24.1.09

Rizia Moreira

Mon héroïne. Madame fait beaucoup pour les droits des pères en ce pays.

Elle contribue davantage que Fathers-4-Justice aux droits des pères en particulier et des hommes en général. Go, Rizia, go! Try to suck him dry! Continue de diffamer le papa de tes trois flos!

16 commentaires:

Anonyme a dit...

On assiste à deux luttes présentement : un conflit «conjugal» entre monsieur et madame, qui ne nous concerne pas du tout et une remise en question de la loi sur les conjoints de fait, différente au Québec.
Moi, à la place de la dame, je serai aller porter plainte au Brésil ou en Ontario... Pas au Québec.
Quant au débat de fond sur la loi sur les conjoints de fait, c'est une toute autre histoire, qui mérite d'être débattue, mais à tête reposée, pas présentement !

Matthieu H a dit...

Le problème de beaucoup de femmes est qu'elles ont le malheur de croire qu'elles peuvent imposer aux autres, par la seul force de leur volonté, les mensonges qu'elles même se sont imposés de croire. La lacheté qu'elles ont de ne pas se regarder en face, ce qui risquerait au demeurant, de dissoudre l'image qu'elles ont construite d'elle même et derriere laquele elles se cachent.

C'est un symptome d'egocentrisme et de narcissisme, un mechanisme de protection malsain qui ne survit pas longtemps lorsque appliqué au grand jour. Et madame va passer le reste de ses jours, persuadée d'être une victime (un tant soit peu que la cour fasse sont travail) et que c'est donc injuste la manière dont on l'a traité..

Personne n'est a l'abri de femmes (et d'hommes) comme cela, et beaucoup se perdent lorsque cela se passe dans le huis-clos d'une vie ordinaire.

Yvan a dit...

Mauvais cas faussement cité en exemple pour une bonne cause.

Ostide Calisse a dit...

Mrs Goooold digger

(à chanter sur l'air de Mister Bojangles)

Anonyme a dit...

Shilium : Veux-tu ben; tu me fais chier avec ta psycho. Va te tapper Cesser d'être une victime de R.Lopez et A.Casanova et on se reparlera de ce que c'est souffrir. Au fond, t'as pas de coeur.

Je te dis : va lire ça mais au fond, maintenant que j'y pense, je connais des psy qui en comprennent que dalle. T'es aussi ben de sortir de chez vous, disons, vers les 2h00 du mat et d'aller te promener entre Ontario, Berri, Sainte-Cath et Saint-Denis. Tu peux mettre ton plus beau linge. Oublie pas d'avoir l'air d'un pigeon (boc boc boc bocboc). Avec un peu de chance, tu vas te faire ramasser par un groupe de criminels (de préférence juifs ou arabes); volé, battu et violé.

On se reparlera après de ce que c'est que de perdre sa virginité anale.

Tu vas souffrir. Avec un peu de chance, ton esprit se dissociera de ton corps; tu sentiras pu rien et peut-être qu'à ce moment-là, devenu pur esprit, tu comprendras ce que peut ressentir cette pauvre dame.

Elle a eu sa vie scrap par cet homme, tu te rends compte ? Une ex-mannequin immigrante avec deux enfants sans père pis des millions. C'est juste un plan pour s'isoler encore plus.

Sérieux, je pense que tu peux la comprendre.

Mistral a dit...

Sûr, je la comprends. Est facile à comprendre, même pas besoin de la connaître. Toi, je te connais en masse, mais je te comprends pas. Son mari, je l'ai connu quand j'avais ton âge, mais je m'en rappelle pas. Ma virginité anale, on n'en parlera pas avant, pas après, pas pendant, pas aboutissant. Ma virginité anale, on n'en parlera pas, pas tant que tu n'auras pas déniché quelqu'un qui m'aurait enculé. On se reparlera après de ce que c'est que de veiller sur un grand bébé qui hésite entre se suicider et te sodomiser et soigner son acné et lire Hemingway.

Matthieu H a dit...

Bast: excellent, vraiment excellent, m'a pris une bonne minute a comprendre.

OMO-ERECTUS a dit...

Bon bon bon... Après plus de 22 ans de ma vie consacrés à ces problématiques en droit familial, je crois bien modestement pouvoir porter un jugement assez juste et impartial.

Le problème est de 2 ordres.

D'abord, lors d'une rupture, les ex-conjoints désirent exposer devant quelqu'un les frustrations qui ont donné lieu à la rupture. Genre: "regardez comme c'est un salaud! Il m'a trompée!". Or, les débats matrimoniaux sont devenus essentiellement des débats techniques, des chiffres, des colones comptables. Les pensions, le patrimoine familial, tout ca, c'est essentiellement comptable.

Là vient le 2ème problème. Les avocates (et oui, je le précise: avocatEs) n'ont pas le cran de dire à leurs clientes: "heille, c'é bien platte qu'il t'a trompé, mais c'est pas ca le débat à la Cour. C'est combien vaut la maison, le char, les reers, pour que t'en ramasse la moitié".

Je le redis, tant que des avocatEs n'envisageront pas les ébats judiciaires comme ils devraient être envisagés, tant qu'elles voudront causer cuisine et couchette dans les tribunaux, ca fera des situations comme celle de Lola.

Me Goldwater a beau être une grande juriste, elle est avant tout... unE avocatE qui, commme tant d'autres avocatEs, n'ara pas été capable de dire à sa clientE: ENOUGH!

Mistral a dit...

Sorry, Dude, mais il est clair que t'as pas même passé 22 secondes de ta vie à approfondir ces questions. Tu as tout, tout faux, et ce n'est pas ainsi que le monde marche.

