. J’y crois parce que la liberté m’habite.
4.1.09
Bye Bye: quelques dernières considérations
Maintenant qu'on s'est bien poussetiné la ratatouère ek le Bye Bye, Céline Dion, son petit fifi chevelu mais c'est pas sa faute il compense, Ovide Plouffe et Mistral et Martineau, et tutti fucking candy, vous allez me dire astheure si vous parvenez à watcher ça sans brailler.
Paske parfois, on n'a pas envie de s'appeler Bukowski. Qu'on a des fils, des frères ou une soeur gouine en Afghanistan, qui n'en a pas, c'est ainsi depuis Alexandre le Grand, on y entre facile et on n'en sort pas, et parfois s'appeler Bukowski c'est coton, surtout quand ton pote Berger t'a remplacé une demie-heure dans l'uniforme et le baraquement tandis que t'allais sauter Beverly D'Angelo. Surtout quand un système le mange, que l'avion l'avale et que la terre l'engloutit ensuite.
Let the sun shine in, please.
Paske parfois, on n'a pas envie de s'appeler Bukowski. Qu'on a des fils, des frères ou une soeur gouine en Afghanistan, qui n'en a pas, c'est ainsi depuis Alexandre le Grand, on y entre facile et on n'en sort pas, et parfois s'appeler Bukowski c'est coton, surtout quand ton pote Berger t'a remplacé une demie-heure dans l'uniforme et le baraquement tandis que t'allais sauter Beverly D'Angelo. Surtout quand un système le mange, que l'avion l'avale et que la terre l'engloutit ensuite.
Let the sun shine in, please.
Je chante le corps électrique...
This one is for my wild woman. The one I loved, who loved me, we nearly destroyed each other before we figured it out, and now I love a girl who's sweet on me and Meth has a sweetheart too, and we live many miles apart which is barely enough to keep us from creating some sort of ruckus or chaos or any kind of disturbance of the peace every fucking chance we get.
It won't help a bit, not a goddamned bit, but she deserves it, because she's the wildest and Walt would have wanted it that way. And I ain't talking about Walt Disney, you ignorant bunch of morons...
I sing the body electric
I celebrate the me yet to come
I toast to my own reunion
When I become one with the sun
It won't help a bit, not a goddamned bit, but she deserves it, because she's the wildest and Walt would have wanted it that way. And I ain't talking about Walt Disney, you ignorant bunch of morons...
I sing the body electric
I celebrate the me yet to come
I toast to my own reunion
When I become one with the sun
3.1.09
Dick
Me semble que t'es dû pour une petite rincée, Dick.
Hein? Une petite rincée?
Avec tes mots à toé?
Mais n'anticipons point, surtout pas sur mon plaisir, récapitulons plutôt. Qu'est-ce que t'en dis, Dickie?
Richard s'est répandu dans toute l'Europe occidentale dès les IXe et Xe siècles . Il a connu un succès particulier en Angleterre, où il est devenu l'un des prénoms les plus attribués, sans jamais subir d'éclipse prolongée ; il y a encore figuré, de 1960 à 1980, au palmarès des prénoms masculins. Dans la plupart des pays anglophones, cette faveur remarquable a été partagée, bien qu'aujourd'hui, aux États-Unis, Richard se fasse plus rare, peut-être à la suite de l'image négative du président Richard Nixon. En France, Richard n'a jamais eu un succès comparable et, comme beaucoup de prénoms médiévaux, il avait disparu de l'usage entre le XVIe et le XIXe siècle. Mais, depuis les années 1970, il a retrouvé une assez large fréquence qui semble rester stable.
Dieudonné, ma foi, même toé tu peux savoir d'où ça provient, comme prénom, mais juste au cas où tu serais devenu tout à coup ignorant sans qu'on s'en aperçoive...
Quant à Christian, au cas où tu ne saurais pas encore qu'il faut pas l'oublier, c'est celui qui se réclame du crisse, et Mistral, c'est moi, celui que tu as estimé judicieux d'égratigner avec ton slingshot pour sauver tes bonbons en 2007 et qui t'a rebalancé un tank illico sur ta sale gueule de con.
Paraîtrait qu'on doit débattre, betôt? Miam miam! Viens voir mononc'...
Hein? Une petite rincée?
Avec tes mots à toé?
Mais n'anticipons point, surtout pas sur mon plaisir, récapitulons plutôt. Qu'est-ce que t'en dis, Dickie?
Richard s'est répandu dans toute l'Europe occidentale dès les IXe et Xe siècles . Il a connu un succès particulier en Angleterre, où il est devenu l'un des prénoms les plus attribués, sans jamais subir d'éclipse prolongée ; il y a encore figuré, de 1960 à 1980, au palmarès des prénoms masculins. Dans la plupart des pays anglophones, cette faveur remarquable a été partagée, bien qu'aujourd'hui, aux États-Unis, Richard se fasse plus rare, peut-être à la suite de l'image négative du président Richard Nixon. En France, Richard n'a jamais eu un succès comparable et, comme beaucoup de prénoms médiévaux, il avait disparu de l'usage entre le XVIe et le XIXe siècle. Mais, depuis les années 1970, il a retrouvé une assez large fréquence qui semble rester stable.
Dieudonné, ma foi, même toé tu peux savoir d'où ça provient, comme prénom, mais juste au cas où tu serais devenu tout à coup ignorant sans qu'on s'en aperçoive...
Quant à Christian, au cas où tu ne saurais pas encore qu'il faut pas l'oublier, c'est celui qui se réclame du crisse, et Mistral, c'est moi, celui que tu as estimé judicieux d'égratigner avec ton slingshot pour sauver tes bonbons en 2007 et qui t'a rebalancé un tank illico sur ta sale gueule de con.
Paraîtrait qu'on doit débattre, betôt? Miam miam! Viens voir mononc'...
Sainte-Catherine est en maudit
Traduction: la madame est pas contente pantoute, pis avant qu'elle se mette à faire de la tire, moi je change de camp, je dégage du Plateau, je décampe à Québec via Prévost (à cause qu'elle vient de là et aussi ce petit côté du mot, détenu faisant office de gardien de prison) et peut-être même Charlemagne une escousse (parce que Céline vient de là et que Charlie a inventé l'école), anyway je suis convaincu, je change de clique, fuck le Plateau, ma clique c'est Québec désormais, mes chefs Jeff et Mario, ma muse Catherine Hébert, sa passion me conquiert, sa foi me transporte, surtout qu'elle est artiste et éducatrice spécialisée et qu'elle a bien raison à propos de «ces innommables récompenses, ces innommables réussites» évoquées aux environs de 1:49, sans parler de ce cri du coeur («Non mais ça a tu de l'allure de voir René-Charles brûler de l'argent quand c'est si important pour toi, l'argent...») et cette tasse de café qui semble stimuler un sain fanatisme à chaque gorgée, et puis il y en a encore, on n'est pas des colons, on le fait en anglais aussi, vous nous prenez pour qui?
Votre hostie de délire de clique du Plateau, mononc'Misty est à veille de prendre cinq minutes pour vous le refouler dans le fond de la yeule, gang de débiles. Vous aimez pas ça ouvrir la tévé le matin pis voir la météo de Montréal pis les bouchons de circulation sul pont Jacques-Cartier? Je compatis, vivre dans vos trous, j'aimerais pas ça non plus, mais too fucking bad, live with it, notre neige et nos bouchons sont plus importants culturellement que vos flocons pis vos manèges, c'est l'axe qui polarise vos taxes, c'est le pot qui fait fleurir vos impôts, c'est le derrière de vos REÉRs qui s'esclaffe, qui absorbe les enfants que vous n'avez pas faits ou pas su retenir ou morgentalés en douce you know all those years ago.
Mangez-en, de la météo montréalaise, mangez-en des gros motons, pis surtout des rapports sur l'état des trottoirs de la rue Rachel, je vous en souhaite à plein écran plasma, à pleines souffleuses, clickeclick du Plateau, jingle schnolles all the way, Oh what fun it is to fuck à ciel ouvert dans not'Plateau avec vos TAXES pis vos IMPÔTS!
Votre hostie de délire de clique du Plateau, mononc'Misty est à veille de prendre cinq minutes pour vous le refouler dans le fond de la yeule, gang de débiles. Vous aimez pas ça ouvrir la tévé le matin pis voir la météo de Montréal pis les bouchons de circulation sul pont Jacques-Cartier? Je compatis, vivre dans vos trous, j'aimerais pas ça non plus, mais too fucking bad, live with it, notre neige et nos bouchons sont plus importants culturellement que vos flocons pis vos manèges, c'est l'axe qui polarise vos taxes, c'est le pot qui fait fleurir vos impôts, c'est le derrière de vos REÉRs qui s'esclaffe, qui absorbe les enfants que vous n'avez pas faits ou pas su retenir ou morgentalés en douce you know all those years ago.
Mangez-en, de la météo montréalaise, mangez-en des gros motons, pis surtout des rapports sur l'état des trottoirs de la rue Rachel, je vous en souhaite à plein écran plasma, à pleines souffleuses, clickeclick du Plateau, jingle schnolles all the way, Oh what fun it is to fuck à ciel ouvert dans not'Plateau avec vos TAXES pis vos IMPÔTS!
Bye Bye: quelques considérations supplémentaires
Kin, mes beaux cliqueux de Plateau adéquisses. Un Bye Bye qui rit pas des nèyes ni de Céline Dion. Êtes-vous contents? Non, vous serez pas contents: Dominique Michel est pas dedans, pis c'est payé ek les TAXES pis les IMPÔTS de VOS parents! Pis ça rit des Anglais, pas deux mois après la crisette d'octobre! Pis y sont souls! A TiVi!
1.1.09
Bye Bye 2008: quelques impressions
La joke sur Maxime Bernier qui aurait couché ek Couillard pour qu'on pense pas kié gay: cheap, dégueu, vieille, injuste, puant la marde, crossing the line, mais mon pote n'était pas de cet avis, et tant pis pour lui et la démocratie.
Denise Bombardier: je l'aime pas, c'est notoire, elle me déteste, ça s'est su: so what? La joke d'Angélil évoquant le prix qu'elle lui a coûté m'a dégoûté. Trente ans d'intègre exercice de sa profession, pour autant que l'on sache, méritent mieux qu'une inférence aussi grave légèrement lancée dans une émission aussi influente.
Denise Bombardier: je l'aime pas, c'est notoire, elle me déteste, ça s'est su: so what? La joke d'Angélil évoquant le prix qu'elle lui a coûté m'a dégoûté. Trente ans d'intègre exercice de sa profession, pour autant que l'on sache, méritent mieux qu'une inférence aussi grave légèrement lancée dans une émission aussi influente.
S'abonner à :
Messages (Atom)