Ché pas qui c'est, Double Assassinat, ché pas si c'est un gars ou une fille, et en signant parfois DoubleAssass', le baudet ainsi quadruplé ne me simplifie pas l'enquête; il m'arrive de soupçonner Chantal et Aleksi, mais ils sont déjà si pris à être Anne Archet... bref, c'est très compliqué.
Ché pas c'est qui, Double Assassinat, mais ça torche. J'ai eu connaissance de son blog quand son blog m'a payé la traite, et depuis je jouis et j'apprends en le lisant. C'est violent, brillant, analytique, violent, sincère, violent, brutal, irrationnel parfois mais rarement, et violent. Et c'est brillant.
Et anonyme, ce qui est triste, mais je vous y réfère anyway: les ceuzes qui passent par ici se ramasseront pas là-bas en terra incognita.
Chronique pilote Christian MISTRAL 2 novembre 2007
Deux de deux : Causer solo
A/S : Sylvain PREVATE Cc : Maxime CATELLIER Caractères (espaces compris) : 4 342
Objet : Ce que serait ma seconde chronique si j’avais dû la torcher ce soir. Te donner, Sylvain, matière tangible à te faire une idée.
C’est mon sentiment, personnel, fondé uniquement sur l’expérience et le sens commun, qui n’a aucune valeur scientifique et conserve donc une chance d’être vrai : le taux de gens qui parlent tout seuls en ville est en forte hausse.
Sont-ce des fous ordinaires, à la mode d’antan, ou des fous branchés Bluetooth today qui parlent vraiment à quelqu’un qui les écoute, à l’autre bout, quelqu’un qui les connaît et se soucie de ce qu’ils disent, qui ne parlent pas seulement pour qui les entend (comme moi et la moitié du restaurant, forcés), et pourquoi devrais-je les croire sur parole?
Si vous me croisez en ville, que je parle en l’air comme un dément et que vous osez m’en demander la raison, et supposons que j’affirme être en train de causer avec Nelly, vous ne seriez pas blâmable de zyeuter mes oreilles, voir s’il s’y trouve un micro-téléphone wifi, et en admettant que vous en constatiez l’absence, vous seriez fondé de me prendre pour un maniaque, un menteur, un farceur, un admirateur intense ou un poète, toutes ces incarnations étant chaudes et gelées de concert.
Pourtant, quiconque connaît Nelly et/ou moi, qui ne nous connaissons pas, sait qu’elle ne m’a jamais filé son numéro ni moi le mien. Sachant cela, et que tous les problèmes sont circulaires, on revient au début : menteur, farceur, fou? Le fait est que ça importe peu, parce que les réponses valent ce que valent les questions, une vérité que devraient méditer les romanciers, les parents, les profs nés dans les années quarante, les vieux clients du Boudoir ou du Quai des Brumes et tous les moralistes en général.
En vérité, on ne demande jamais aux gens qui semblent parler tout seuls à qui ils pensent parler. Ils nous font peur. On tente de se rassurer, sans succès, en se disant qu’ils se parlent à eux-mêmes (pour cause de solitude, d’ivrognerie, d’injustice sociale, de crackpoterie, d’enfance abusive, pour cause de cent slogans Passe-Partout, de cent slogans Jeanette Bertrand, de cent causes vagues et simples qu’on est conditionnés à invoquer sans y penser pour mieux passer à autre chose de plus facile), mais cependant qu’on se dit ça (voir avant la parenthèse, quatre lignes plus haut) on est bien conscients qu’on se parle tout seul itou, on est pas fous, et que tout ce qui nous distingue encore, c’est qu’on le fait en silence. There but for the grace of God go I…
Ils nous effraient, eux ou la réponse qu’ils nous feraient, ou peut-être l’épouvantable perspective qu’ils ne comprennent pas notre question. Moi, je me contente de leur faire baisser le ton. Veux pas savoir à qui ils parlent, ni de quoi, ni s’il y a vraiment quelqu’un au bout du sans-fil. Comment ferais-je, pour le savoir? Leur arracher le machin de l’oreille et y coller la mienne? C’est inélégant. J’ai pas été élevé dans une grange par des Hells Angels. Je me contente donc de les ignorer laborieusement, quand je suis de bonne humeur, et le reste du temps je les engueule jusqu’à ce que leurs faces se parsèment de rosace et que leurs caleçons jaunissent. J’aime les choses claires, est-ce donc si répréhensible?
Je suis écrivain, je fais métier de communiquer, je fuis les pléonasmes mais je pense anyway que parler tout seul, c’est une chose très sérieuse et très intime, à ne faire qu’en privé, quand on est tout seul, dans le particulier, en l’absence d’autrui, à l’exclusion d’auditeur, conjugué au singulier, en couple quand l’autre n’est pas là, en société quand il n’y a personne! Il y a des tonnes d’étudiants qui se cherchent d’originales matières à thèses. En Littérature, c’est n’importe quoi qui ne parle pas de Hubert Aquin. En Socio, c’est n’importe quoi. S’agit juste de le dire autrement. C’est ainsi qu’on se ramasse avec plein de socios en litt, fatalement, et jamais l’inverse, mais je digresse. Le sujet original, pas touché, le voilà : forget les squeegees, l’itinérance des jeunes hommes, leurs chicks et leurs cinq chiens, le suicide juvénile et l’Ecstasy comme symptôme d’un mal banlieusard, forget all that, puisque c’est déjà fait, étudié à mort, par des universitaires pleins de cours dogmatiques et de lectures mal digérées, forget it et va dans la rue, enquête, cherche voir s’il n’y a pas plus de gens maintenant qui parlent tout seuls qu’avant, et pourquoi, et comment, et cetera, bordel je vais pas faire le travail à ta place…
Il a été, l'automne dernier, vaguement question que je remplace tel choniqueur dans tel hebdo montréalais. J'avais produit une couple de prototypes pour aider les décideurs à se faire une idée de ce à quoi ça ressemblerait. La décision tarde à m'être communiquée, et j'écris pas pour les tiroirs, faque voici le premier de ces échantillons.
Chronique pilote Christian MISTRAL 2 novembre 2007
Une de deux : L’alinéa
A/S : Sylvain PREVATE Cc : Maxime CATELLIER Caractères (espaces compris) : 4 146
Objet : Ce que serait ma première chronique si j’avais dû la torcher ce soir. Te donner, Sylvain, matière tangible à te faire une idée.
Ma première chronique, j’avais dans l’idée qu’elle porte sur la disparition de l’alinéa, mais ça devra attendre, pour un tas de bonnes raisons et d’autres aussi. Par exemple? Par exemple, je n’en sais pas encore assez sur la question, à part que j’ai appris à écrire avec et qu’on ne m’a prévenu de son obsolescence (qui est un peu la mienne) qu’après-coup. En plus, c’est une assistante de direction qui m’a mis au parfum, m’enseignant du même coup qu’il n’y a plus, non plus, de secrétaires. Alinéa, secrétaire, même évaporation soudaine. Mais bon, a linea signifie s’écarter de la ligne, et s’écarter de la ligne, ce n’est plus cool du tout. Pour ce qui est de la secrétaire, je voyais bien qu'elle existait toujours, puisque je couchais avec : elle avait seulement changé de nom. Mais l’alinéa, basta! Effacé d’abord de la correspondance commerciale, il s’est naturellement estompé des effets épistolaires électroniques privés (certains disent même e-mails, courriels ou autres barbarismes exotiques). Les journaux l’évacuent aussi à toute voile et subtils coups de pied en poupe. L’alinéa, pour autant que je puisse en juger, se réfugie chez les éditeurs de littérature adoubés, ceux-là mêmes qui sont tant occupés à mourir. Busy, busy… Moi, je voudrais en parler à Foglia avant de me faire une idée, parce qu’il écrit mieux que personne, bien entendu (quoiqu’il serait plus juste de dire que personne n’écrit mieux que lui) mais aussi parce qu’il a été typographe, qu’il a vu tout un corps de métier soufflé de la surface de notre époque en quelques années à peine, comme les maréchaux-ferrants au tournant du vingtième siècle, et qu’il doit pouvoir nourrir ma réflexion sur l’alinéa. L’ennui, c’est que j’ai peur de parler à Foglia. Pourquoi fucker le chien quand tout va bien? On ne s’est jamais parlé, jamais achalé, et c’est pas l’alinéa, condamné anyway, qui va me faire rompre un pacte tacite de non-intersection aussi durable et aussi fécond. Pourquoi fécond? Pasque c’est le contraire de stérile.
Ceci, c’est comme qui dirait une chronique-pilote. Comme le pilote d’une émission de tévé. C’est destiné à donner une idée du produit à celui qui est susceptible de l’acheter. Ce n’est à peu près jamais diffusé. Ça sert aussi à faire des ajustements de dernière minute, du fine tuning. On ne m’a pas demandé de l’écrire, et ça m’aurait insulté qu’on le fasse, après douze livres, you know, mais si Brando a pu auditionner pour le rôle du Parrain et se bourrer les gencives de coton hydrophile, je me dis que je ne suis pas au-dessus de fournir gracieusement un aperçu du genre de réflexions que j’envisagerais de partager dans ce journal.
Je l’ai dit à trois personnes, qu’il n’était pas impossible que je m’efforce de boucher le trou laissé ici par l’Avard. Aux deux premières, j’ai dû préciser qu’il ne s’agissait pas de celui de Molière, mais de l’autre, celui de Gratton. La troisième m’a accusé d’appartenir à la mafia maskoutaine. En effet, Avard et moi sommes issus tous deux des entrailles triomphantes du Séminaire de Saint-Hyacinthe, qui a prospéré cent-cinquante ans à travers incendies, corruption, consanguinité de sa clientèle héréditaire, réputation surfaite et vocation vacillante, prospéré donc et attendu qu’Avard et moi et tous les types de notre temps passent par là pour disparaître.
Je sais, c’est une longue phrase, un peu lourde, un peu compliquée, mais elle est correcte, so live with it. Stop whining. People whine all the time. On lit un journal gratis dans un pays qui ne nous oblige ni à lire ni à ne pas lire et on trouve le moyen de chialer comme des cochons de lait intolérants au lactose. Trop longues, les phrases? Too damn bad. À l’Échange, y a une pile de Martine à la plage. En solde.
Vous autres, les autres, ceux qui n’ont pas frémi de chienne en parcourant ce qui précède, je suis sacrément content d’entamer ce continuum textuel avec vous. Je n’aimerais pas parler tout seul. J’en verserais des larmes d’instruction passive, d’un méchant coloris, ce serait pas joli, ce serait, je sais pas, genre épave et violet d’automne drogué, tirant moitié sur le full brun, moitié sur le full planche, comme?
J'ai trouvé GOTH! Je sais comment m'y prendre! J'ai ruminé dans le vide une mille et unième nuit et voilà, voilà, VOILÀ, Nom de Dieu de putain de chierie de bordel à cul de saloperie de pute de pompe à noeud de calvaire!
Je l'ai trouvé, l'enfant de con. Je le tiens par les schnolles. J'en reviens pas...
Christ, je pense que je suis heureux. J'érige une croix hosannière sur l'ossuaire de mes ébauches mort-nées! Alleluia, sweet Lord, Hallelujah you bastard.
