2.7.03

Les jours fuient en frôlant la catastrophe. Je dors seize heures par cycle en laissant tourner des documentaires sur Staline. Je suis marié à mon ventilateur. Je suppose plus de choses que je n'en sais. Je tousse. Je flotte sur la crête de réels illusoires. J'écris comme on se ronge les ongles.

Aucun commentaire: