31.10.11

On fournit pas

On baise comme des lapins! La sept milliardième tête à claque humaine est asiatique; en occident, on a beau avorter à l'échelle industrielle, on fournit pas à compenser, sans parler des Boomers qui dédaignent de décéder (pas demain la veille, d'ailleurs, qu'ils risquent de s'y mettre: attendez qu'ils entendent parler du triomphe de la science sur la sénescence, et qu'on pourra reprogrammer leurs fibroplastes encrassés en cellules souches pluripotentes...)

Cette horloge affiche les dégâts en temps réel. Malheureusement, elle ne tient pas compte des gros culs yankees, qu'il faudrait en toute équité mesurer en double.

6 commentaires:

MakesmewonderHum a dit...

Unibomber the babyboomer te salut!

Antoine Vekris a dit...

Il était une fois nécessaire de disposer de jeunes cons pour faire des nouveaux jeunes cons.

Nous avons désormais une alternative et bien sûr l'espoir de pouvoir conserver les vieux cons plus longtemps. On peut se réjouir. Vraiment !

Frédéric D. a dit...

Heureux de te lire à nouveau!

Peace!

Fred.

Yvan a dit...

L'idéal serait de les rajeunir
suffisamment pour les retourner
au boulot un autre 20 ans au
taux d'imposition et barèmes
de productivité version 2011.

Yvan a dit...

Je blaguais un peu.
Si seulement le rajeunissement
pouvait éradiquer la bêtise!

J'crois pas qu'une masse "autre"
aussi nombreuse et insouciante
eût mieux fait à l'époque.
N'importe lequel grand nombre aurait pensé à lui d'abord. N'empêche,
c'est tout un rendez-vous manqué, mai 68.
Comme septembre 2001
et combien d'autres dates.
On a choisi le nombril
de l'individualisme au détriment
d'autres peuples voulant vivre
dignement.Rien n'empêchait
ce bassin dominant à penser
un peu plus loin
que leur petit nez.
Vivons donc tous en harmonie
avec ses conséquences bientôt fâcheuses,frères et soeurs;
en sachant que cette race
aura tracé sa voie malgré
les nôtres s'opposant
encore aujourd'hui à
l'exploitation de l'homme
par l'homme.

Vive la résistance,
nous vaincrons.

Cheers.

Pat Caza a dit...

ben tiens donc osti d'osti
le retour de la proverbiale brebis égarée
l'était temps, mon noir
j'étais rendu à sniffer mes piles de Pacemaker tellement j'avais le quatre pattes enfoncé aux essieux dans la bouette à me demander ce que tu devenais
c'est quoi, tu t'es perdu en cherchant le chemin du centre Paul-Sauvé ou ton workout pour fitter dans ton Speedo a pris plus de temps que prévu ?
anyways, content de te voir ré-apparaitre
b'journée et bon retour