Democratic presidential hopeful, Sen. Hillary Rodham Clinton, D-N.Y., wipes her eye as she listens to a disabled U.S. veteran in the audience tell his story during a campaign stop at The City of Lewiston Memorial Armory in Lewiston, Maine., Saturday, Feb. 9, 2008. (AP Photo/Carolyn Kaster)
Dis-moi, Saigneur, qu’après huit ans de cette face de singe obtus, ce Bush qui marche comme un ado jeté dans un pénitencier, le torse bombé, les bras en parenthèses, puant la pueur à travers la tévé, effrayé de se pencher, dis-moi que pire ne peut pas survenir, que je vais pas devoir survivre huit ans aussi au spectacle de cette vieille garce de Hillary me braillant au visage chaque fois que l’occasion est mûre, dis-moi que les femmes vont s’écoeurer de la regarder chialer avant le mois de novembre, je pourrai pas endurer ça, je pourrai pas. Donne-moi un psychopathe, un infirme, un vieillard sénile, un menteur priapique, un nègre, une femme ou même un Républicain, mais pas une pleureuse, et surtout pas une pleureuse à la vocation aussi tardive, Saigneur, sacrement! C'est comme glisser une vieille nonne fraîchement défroquée entre mes draps, toute nue, grelottante, parfumée au camphre et très vierge. Kesse tu veux que j'en fasse??? Elle est même pas capable de faire semblant comme du monde!
C'est pourquoi, m'engouffrant à grands frais dans le vacuum causé par l'absence de revues littéraires qui parlent des vraies affaires, j'ai laissé les jeunes loups de mon conglomérat (Christian Mistral Publishing Inc.) développer deux nouveaux périodiques excitants, sharps, proactifs et pas chers.
Achetez-les, parce que j'ai beau m'habiller avec ce que je trouve par terre, j'ai déjà perdu ma chemise préférée la semaine dernière. Oui, j'ai piqué les photos à LG et Lorazepam, mais les textes sont tous de moi et j'ai même pas les moyens de me payer ce que je vaux sur le marché. Ces magazines seront ma ruine...
Ché pas. Un peu des deux. Mais ce type, Stéphane Ranger, m'a rappelé sans le savoir que j'ai pas lu de poésie de mec depuis trop longtemps, et que ça fait du bien, au point de me redonner le goût d'en écrire. Je le cite ici sans vergogne:
Googlant pour combler tant soit peu mon (au fond) abyssale ignorance des genres littéraires évoqués dans l'en-tête, je suis tombé sur le site de André Cayrel, et ce charmant spécimen de 5-7-5:
jupe volante l’air de rien derrière elle le Mistral et moi
Les tabarnaks, va ben falloir finir par ce que je respecte leur programme de goules destroy: non seulement ils veulent pas mourir ni même se tasser du chemin, en plus faut qu'ils s'assurent avec leurs dernières forces botoxadriengagnonbeatlesmai68decrissesdecharognes que nos flos soyent ben débiles, rachevés pour de bon, pour sept fois sept générations, maudite gang puante de vieux bébés nuisibles, crevez donc hostie! Faites de l'air! Dégagez des ministères, des écoles, des journaux, des syndicats, des trous à rats oùske vous cachez votre shame de hippies ratés, de Canadiens-Français vendus, de lèpre grasse sur la face du temps! Décrissez!
Souveraine debout, savoureuse à genoux, délicieuse à contempler sinuant sur le plancher, et musicale et lumineuse dans le jouir urgent. Un sacré morceau de femme. Hommage.
Le lancement de Ed Hardcore, vendredi soir à l'Esco, s'est déroulé sans scandale majeur et j'ai ensuite ramené au Bunker, dans un gentil grésil, ce qui restait des Femmes à Couilles, de même qu'Émerance et Roger Gregor. Entre le gin bleu, la bière noire, la vitesse et l'extase, il semble que Meth et moi soyons les seuls à se souvenir assez précisément du déroulement de la soirée, que nous étirons toujours trois jours plus tard, peu pressés qu'elle se termine. C'est juste un peu difficile de visionner La Mélodie du Bonheur avec my darling qui s'esclaffe toutes les dix lignes à la lecture de Prison de poupées...
Faut aller voir ce que ce beau cinglé Coyote Inquiet a mis ici. Vous avez tous des chats, pour autant que je sache, et c'est pas parce que j'ai un peu tué le mien que je ne l'aimais pas. Et puis les astres, et les désastres, et les Sinatra. Et puis Cupidon, et Picasso, et l'odeur de la colle (du collage)...
On dira ce qu'on voudra. Que je m'énerve comme ça, sans motif évident, et on aura raison: mon motif est tout sauf évident, c'est même la nature de mon motif.
Quarante ans que je la trouve belle mais fausse et que je ferme ma gueule, après tout; quarante ans que je l'écoute roucouler tandis que le monde autour de moi change et que je suis forcé de changer avec tandis qu'elle perpétue à s'en éclater la peau déjà bien gonflante l'ère pourrie de CKVL, d'Edward Rémy, des vendeurs de cossins, du mépris des gens, comme une Michèle Richard de Nun's Island (c'est toujours à Verdun), comme un vieux monologue de Deschamps qu'il ne referait plus parce qu'il le laisse aux archéologues. Quarante ans et hier, en l'entendant roucouler encore à l'émission de Christiane Charette pour assumer quelque autorité sur la mémoire de Pierre Péladeau sans admettre d'où elle lui vient, me rendant chèvre en quête d'un coupe-chou, me rappelant que ce ne sont pas les demi-mondain(e)s qui me dégueulent mais les outres charlatanesques outrancières dont ça finit par être écrit sur le visage et qui sont les seules à croire qu'on est peut-être toujours dupes, hier donc, j'ai flippé hostie.
Quand Christiane dit «On sait pourquoi» et que l'autre sursaute par réflexe, «Ben là!», quand Maisonneuve le lui envoie dire par patientes et courtoises mais claires périphrases et qu'elle en reste sur cette impression suggérée qu'elle était, je sais pas, l'éminence grise asexuée de Péladeau, et que je me souviens de la French Connection, de comment elle s'en est foutre bien sortie parce que son amant a naturellement tout pris sur lui et que les hommes de justice ont fait le reste, quand je pense que ça fait quarante ans qu'elle nous fait chier parce qu'elle a démarré en jouant ses nénés pour plus tard le renier, j'en ai marre, chu écoeuré, je dis down avec cette culture révolue de journaux jaunes et de vedettes indélébiles comme des taches de sauce à spag sur le tissu social, je dis changeons le tissu social et prenons-en un autre, je dis à bas les vieilles colombes élevées à l'école de Coco Léopold, je dis à bas les chanteuses de Corus, parce que ça se reproduit ce monde-là, avec des Jean-Pierre Coallier, ça part de CIME et c'est rendu à 98.5 FM, ça engendre médiocrité, corruption et mépris souverain, ça transforme des Billy Bob Dutrizac écrivains en épaves hargneuses qui s'appellent Benoît (épaves, le mot-clé: la hargne, c'est sain, mais c'est comme la branlette, faut pas en abuser), anyway c'est une industrie de charogne.
Other than that, j'ai pas de problème avec ça. À preuve, je commenterai même pas cet article pris au hasard parmi cent, où l'écrivaine nous expose... Oh! pis merde.
"Personne ayant un vagin"
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Les mythes et stéréotypes en matière d’agression sexuelle sont des
croyances infondées selon lesquels on présume que les femmes, ou qu’un
certain type de...
BREF, BONNE ANNÉE 2021
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Que du beau et du bon! Résilience, bienveillance, vraie gentillesse.
Arcade Fire - Sprawl II (Mountains Beyond Mountains) - Coachella 201...
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Adieu Christian, mes sympathies à tes proches et à la Tribu. Je t'ai lâché,
je sais, après t'avoir beaucoup pris. Notre amitié n'était plus vive.
Pourtan...
49 and a life to go
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Ainsi donc, après une résonance magnétique et une visite chez le neurologue
on m'apprend que je n'ai pas de tumeur au cerveau. Pas de sclérose...
Plogue
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Salutations,
la présente est pour informer le lecteur ou le robot de google qui abouti
ici pour passer le balais que Guillaume Pâquet participe activement ...
Le poulet rôti façon Blue
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Blue
Quand elle est partie de la maison, Swan m’a fait promettre de lui
transmettre ma recette du poulet rôti façon Blue. Elle aime l’idée
d’étendre ses p...