Get laid. Get married. Get a baby. Get screwed. Get a lawyer. Get a divorce. Get back on your feet. Check if your balls are still there. Then come back.

OMO-ERECTUS a dit...

Come on mon pit... j'ai passé 22 ans dans les tribunaux, devant des juges, presque à tous les jours, à faire du droit familial et à en écouter. J'voudrais juste avoir quelle est ton expérience dans ce domaine. Dis-moi... au cours de toute ta vie, t'as passé combien de temps dans la salle 2.17 de Palais de justice de Mtl, ou dans un Palais de justice tout court?

L'opinion qui est la mienne est aussi celle d'une bonne partie de la magistrature en familial et d'avocats spécialisés.

Fait que sur celle-là, fais-moi un peu confiance et tentes un tantinet la voie de la modestie.

Pour ce qui est de 'get married - get a baby', c'est un peu plus compliqué! J'suis fif, mais j'en ai divorcé pas moins de 1000, des femmes et des hommes. Ca vaut bien des mariages et des bébés. 'Get a lawyer'? dis-tu? j'en suis un... 'then come back'? C'est fait!

Mistral a dit...

Can you believe that anonymous ignorant piece of shit? Qui m'appelle son Pit?

Si tu ignores combien de temps j'ai passé dans les Palais de Justice, tu t'es sûrement trompé d'adresse: Marie Laberge, c'est la porte à côté des chiottes au fond du corridor.

Tu as tort. Ton opinion anonyme, on s'en torche. L'opinion d'une bonne partie de la magistrature en familial et d'avocats spécialisés, on s'en torche. Goldwater? Torche! Grande juriste? Get the fuck out! Get a lawyer, I say, et ta réponse est que t'en as pas besoin paske t'en es un. T'es arrivé en retard le premier matin au premier cours de ta première année de droit?

He who is always his own counseller will often have a fool for his client.
[1809 Port Folio (Philadelphia) Aug. 132]
The proprietor of the Morning Chronicle pleaded his own cause, an occasion in which a man is said to have ‘a fool for his client’.
[1850 L. Hunt Autobiography II. xi.]
There is a popular impression, for which there is a good deal to be said, that a man who is his own lawyer has a fool for his client.
[1911 British Weekly 21 Dec. 386]
You must have heard the saying that the man who argues his own case has a fool for a lawyer.
[1975 D. Bagley Snow Tiger xiii.]

Pour l'humilité, reviens demain, on sait jamais. À soir, va jouer ailleurs, dude, je te jure, c'est best.

OMO-ERECTUS a dit...

Bin oui, mon pit, mais j'avais pas mis de majuscule au "p" alors que toi, tu t'en mets un... c'est tout dire.

T'as pas encore dit combien de temps t'as passé dans les palais de justice. Allez, mon pit, dis-moi et après, on pourra voir si ta la même crédibilité que moi dans ce domaine.

Mistral a dit...

OK, puisque tu veux jouer, jouons.

Voici les règles: je t'enjoins une dernière fois, omo-erectus, de cesser. Ensuite, j'intéresse la partie: je parie que je peux publier ton nom avant l'ouverture des bureaux du Barreau demain matin, MON PIT! Je ferai mieux: doublons la mise. Kestu gages que je peux te faire brailler et amèrement regretter cette espiègle tapetterie?

Crédibilité, honey, héhé... Don't fuck with me. Un avocat cagoulard, c'est en plein ce qu'il me faut pour détourner l'attention de mes vrais petits ennuis. Je m'appelle Christian Mistral, by the way, I don't believe we've met yet, and who the fuck are you may I Inquire? No matter. I can out your ass and skin your faggoty Goldwaterfriendly harrassing lawyerly can in such a way you won't soon recover, and if you don't get it this time, then you really are a sinister inbred cretin.

OMO-ERECTUS a dit...

Ouhhh j'ai une de ces frousse! Surtout avec l'emploi de l'anglais... Hein? ca fait tellement plus cool, tellement plus nouveau genre. Tellement jeune. "So intense", hein?

Bon. Allez va. Si tu peux pas supporter des opinions contraires aux tiennes sans verser dans les insultes, pas de trouble. Ca demeure ta signature. Tu l'auras prouvé une fois de plus.

Te sens pas obligé de répondre. En français, en anglais ou j'sais pas quoi encore.

Moi, je ne le referai plus. Je me suis bien amusé, mais il fait un jour arrêter. Pas vrai?

Mistral a dit...

Me demandais quand t'allais remettre en question ma connaissance de la langue française, mais j'admets n'avoir pas vu venir cette allusion à ma jeunesse. Fait bien vingt ans que ça m'était pas arrivé.

So. You don't like french, you piss on english, quelle hostie de langue ferait ton bonheur, dude? J'en baragouine une couple de plus, j'en comprends quatre autres, j'en écris trois supplémentaires sans trop fauter. Caveat Emptor et let the good times roll, coco: daddy's on your tail. Come to papa. On va voir commment tu t'amuses, héhé...

Anonyme a dit...

Yo,

ai écrit un commentaire de l'Escalier qui n'a peut-être pas été reçu parce que l'ordi a planté à toutes les fois. Aussi, je me reprends :


Shilum : Je relis ton commentaire et je ne vois plus ce que j'y ai mis pour être agressif de même. J'ai bu un verre à ta santé.


Mistral : J'ai lu ton commentaire et je me suis demandé : ben voilà, quel message il veut faire passer; je me suis questionné sur Madame et j'ai pensé : elle a beau souffrir, c'est une conne; elle devrait mieux agir que ça; je mérite mieux que ça.